Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
Critique de la saison 1
2,5
Publiée le 25 juillet 2014
Cette première saison est vraiment très moyenne. Même s'il n'y n'avait pas beaucoup de moyens, le résultat aurait pu être bien meilleur avec de bonnes histoires correctement scénarisées...
Du fantastique et de la SF made in France est assez rare. Pour le coup, je ne la descendrais pas en flammes. Maintenant pour ce qui est de la série, elle est bancale. Il est clair que j'aurais préféré une série avec une ligne directrice et une intrigue à la clé. Hero Corp dans le genre fantastique mais avec de l'humour et un budget plus faible parvient à tirer son épingle du jeu et à être excellente (La preuve : une saison 4 est en cours de production) mais celle-ci, à vouloir ressembler à la quatrième dimension parvient tout juste à livrer des épisodes honnêtes mais sans plus. Les histoires varient entre le moyen et le médiocre. La bonne idée est d'avoir intégré à la fin des épisodes les histoires dessinées afin de se faire sa propre opinion sur l'adaptation live. Pour l'instant deux saisons ... Je ne sais pas si elle continuera longtemps sur sa lancée car au niveau de l'écriture, c'est faible et la mise en scène est trop racoleuse. Moyen de moyen !
L'écueil principal auquel se heurte la série, c’est que tout est misé sur la chute des épisodes. Quand cette dernière est réussie, on ne peut que féliciter Guillaume Lubrano pour son entreprise, en revanche, quand elle l’est moins, on ne peut qu’être déçu d’avoir perdu la bagatelle de vingt-six minutes de notre vie ! Et puis forcément, dans ce genre de série proche du court-métrage, le niveau entre les différents épisodes est variable d’un segment à l’autre et souvent l’ensemble est bancal parce que les parties sont inégales. On peut ainsi passer du médiocre au très bon assez rapidement. Les thèmes et genres étant également très différents, on peut plus ou moins aimer l’univers proposé en fonction de ces informations introductives. Mais bon, il faut savoir l’accepter, c’est tout, ça fait partie du jeu et aussi du charme de "Metal Hurlant Chronicles", que de ne savoir ce qui nous attend au tournant. Par ailleurs, les histoires sur dix minutes (cf. l’épisode 3) ne fonctionnent pas aussi bien que celles sur vingt-six car leur faible durée ne permet pas de développer le récit et la psychologie des personnages aussi bien que sur plus du double de temps et c’est bien dommage. A côté de cela, les épisodes montrés dans l’ensemble font preuve d’effets spéciaux et de décors remarquablement bien maitrisés permettant de donner vie à des lieux science-fictionnels ou futuristes de manière plus que crédible. De plus, dès le générique on en a plein les mirettes avec un esprit très BD, peuplé de jolies filles sexys en diable, qui plaira certainement aux fans du magazine culte. Et tout cela est accompagné de la bande-son très réussie de Jesper Kyd, compositeur connu pour avoir écrit quelques scores de films, mais surtout énormément de musiques de jeux vidéo célèbres dont « Assassin's Creed ». Alors oui, "Metal Hurlant Chronicles" est perfectible et certains épisodes auraient gagné à être un peu plus étoffés, mais Guillaume Lubrano a tenu à rester le plus fidèle possible au matériau d'origine, qui parfois n’était composé que de quelques planches faut-il le rappeler ! Aussi, il serait dommage, compte tenu du travail fourni par chacun sur le projet et ce, à tous niveaux, de bouder cette série qui ne constitue pas moins qu’un premier pas vers la SF à la télévision française et laisse tout de même entrevoir un potentiel certain, qui ne demande qu’à être développé. Dans la saison 2 ?
Très bon quoique inégale au niveau des intrigues.. Très longtemps qu'une coproduction en majorité française ne m'avait aussi captivée dans le domaine du fantastique. Le huit-clos post-apocalyptique avec James Marsters est vraiment le bijou de cette première saison. Dommage que cette diffusion sur Fr4 à 23h soit la seule possible car visiblement cette chaîne ne veut pas que ça marche. Pourquoi pas le jeudi soir à la place du sempiternel FBI:Portes disparus? Juste un rêve d'une programmation audacieuse...
Ai assisté Mecredi 3 Octobre à l'avant-première de la diffusion de 3 épisodes de Métal Hurlant dans la salle de projection de France télévisions . Des dialogues assez bas de gamme avec toutefois des chutes d'intrigues intéressantes . Des scènes de bagarres sans intérêt mais qui permettent l'apport d'investisseurs étrangers qui mettent un point d'honneur a ce qu'elles soient présentent, dixit le metteur en scène. De l'inégalité dans l'ensemble mais qui a le mérite d'exister, vu la notoriété de ce magazine par le passé. 2 étoiles.
Que dire de cette mini série? Difficile de rester devant, tellement tout est plat et prévisible à 90%. La seule patte d'originalité ne vient pas de ceux qui ont adapté cette série mais bien des auteurs desquels la série est tiré. Le seul moment plaisant de chaque épisode est celui de la révélation.
De bons techniciens ne font pas de bons raconteurs.
Nous sommes dans une époque sans Rod Serling, Richard Matheson, Isaac Asimov ... et les étudiants de la Femis et cie ne font pas forcément de bons scénaristes.
Bref c'est laborieux, on peine à finir les 23mn, dont la moitié sont superflues.
Enfin visuellement c'est correct vu le maigre budget alloué. Espérons que d'autres tentatives dans ce genre suivront, les dialogues en plus.
Mais c'est quoi cette série ????? Le premier épisode était vraiment intéressant mais après, ça devient ennuyant. Sauf un truc de ouf à la fin du dernier épisode (spoiler: on se dit: "Yes c'est fini!" ) !!
Cette deuxième saison est d'un cru égal à la première, la qualité des scénarios reste très inégale. Si vous recherchez un jeu d'acteur impeccable, une réalisation soignée et des twists inattendus, fuyez sans vous retournez, car ces historiettes décevront l'inconditionnel de science-fiction exigeant. En revanche, la distraction sera au rendez-vous pour qui trouve plaisir à côtoyer des archétypes pulps (le cow-boy, le baroudeur de l'espace, la courtisane...) et à se laisser baigner par l'ambiance spécifique de chaque épisode. L'épisode 6, sur la réalité virtuelle, est pour moi le plus honorable.
Mention spéciale à Dominique Pinon, excellent comme toujours et cabot (merci à lui d'aimer la science-fiction et de lui consacrer une partie de son talent) et à la sensuelle Frédérique Bel, émoustillante.
La volonté de faire une série française qui pour une fois sort des sentiers battus est louable, mais le résultat est franchement pas à la hauteur. Je ne connaît pas le matériel de base donc je juge que le résultat télévisuelle, et il n'est pas fameux. Les effets spéciaux font vraiments fauché par moments et les dialogues sont pour la plupart affligeants; je ne parle même pas de la mise en scène, inexistante. Sur les 6 épisodes de cette saison1 j'en sauverai 1 ou 2 et encore parce que je reconnais l'effort fourni.
La série de science-fiction made in France étant quasiment inexistante, on ne peut qu'applaudir la venue tardive de cette adaptation live de la célèbre revue du même nom. Projet casse-gueule porté à bout de bras pendant des années par Guillaume Lubrano, présent à presque tous les postes, cette première saison n'est forcément pas à la hauteur des attentes disproportionnées. Le bébé de Lubrano a ainsi les défauts de ses qualités et les qualités de ses défauts. Ambitieux mais cheap, généreux mais kitsch, capable du meilleur comme du pire, dôté d'un casting prometteur mais le plus souvent mal joué (hormis James Masters et Michelle Ryan pour l'épisode "Shelter me"), "Metal Hurlant Chronicles" frise plus d'une fois le ridicule et le mauvais goût (Greg le millionaire en ersatz de Conan, fallait oser !) mais témoigne en contrepartie d'un amour sincère pour le genre et d'une certaine ambition qui fait plaisir à voir, dont on retiendra au final trois épisodes ("Shelter me", "Red light / Cold hard facts" et "Master of destiny") capables d'offrir de vrais moments de pure S-F. Espérons que les prochaines saisons déjà annoncées bénéficieront d'un budget un peu plus conséquent et de véritables metteurs en scène pour chaque épisode.
La série de science-fiction made in France étant quasiment inexistante, on ne peut qu'applaudir la venue tardive de cette adaptation live de la célèbre revue du même nom. Projet casse-gueule porté à bout de bras pendant des années par Guillaume Lubrano, présent à presque tous les postes, cette première saison n'est forcément pas à la hauteur des attentes disproportionnées. Le bébé de Lubrano a ainsi les défauts de ses qualités et les qualités de ses défauts. Ambitieux mais cheap, généreux mais kitsch, capable du meilleur comme du pire, dôté d'un casting prometteur mais le plus souvent mal joué (hormis James Masters et Michelle Ryan pour l'épisode "Shelter me"), "Metal Hurlant Chronicles" frise plus d'une fois le ridicule et le mauvais goût (Greg le millionaire en ersatz de Conan, fallait oser !) mais témoigne en contrepartie d'un amour sincère pour le genre et d'une certaine ambition qui fait plaisir à voir, dont on retiendra au final trois épisodes ("Shelter me", "Red light / Cold hard facts" et "Master of destiny") capables d'offrir de vrais moments de pure S-F. Espérons que les prochaines saisons déjà annoncées bénéficieront d'un budget un peu plus conséquent et de véritables metteurs en scène pour chaque épisode.
Que dire de cette mini série? Difficile de rester devant, tellement tout est plat et prévisible à 90%. La seule patte d'originalité ne vient pas de ceux qui ont adapté cette série mais bien des auteurs desquels la série est tiré. Le seul moment plaisant de chaque épisode est celui de la révélation.
Aucun lien avec la BD que j'ai lu. Ni aucun rapport avec ce météore qui sert de lien au début puis à la fin de l'épisode. Ensuite les épisodes sont écrits comme la fameuse série Au delà du réel. Des histoires de 20 minutes à 25 minutes avec une chute forte à la fin de chaque épisodes. Toutes les histoires sont différentes puisque à chaque fois le synopsis n'a q'un seul intéret c'est de vous prendre à contre pieds. Donc les scénarios sont intelligents par contre les effets visuels bidon nous étouffent dans des huit-clos numérique navrant. Les acteurs ne sont pas trop convaincant voir pas du tout sans doute à cause des écrans vert tout autour d'eux. Et puis les effets spéciaux n'ont pas la qualité d'un avatar ou d'un prométheus, dommage. Il ne faudrait pas grand chose pour en faire une très bonne série mais c'est du déjà vu.
Une série française qui souhaite faire revivre l'univers de Métal Hurlant. L'initiative est intéressante sur le papier même si je dois préciser que je n'ai pas connu cette bouillonnante aventure, j'en ai suffisamment entendu parler pour mesurer ce que cela représente dans le paysage SF.
Cette première saison ne comprend que 6 épisodes d'une durée très courte (26 minutes). Chaque histoire est clairement indépendante, les personnages ne sont jamais les mêmes d'une histoire sur l'autre (même si un épisode fait une mini référence à un autre).
Côté scénario, les grands écarts sont nombreux et déconcertants. Certains épisodes sont clairement SF quand d'autres lorgnent plutôt du côté de l'heroic fantasy - un épisode (plutôt bien senti) nous rejoue même le coup du huis-clos post-apocalyptique. spoiler: Attention mini spoiler- il suffit de prendre conscience que Greg le millionnaire peut côtoyer Hitler pour se rendre compte des multiples directions (pour ne pas dire errements) de la série . Chaque épisode se termine par une sorte de "twist moral" dans la lignée de séries comme "Au delà du réel", "Les contes de la crypte" ou "La quatrième dimension". Cette initiative est plutôt savoureuse car c'est un format intéressant un peu tombé en désuétude.
Autre point évidemment très pénalisant pour une série de SF, c'est son manque criant de moyens. Malgré toutes ces petites imperfections, Métal Hurlant a tout de même le mérite d'exister dans le panorama des séries françaises. La moyenne est donc atteinte en guise d'encouragements, il faudra mieux faire sur le deuxième trimestre.