Hell On Wheels : l'Enfer de l'Ouest : Critiques de la presse
Hell On Wheels : l'Enfer de l'Ouest
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,6
8 titres de presse
Newsday
Washington Post
New York Post
New York Times
Boston Herald
TV Guide
The Hollywood Reporter
AOL TV
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Newsday
Hell On Wheels est un western post-moderne, ou en tout cas post Sergio Leone, situé dans un monde sans religion où vous tuez ou pouvez être tué sans conséquences. Anson Mount, qui est plutôt bon dans le rôle principal, a le regard de Jim Caviezel, la barbe de Chuck Norris et donne l'impression de n'avoir pas pris de douche depuis une bonne dizaine d'années. Son compagnon, joué par Common, a le regard noir et incandescent (...) Peut-être en est-ce trop, en tout cas ce n'est pas déplaisant. Au final, Hell On Wheels repose sur un casting solide, une intrigue prometteuse et - son point fort - sur le décor de l'Ouest de légende. La série devrait sans problème devenir un nouveau hit pour la chaîne AMC.
Washington Post
Hell On Wheels est pleinement un western, mais un western au coeur froid. La multitude de pistolets, de couteaux, de flèches et des scalps se mélange dans les blessures sociales et psychologiques encore ouvertes de la Guerre de Sécession
New York Post
Le personnage le plus énigmatique - et effrayant - est le chef de la sécurité, un homme appelé "The Swede" (joué par Christopher Heyerdahl), un taré, que l'on pourrait rapprocher du moine albinos du Da Vinci Code. Non, Hell On Wheels n'est pas parfaite, ruinée par de trop nombreux faux pas. Pour n'en citer qu'un: à peine engagé comme contremaître, Bohannan prend quelques jours de congés pour aller traquer des violeurs de sa femme, et personne ne semble remarquer son absence.
New York Times
Joe & Tony Gayton, les créateurs de Hell On Wheels, n'ont pas eu peur de donner leurs influences pour la série, citant au passage Impitoyable de Clint Eastwood, John McCabe de Robert Altman ou encore le culte Dead Man de Jim Jarmusch. Et leurs muses se nomment Upton Sinclair, l'auteur de La Jungle, et Cormac McCarthy, qui a écrit Méridien de sang. Mais ils ne mentionnent pas la seule oeuvre qui va faire office de comparaison directe avec Hell On Wheels: Deadwood. Un oubli qui en dit beaucoup (...) Pourtant il est inévitable que de nombreux articles souligneront à quel point les Gayton n'ont pas essayé de faire autre chose qu'un Deadwood. Au final Hell On Wheels n'est pas horrible ou même à moitié mauvaise...
Boston Herald
Mad Men. Breaking Bad. The Killing. The Walking Dead. La série Hell On Wheels vient de faire dérailler le train des grandes séries dramatiques de la chaîne AMC
TV Guide
Décrire Hell On Wheels comme un "Revenge dans la boue" la rend plus appréciable qu'elle ne l'est en réalité. La vaste, mais empruntée, tentative de faire revivre tout en redéfinissant le western est abordée avec solennité par la chaîne AMC, mais sans éclats ou originalité (...) Par le passé, AMC avait connu son premier grand succès avec le western Broken Trail, il n'est donc guère surprenant qu'elle tente à nouveau sa chance sur ce terrain. Mais Trail contenait une palette émotionnelle et une forme de grandeur amère - et était portée par des performances magnifiques de Robert Duvall et Thomas Haden Church - tandis que Wheels ressemble davantage à une longue et prénible épreuve
The Hollywood Reporter
En l'état, le pilote de Hell On Wheels n'est pas très bon. Plat, parsemé de flashs de scènes d'action, il se termine sur une tonalité molle. Ce qui, au final, la confronte à son passé. Si vous voulez faire un western, vous allez forcément être comparé à Deadwood, la merveille de la chaîne HBO, quoique vous fassiez. Et Hell On Wheels n'a pas besoin de telles comparaisons pour le moment. Elle n'arrive même pas à la cheville de Deadwood. Point. Pour s'épargner d'éventuels problèmes dans le futur - qui sera rempli de séries western - le show a besoin de poser ses bases relativement rapidement et de se transformer en drama prenant.
AOL TV
Cela devait arriver tôt ou tard: la chaîne AMC s'est loupée. Jusqu'ici le tableau de chasse du network était plutôt remarquable, mais Hell On Wheels est décevante, à tant de niveaux (...) La série excelle sur un point: elle est parfaitement ennuyeuse (...) Vous pourriez logiquement penser qu'une série suivant la construction d'un chemin de fer serait pavée d'étapes grandioses, mais Hell On Wheels parvient avec peine à avancer dans ses premiers épisodes et, quelle que soit la destination, je ne serai pas à bord.
Newsday
Hell On Wheels est un western post-moderne, ou en tout cas post Sergio Leone, situé dans un monde sans religion où vous tuez ou pouvez être tué sans conséquences. Anson Mount, qui est plutôt bon dans le rôle principal, a le regard de Jim Caviezel, la barbe de Chuck Norris et donne l'impression de n'avoir pas pris de douche depuis une bonne dizaine d'années. Son compagnon, joué par Common, a le regard noir et incandescent (...) Peut-être en est-ce trop, en tout cas ce n'est pas déplaisant. Au final, Hell On Wheels repose sur un casting solide, une intrigue prometteuse et - son point fort - sur le décor de l'Ouest de légende. La série devrait sans problème devenir un nouveau hit pour la chaîne AMC.
Washington Post
Hell On Wheels est pleinement un western, mais un western au coeur froid. La multitude de pistolets, de couteaux, de flèches et des scalps se mélange dans les blessures sociales et psychologiques encore ouvertes de la Guerre de Sécession
New York Post
Le personnage le plus énigmatique - et effrayant - est le chef de la sécurité, un homme appelé "The Swede" (joué par Christopher Heyerdahl), un taré, que l'on pourrait rapprocher du moine albinos du Da Vinci Code. Non, Hell On Wheels n'est pas parfaite, ruinée par de trop nombreux faux pas. Pour n'en citer qu'un: à peine engagé comme contremaître, Bohannan prend quelques jours de congés pour aller traquer des violeurs de sa femme, et personne ne semble remarquer son absence.
New York Times
Joe & Tony Gayton, les créateurs de Hell On Wheels, n'ont pas eu peur de donner leurs influences pour la série, citant au passage Impitoyable de Clint Eastwood, John McCabe de Robert Altman ou encore le culte Dead Man de Jim Jarmusch. Et leurs muses se nomment Upton Sinclair, l'auteur de La Jungle, et Cormac McCarthy, qui a écrit Méridien de sang. Mais ils ne mentionnent pas la seule oeuvre qui va faire office de comparaison directe avec Hell On Wheels: Deadwood. Un oubli qui en dit beaucoup (...) Pourtant il est inévitable que de nombreux articles souligneront à quel point les Gayton n'ont pas essayé de faire autre chose qu'un Deadwood. Au final Hell On Wheels n'est pas horrible ou même à moitié mauvaise...
Boston Herald
Mad Men. Breaking Bad. The Killing. The Walking Dead. La série Hell On Wheels vient de faire dérailler le train des grandes séries dramatiques de la chaîne AMC
TV Guide
Décrire Hell On Wheels comme un "Revenge dans la boue" la rend plus appréciable qu'elle ne l'est en réalité. La vaste, mais empruntée, tentative de faire revivre tout en redéfinissant le western est abordée avec solennité par la chaîne AMC, mais sans éclats ou originalité (...) Par le passé, AMC avait connu son premier grand succès avec le western Broken Trail, il n'est donc guère surprenant qu'elle tente à nouveau sa chance sur ce terrain. Mais Trail contenait une palette émotionnelle et une forme de grandeur amère - et était portée par des performances magnifiques de Robert Duvall et Thomas Haden Church - tandis que Wheels ressemble davantage à une longue et prénible épreuve
The Hollywood Reporter
En l'état, le pilote de Hell On Wheels n'est pas très bon. Plat, parsemé de flashs de scènes d'action, il se termine sur une tonalité molle. Ce qui, au final, la confronte à son passé. Si vous voulez faire un western, vous allez forcément être comparé à Deadwood, la merveille de la chaîne HBO, quoique vous fassiez. Et Hell On Wheels n'a pas besoin de telles comparaisons pour le moment. Elle n'arrive même pas à la cheville de Deadwood. Point. Pour s'épargner d'éventuels problèmes dans le futur - qui sera rempli de séries western - le show a besoin de poser ses bases relativement rapidement et de se transformer en drama prenant.
AOL TV
Cela devait arriver tôt ou tard: la chaîne AMC s'est loupée. Jusqu'ici le tableau de chasse du network était plutôt remarquable, mais Hell On Wheels est décevante, à tant de niveaux (...) La série excelle sur un point: elle est parfaitement ennuyeuse (...) Vous pourriez logiquement penser qu'une série suivant la construction d'un chemin de fer serait pavée d'étapes grandioses, mais Hell On Wheels parvient avec peine à avancer dans ses premiers épisodes et, quelle que soit la destination, je ne serai pas à bord.