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Un visiteur
Critique de la série
5,0
Publiée le 25 septembre 2015
La saison 1 et la prequelle sont excellentes, la saison 2 est trop longue a mon goût et la saison 3 un peu bâclé ! Les acteurs remplaçant le 1e Spartacus (Andy Whitfield) ainsi que Naevia sont très mal choisis (je parle bien des remplaçant). Et pour finir, l'arrivé de César est inutile. Je retien l'excellent jeu d'acteur du 1e Spartacus, de crixus, oenomaus, ganicus ainsi que Batiatus !
Spartacus: Gods of the Arena est une sorte de "prequel" à la série Spartacus: Blood and Sands. On y verra pas les combats de Spartacus mais on assistera à la montée de la maison de Batiatus, aux débuts du futur champion Crixus etc. Une très bonne idée!
Tout aussi magique que la saison 1 ! Spartacus " Les dieux de l'arène " revient à l'origine du phénomène et nous offre du grand spectacle . Ici nous est dévoilé la monté en puissance des héros des deux saisons . C'est monstrueux et sans défaut .
Plus brutale, plus cru, plus trash, ... Les qualificatifs manquent pour décrire ce prequel à la superbe série "Spartacus Blood and sand"!! John Hannah est toujours aussi stupéfiant dans le rôle de Batiatus et Lucy Lawless reste impeccable dans le rôle de Lucrecia! Le reste du casting est tout aussi impressionnant (mention spéciale à Dustin Clare le nouveaux venu jouant Gannicus) et on se demande bien comment sans ces figures emblématiques la saison 2 de Spartacus tiendra la ro ute!
Bien en dessous d'un Gladiator ou de la cultissime Rome, avec des intrigues un peu faibles compensées par des scènes destinées à émoustiller des ados prépubères, la série offre cependant quelques personnages intéressants.
Je n'avais jamais regardé Blood and Sand quand j'ai entamé ce préquel mais je peux dire que Gods of the Arena est une agréable surprise et que j'ai hâte de découvrir la suite maintenant. L'intrigue est plus construite que ce que j'imaginais, la majorité des personnages sont attachants et le casting s'avère très charismatique. Quant aux combats, impossible de ne pas penser à 300 de Zack Snyder même si dans le cas de Gods of the Arena j'ai trouvé l'ensemble beaucoup plus fluide et que je ne me suis pas arraché les cheveux devant en passant près de l'overdose de ralentis (ah oui il aime nous gaver de ralentis le père Snyder !). Les effets spéciaux sont globalement de qualité, même si parfois ça sent trop le numérique on est pas vraiment oppressé par ces paysages factices. Il y a du sexe, beaucoup de combats (avec forcément leurs lots de scènes sanglantes comme il faut !) et le final nous en met plein les yeux. C'est comme si on était avec les romains en train de regarder ces mises à mort puisque ça à beau être cruel et gore on s'éclate complètement devant. John Hannah et Lucy Lawless (il est loin le temps de Xena !) incarnent Batiatus et Lucretia, un couple qui rêve de gravir les échelons mais le chemin sera semé d'embuches et de complots en tout genre. J'ai adoré Gannicus également, un je m'en foutiste qui est pourtant adulé de tous, Dustin Clare a une présence indéniable. Les seconds rôles ne sont pas en reste même si beaucoup sont présents pour meubler plus qu'autre chose. Un pur divertissement à découvrir.
Dans l'attente incertaine du rétablissement de Spartacus, cette série préquelle nous amène dans des temps plus anciens. Lorsque l'on connait le final de la première saison, celle-ci n'arrive pas à nous mettre l'eau à la bouche.
C'est par cette série que je découvre Spartacus et autant dire que maintenant, je suis impatient de commencer Blood and Sand ! Les combats style "300" sont ici repris mais améliorés, débarrassés des abus de ralenti que Zach Snyder utilise trop dans ses films. Chaque épisode apporte son lot d'émotions, bien souvent conclut par un magnifique combat sanglant de gladiateurs. On est transporté par les intrigues durant les 6 épisodes, espérant l'apogée de Quintus et Lucrétia ainsi que le bonheur pour Gannicus. Le final est épiquement dantesque au milieu d'une arène enflammée dans tous les sens du terme, nous rabaissant finalement au niveau des spectateurs romains; on jubile à la vue du sang pour finalement se rendre compte que des innocents paye le prix de notre divertissement. Direct dans mon Top 10 des séries !
Cet avorton de deuxième saison déçoit tout de même... le scénario n'est pas à la hauteur, l'acteur principal ne fait pas le poids avec le précédent, et on aimerait surtout que les producteurs aient le courage de lancer la suite de la première saison, en utilisant par exemple le bouquin de Max Gallo.
Un préquel de qualité pour la série Spartacus. Toujours le même cocktail : Violence, sexe, trahisons et complots pour notre plus grand bonheur. La réalisation gagne en qualité et le casting est excellent. Six épisodes seulement, mais c'est de bonne augure pour une véritable saison 2.