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    Vinyl
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    dagrey1
    dagrey1

    90 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 22 avril 2016
    "Vinyl" est la toute dernière saison gros calibre pilotée par HBO. Aux commandes Martin Scorcese et Terence Winter qui avaient collaboré avec bonheur sur Boardwalk Empire. En tant que co producteur, Mick Jagger, figure charismatique du rock. Au casting, on retrouve également Bobby Carnavale dans le rôle principal et Juno Temple notamment.

    Sur le papier, tout était réuni pour un gros carton.....

    Le bilan de cette première saison est cependant mitigée.

    Coté points forts, les amateurs de rock devraient s'y retrouver quand même. Au fil des épisodes, on croise des doublures de Led Zeppelin, les New York Dolls, Alice Cooper, David Bowie, Alice Cooper, le velvet underground et Andy Warhol, Elvis Presley ...Tous ces artistes évoluent dans le circuit "drugs et rock'n roll et coups tordus du rock coté maisons de production bien évidemment.

    L'intrigue repose essentiellement sur les difficultés de la maison de production gérée par Richie Finestra en 1973, ce qui m'a semblé un peu longuet sur 10 épisodes d'une heure. Viennent se greffer sur cette intrigue les difficultés conjugales du même Richie Finestra et de sa femme Devon interprétée par Olivia Wilde.
    Personnellement, j'ai trouvé que la fin de saison sauvait "vinyl" d'un naufrage certain, l'irruption du "milieu" dans la vie des protagonistes donnant un peu de saveur à l'ensemble de l'intrigue. De même les rivalités entre les personnages principaux (notamment entre Finestra et l'un de ses associés Zak Yankovich) ont également apporté un peu d'intérêt à une série qui ronronnait doucement.

    Coté points faibles, la série manque clairement de rythme et l'intrigue évolue très lentement.

    La principale curiosité de la série est la présence d'un groupe fictionnel, les Nasty Bits, sorte de précurseur du mouvement punk, pure création sortie de l'imagination des scénaristes.

    Aux dernières nouvelles et en dépit d'un certain succès d'estime, cette création d'HBO constituerait quand même un bide pour la maison de production.
    Frédéric M
    Frédéric M

    17 abonnés 322 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 24 juillet 2017
    Vraiment pas terrible cette série (j'ai vu les 6 premiers épisodes). Plutôt ennuyant. Mais le gros bémol : c'est le personnage principal, qui ne sait que se droguer et hurler. On n'a aucune sympathie pour lui, ni empathie. Et quand tout repose sur lui, la série devient donc bancale. Je mets 2 étoiles pour Juno Temple, toujours excellente, que l'on ne voit pas assez à mon goût. Je comprends que cette série n'ait pas fonctionné et ne soit pas renouvelée. Pas d'amour pour le personnage principal, mal travaillé, pas d'audience.
    Ristobop
    Ristobop

    28 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 16 octobre 2016
    Fan de la période musicale concernée par cette série (La naissance du Punk surtout, mais aussi l'émergence encore très Soul du disco), je me suis somme toute plutôt bien éclaté devant cette série, au point de regretter l'abandon du projet pour la saison 2...
    Bien sûr, après le 1er épisode réalisé par Scorcese, le soufflé retombe un peu. Mais de nombreux bons points tout de même: La musique, bien sûr, puisqu'on nous épargne les tubes les plus évidents pour aller chercher les New York Dolls, MC5, Iggy Pop version Stooges... Tandis que le fils Jagger incarne un chanteur pré-Sex Pistols (plutôt dans la veine Johnny Thunders d'ailleurs) très convaincant. Le New York artistique est bien dépeint, ainsi que l'Amérique de l'époque. On a droit à bon nombre de personnages tous plus truculents les uns que les autres (J'ai particulièrement aimé Ato Essandohle dans le rôle du Bluesman déchu). Les dialogues (VO obligatoire!) sont savoureux et l'humour omniprésent. Je n'étais au départ pas emballé par le personnage principal (Bobby Cannavale) mais j'avoue qu'il y est excellent et a largement réussi à me convaincre.
    Déçu donc de ne pas avoir de suite, mais, à l'image d'un bon groupe de Rock, il est peut-être préférable de splitter avant de faire de la soupe (euh...nan, je ne vise personne, Mick!!). La série ne connaîtra donc qu'une saison, mais restera pour moi un bon moment de cinéma et de Rock'n'Roll!
    Cine vu
    Cine vu

    134 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 28 août 2016
    Les Affranchis du Rock’n’roll

    Créateur Martin Scorsese et Terence Winter 2016

    Plongée dans la production musicale, son évolution, ses tendances, ses loupés, ses victoires et ses dérapages. On chaloupe au premier accord de Blues puis on s’emballe au son du Rock’n roll.

    Une création originale de Scorsese et et Jagger qui déménage. Un premier épisode un peu long qui se regarde le nombril, le Maître fait son mégalo, avec son sens de la tragédie. Mais il fait briller NYC et donne le tempo.

    Les réalisations qui suivent sont à la hauteur du génie de Scorsese. Le son est là et la réalisation est soignée avec une belle mise en lumière.

    Ricky (Bobby Cannavale) est dingue, turbulent, manipulateur, dangereux et charismatique. Il attire la caméra, lui fait de l’oeil et flirte avec elle. Sa descente en enfer est poignante, accompagnée de sa mauvaise conscience et d’un revenant diabolique. Ricky est mesure et démesure mais ses démons le rattrapent pour mieux l’achever, la bête se rebelle, il veut se battre avec volonté et détermination. Une grande performance tendance mafieux.

    La Production musicale prend des allures de Maffia, avec ses codes et ses corruption, le mélange est subtil et détonant. L’ alchimie musique-mafia donne le rythme de la série. Une série qui restera sans suite comme un long film, c’est frustrant mais ça donne une dimension « culte ».

    Beaucoup trop d’argent flambé comme dans l’histoire, ça donne un succès éphémère mais marquant, on se souviendra de 30 ans de musique brulé par les deux bouts avec coke jusqu’au aux yeux, c’est flamboyant, délirant mais c’est surtout surtout une grande Ballade du blues au Rock’n Roll, en passant par le Funk, les crowners, le Disco, le Reggae et le Punk.

    Alors merci Scorsese, Jagger et Winter de nous faire hommage à la Musique dans tout ses états.

    Zak Yankovich interprété par Ray Romano est juste dans le tempo, désespéré, dépassé mais passionné car l’associé de Ricky aime son métier, il vacille, il doute, il se brise et reste là.

    Un casting au poil avec Juno Temple, toujours à croquer, pétillante et rusée. Olivia Wilde joue l’amour de Ricky, elle était le n°7 du « Dr House », là elle est surprenante, elle passe de la foldingue évaporée à la femme redoutable et pourtant si fragile, un chouette dépassement d’elle-même.

    Ato Essandoh respire le Blues, bref du beau monde, du bon son, et NYC se déshabille.
    Alors, ça pique les yeux et les oreilles sans larsen et ça groove comme il faut.

    A ne pas louper car la BO restera longtemps dans le disque dur de nos oreilles.
    Daniel Schettino
    Daniel Schettino

    23 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 7 juin 2019
    Le problème avec la série Vinyl est qu'il faut aller au delà du pilote, et je pense qu beaucoup de gens ont dû être rebuté par ce pilote. Que les fans de Martin Scorsese adorent c'est sûr, mais pour les autres c'est nauséabond et sans délicatesse. Quand on découvre l'intégral de la série dans un coffret DVD, on est plus tenté de voir ce qu'il y a après ce pilote bien rebutant. Déjà on en a fini avec ces larges extraits d'un rock noisy qui nous casse les oreilles, par exemple dès qu'un personnage arrive dans un lieu ou avec les innombrables scènes de groupes qui n’intéressent plus personne aujourd'hui. C'est ça le problème le rock à notre époque n'attire plus les foules, et les nouveaux groupes qui émergent ne remplissent plus les stades. Et si des personnages comme Freddy Mercury ou Lady Gaga amènent le public dans les salles de cinéma, c'est qu'ils lorgnent vers la variété. Mais Martin Scorsese en esthète s'égare et se croit critique à Rock and Folk, mais son côté puriste intransigeant dessert la série. Il refuse d'aller vers le plus grand nombre pour satisfaire qui ? Des rigoristes du rock qui veulent se démarquer des autres ? Le résultat est là implacable : une seule saison. Ce n'est pas les gens qui n'ont rien compris, c'est cet entre-soi stérile qui refuse le goût des autres. Certes les épisodes suivants de la série essaient de faire une plus grande place à d'autres genres musicaux comme le disco, et on s’intéresse plus enfin aux personnages féminins, mais ça ne suffit pas pour sauver la série. Ce qui est raté aussi ce sont les nombreux clips et scènes de concerts avec les sosies des rock stars. Ce n'est pas du tout réussi et c'est même ridicule.
    davidgainsbourg
    davidgainsbourg

    23 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 22 mai 2022
    Rarement vu une aussi bonne production. C'est vrai que ça ne parle que de rock n'roll, de sexe et de drogue, mais avec tant d'intelligence et de crédibilité, c'est passionnant même pour un intellectuel comme moi !! A consommer sans aucune modération... Et dommage qu'il n'y ait qu'une seule saison !
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    129 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 14 février 2016
    Rêve d'une légende du rock et d'un cinéaste renommée, Vinyl n'est certainement pas une série comme les autres. Si la série tourne essentiellement autour de deux couple, la réelle qualité de la série est de nous plonger dans l'ambiance et dans les coulisses de l'industrie du disque de cette époque.
    Fabien S.
    Fabien S.

    516 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 16 janvier 2017
    Une très bonne série américaine sur l'industrie musicale du vinyle. Bobby Cannavale incarne un crooner des années 70. Olivia Wilde incarne sa femme au foyer. Mick Jagger est le producteur exécutif. Juno Temple tient le rôle d'une hippie dans la peau d'une femme d'affaire qui a une cigarette à la main en opposition avec les principes traditionnelles de sa mère convensatrice. Un univers psychédélique rempli de drogues ,d'alcool de sexe, de buiness. Un personnage me fait penser à David Bowie dans l'épisode qui lui rendait hommage à ses très belles chansons comme Life On Mars.
    Walter H
    Walter H

    12 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 19 février 2016
    Avec vinyl on es plongée directement au coeur des 70'.On navigue entre prise de drogues et gros riff de guitare.Scorcesse nous refais le coup as la Boardwalk Empire.Un must as voir absolument. (Avis réaliser sur les 2 premiers episodes)
    Cronenberg
    Cronenberg

    231 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,0
    Publiée le 21 octobre 2017
    Assez bien il est sympathique de regarder des (documentaires) sur (les origines) du rock pas mal 3/5
    Gouchou
    Gouchou

    24 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 22 juin 2016
    Quand même les plus grands réalisateurs se tournent vers le petit écran, c'est bien là un signe de l'importance qu'ont pris les séries télés. Pour un réalisateur aussi talentueux que Martin Scorsese, il était évident qu'une collaboration avec la chaîne câblée HBO s'imposait. Ce partenariat nous donne la série Vinyl dans laquelle Martin Scorsese a pu traiter un de ses sujets de prédilection: la musique. En vrai mélomane, le réalisateur de Taxi Driver et du Loup de Wall Street a travaillé avec Mick Jagger sur ce projet.

    Vinyl c'est en quelque sorte l'apologie des coupes afros, des pantalons pattes d'éléphant, de l'alcool et de la drogue. Dans cette série qui se déroule dans les années 70, Martin Scorsese et les autres showrunners nous plongent dans ces années de folie. Le rock'n'roll est alors la musique incontournable. Vinyl nous permet de croiser la route de John Lennon, Andy Warhol, Alice Cooper, Led Zeppelin, David Bowie, Elvis... Au milieu de ce parterre de stars, nous sommes amenés à découvrir le personnage de Richie Finestra, le patron d'une maison de disques qui lutte contre son addiction à l'alcool et à la cocaïne. Alors qu'il s'apprête à vendre son entreprise à une entreprise allemande, la vie de Richie va être bouleversée après la mort d'un partenaire. Richie va alors connaître une descente aux enfers.

    Parce que c'est une série HBO et parce que c'est Martin Scorsese, le casting est totalement dingue. Tout d'abord Bobby Cannavale (New York 911, Boardwalk Empire, etc) interprète avec brio le rôle principal de Richie pour incarner sa femme, les réalisateurs ont fait appel à la belle Olivia Wilde. Enfin, de nombreuses stars du petit écran complètent le casting. Tous les acteurs jouent leur rôle à la perfection et nous font vibrer.

    Raconter la descente aux enfers d'un personnage en plein succès qui lutte constamment contre ses démons intérieurs, voici la thématique préférée de Martin Scorsese. Vinyl n'échappe pas à la règle, mais cette fois-ci la musique joue un rôle essentiel. Le choix des années 70 nous ramène à une autre époque où les interdits et la censure était beaucoup moins présents qu'aujourd'hui. Je suis toujours étonnée par la liberté de ton que l'on trouve dans les années 70 et 80, Martin Scorsese nous fait ressentir cette liberté et cette joie de la transgression permanente. Vinyl est une excellente série qui nous ramène aux racines du rock'n'roll, à une époque où les artistes semblaient pousser comme des champignons.
    alex2bxv
    alex2bxv

    25 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 3 juin 2016
    Serie fresh ! Novatrice ! Ne surfant pas sur la vague des zombies ou autres personnages fantastiques . Du vrai du bon, du old ! Des bonnes musiques de transition tout au long des épisodes, merci Mr Jagger, une mise en scène prenante ! On se croirait faite parti de l'histoire et d'être retourné en 70´s !!
    Je recommande vivement pour tous les amoureux de musiques mais pour tous les autres aussi !
    nadia22
    nadia22

    9 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 11 novembre 2016
    J'ai adoré ce Mad Men de la production musicale, une plongée vertigineuse dans un univers drug sex & rock n'roll, un monde dans lequel tout délire était encore possible. Bravo à Bobby Cannavale, bluffant!
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    1,5
    Publiée le 16 février 2016
    Super déçue par le premier épisode passé ce soir sur RTS. Dans le genre acteurs pas crédibles, je dis top... Et les sosies ratés de musiciens, aie aie aie!
    Karim H.
    Karim H.

    21 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 17 février 2016
    Du rock du sex de la drogue,Led zeppelin les année 70, il fallait pas grand chose pour moi pour me dire que cette série va être énorme,le Pilot est top,la manière de filmer et l'image également.
    tout bon pour moi... :)
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