Avis Metal Hurlant Chronicles - Page 4

Après des mois d'attente, Metal Hurlant Chronicles débarque enfin sur nos écrans. C'est une série qui fait réellement figure d'ovni dans le paysage audiovisuel français, puisque nous avons ici affaire à de la science fiction. Si le résultat est loin d'être parfait, l'entreprise est à encourager et on espère qu'une saison 2 verra le jour dans les années à venir. Il est impossible de faire un pitch résumant la série puisque chaque épisode propose un nouvel univers radicalement différent du précédent (tantôt des personnages voyageant dans des vaisseaux spatiaux, tantôt un huis clos dans un abri antiatomique, il y a de tout). Si l'ensemble se révèle assez inégal c'est souvent à cause des mêmes défauts. Les dialogues ne sont pas toujours de la plus belle plume et si vous cherchez des personnages qui partent dans des envolées lyriques vous pouvez d'ores et déjà passer votre chemin. Ensuite, et c'est ce qui pose le plus de problème, il y a du remplissage. Un comble pour des épisodes d'une vingtaine de minutes me direz-vous. On ne retrouve pas ce syndrome dans tous les épisodes, mais dans au moins la moitié on constate que l'épisode en lui-même n'a rien de franchement palpitant et que ce ne sont que les dernières minutes qui, quand elles ne sont pas prévisibles, surprennent le téléspectateur. Les scénaristes devront donc essayer à l'avenir, si une nouvelle saison voit le jour, de faire exister leurs univers et leurs personnages tout le long d'un épisode et non pas se contenter de tout miser sur la conclusion, aussi réussie soit-elle.
Le premier épisode (King's Crown) est plutôt sympathique, on ne s'ennuie pas, et même si l'univers n'a rien de très fabuleux à offrir il tient la route et offre une conclusion assez surprenante qui nous donne par la même occasion une perception différente de l'ensemble.
Le deuxième épisode (Shelter Me) est un des meilleurs épisodes de la saison. C'est un huis clos où l'on retrouve le génial James Marsters (Spike dans Buffy et Angel c'est lui) et Michelle Ryan. Une histoire intéressante, avec du suspense et une fin qui, même si elle s'avère prévisible, clôt l'ensemble dignement.
L'épisode numéro trois (Red Light / Cold Hard Facts) est un épisode avec lequel j'ai eu beaucoup de mal. Il y a deux parties bien distinctes mais je trouve justement qu'elles sont tellement hétérogènes qu'un mixte des deux se révèle assez improbable. Je n'ai pas du tout accroché.
L'épisode 4 (Three on a Match) est un bon exemple du syndrome que je décrivais plus haut: l'histoire est vide et sans grand intérêt, seule la conclusion (qui n'est pas la plus inspirée du show) tente de surprendre. Le début de l'épisode est ridicule à souhait et le mauvais doublage (oui, regardez la série en VO de préférence) n'aide pas à faire passer la pilule (on se croirait dans un mauvais film porno). A noter quand même que l'on retrouve Dominique Pinon dans cet épisode.
L'épisode 5 (Master of Destiny) est mon préféré. On y retrouve Joe Flanigan de Stargate Atlantis et Kelly Brook. C'est un des rares épisodes à nous proposer un univers riche où l'ont aurait aimer passer d'avantage de temps. On y rencontre d'ailleurs des Tortues Sapiens (des aliens quoi, mais ce sont des tortues), j'ai aimé l'idée et malgré quelques passages un peu ridicules (la rencontre des deux personnages principaux bien clichée et écrite avec les pieds) l'ensemble est réussie. De beaux effets spéciaux d'ailleurs globalement, malgré le faible budget de la série.
Enfin, le dernier épisode (Pledge of Anya) nous propose une rencontre improbable: Rutger Hauer et Grégory Basso. Un épisode qui là encore manque réellement d'intérêt et dont seule la fin a le mérite de rehausser le niveau.
Metal Hurlant Chronicles a donc beaucoup de défauts, mais elle bénéficie d'un capital sympathie énorme et d'un tel potentiel qu'il faut savoir lui donner une chance et garder en tête que si l'un des épisodes ne plaît pas, cela ne signifie pas pour autant que vous ne trouverez pas votre bonheur dans un autre (c'est une anthologie je le précise). C'est en encourageant ce genre de projet qu'on peut espérer une diversification de ce que l'on nous propose à la télévision française et certainement pas en le boudant.

La série de science-fiction made in France étant quasiment inexistante, on ne peut qu'applaudir la venue tardive de cette adaptation live de la célèbre revue du même nom. Projet casse-gueule porté à bout de bras pendant des années par Guillaume Lubrano, présent à presque tous les postes, cette première saison n'est forcément pas à la hauteur des attentes disproportionnées. Le bébé de Lubrano a ainsi les défauts de ses qualités et les qualités de ses défauts. Ambitieux mais cheap, généreux mais kitsch, capable du meilleur comme du pire, dôté d'un casting prometteur mais le plus souvent mal joué (hormis James Masters et Michelle Ryan pour l'épisode "Shelter me"), "Metal Hurlant Chronicles" frise plus d'une fois le ridicule et le mauvais goût (Greg le millionaire en ersatz de Conan, fallait oser !) mais témoigne en contrepartie d'un amour sincère pour le genre et d'une certaine ambition qui fait plaisir à voir, dont on retiendra au final trois épisodes ("Shelter me", "Red light / Cold hard facts" et "Master of destiny") capables d'offrir de vrais moments de pure S-F. Espérons que les prochaines saisons déjà annoncées bénéficieront d'un budget un peu plus conséquent et de véritables metteurs en scène pour chaque épisode.

La série de science-fiction made in France étant quasiment inexistante, on ne peut qu'applaudir la venue tardive de cette adaptation live de la célèbre revue du même nom. Projet casse-gueule porté à bout de bras pendant des années par Guillaume Lubrano, présent à presque tous les postes, cette première saison n'est forcément pas à la hauteur des attentes disproportionnées. Le bébé de Lubrano a ainsi les défauts de ses qualités et les qualités de ses défauts. Ambitieux mais cheap, généreux mais kitsch, capable du meilleur comme du pire, dôté d'un casting prometteur mais le plus souvent mal joué (hormis James Masters et Michelle Ryan pour l'épisode "Shelter me"), "Metal Hurlant Chronicles" frise plus d'une fois le ridicule et le mauvais goût (Greg le millionaire en ersatz de Conan, fallait oser !) mais témoigne en contrepartie d'un amour sincère pour le genre et d'une certaine ambition qui fait plaisir à voir, dont on retiendra au final trois épisodes ("Shelter me", "Red light / Cold hard facts" et "Master of destiny") capables d'offrir de vrais moments de pure S-F. Espérons que les prochaines saisons déjà annoncées bénéficieront d'un budget un peu plus conséquent et de véritables metteurs en scène pour chaque épisode.

Peut être que Guillaume Lubrano n'aurait pas du s'attaquer, pour ses premiers pas, à ce genre de séries.
Premièrement parce qu'en 2o12, faire une série dans laquelle les acteurs jouent avec des accessoires en carton est presque honteux.
Et deuxièmement, parce que caster tous les figurants de mauvaises séries françaises ne pourra jamais donner un plus.
Le ton est très ressemblant à celui des contes de la crypte ou de la série Le Visiteur avec une histoire unique par épisode mais tout est tellement bâclée que, finalement, rien ne vaut le coup d’œil.

C'est quoi cette chose ???? Ok c'est la première série de SF française mais quand même ! Pourtant les producteurs avaient tous les moyens pour faire une vraie série de qualité. Cette surproduction française est un niveau tellement bas que rien ne la sauve. Le jeu d'acteur n'est pas convaincant, les effets spéciaux sont bâclés et les scénarios ridicules. Bref comment nous avons pu pondre une telle fiction ratée ?

Les épisodes de "Metal Hurlant Chronicles" peuvent paraître longs et inintéressants avec des effets spéciaux médiocres et un jeu d'acteur assez faible. Il y a de ça mais pourtant chaque épisode a une chute vraiment intéressante à laquelle on peut plus ou moins s'attendre mais il n'empêche que ça tient en haleine!
Ne connaissant pas la BD originale je ne sais pas si la série est fidèle ou non mais les épisodes choisis se regardent facilement, un format de 22 minutes étant très bien choisi pour ce genre d'histoires courtes.

Grâce à ses planches de BD sur lesquelles les plus grands noms de la science-fiction (Moebius pour ne citer que lui, responsable artistique sur "Tron", "Alien" ou encore "Le Cinquième Element") ont contribués, le magazine Métal Hurlant est désormais considéré comme culte par les fans de SF et de comics. C’est le frenchie Guillaume Lubrano qui, 37 après la publication du premier numéro, orchestre une adaptation télévisuelle intitulée "Métal Hurlant Chronicles". Il concrétise ainsi un véritable petit miracle en réussissant à produire la première série de SF française destinée à un public international. Il y fait même venir des acteurs de renom comme Rutger Hauer ("Balde Runner"), Joe Flannigan ("Stargate Atlantis"), James Marsters ("Buffy") et bien d’autres. Malheureusement le résultat final n’est pas à la hauteur de l’attente suscitée par l’annonce du projet. En effet au lieu de trouver un moyen de créer un univers s’appuyant sur le support original il se contente d’adapter les histoires une par une. Les épisodes ne dure qu’une dizaine de minutes chacun, un format très difficile à mettre en place pour la télévision et qui ne fonctionne que pour son twist final. Des twists qui, souvent, ne se révèlent pas à la hauteur. Malgré l’excellente initiative et des effets-spéciaux largement à la hauteur des productions américaines "Métal Hurlant Chronicles" est un divertissement décevant et inconsistant.

Cette deuxième saison est d'un cru égal à la première, la qualité des scénarios reste très inégale. Si vous recherchez un jeu d'acteur impeccable, une réalisation soignée et des twists inattendus, fuyez sans vous retournez, car ces historiettes décevront l'inconditionnel de science-fiction exigeant. En revanche, la distraction sera au rendez-vous pour qui trouve plaisir à côtoyer des archétypes pulps (le cow-boy, le baroudeur de l'espace, la courtisane...) et à se laisser baigner par l'ambiance spécifique de chaque épisode. L'épisode 6, sur la réalité virtuelle, est pour moi le plus honorable.

Mention spéciale à Dominique Pinon, excellent comme toujours et cabot (merci à lui d'aimer la science-fiction et de lui consacrer une partie de son talent) et à la sensuelle Frédérique Bel, émoustillante.

Que dire de cette mini série? Difficile de rester devant, tellement tout est plat et prévisible à 90%. La seule patte d'originalité ne vient pas de ceux qui ont adapté cette série mais bien des auteurs desquels la série est tiré. Le seul moment plaisant de chaque épisode est celui de la révélation.

Une série géniale qui rend enfin hommage au savoir faire français et qui met un coup dans les dents aux américains en disant : "nous aussi on est capable de faire des séries qui déchirent !"
J'attends avec impatience la saison 2 !!!!

Pauvre France, j'ai mis 0.5 uniquement parce que je ne peux pas mettre 0. Cette série ... non je ne peux pas me permettre l'affront d'appeler cette chose une série, le seul but de cette immondice est de confirmer d'une façon magistrale que les productions française ne sont même pas dignes d'être considérées dans le milieu audiovisuel. Ce projet est remplis de clichés, les dialogues sont tellement pauvres et inintéressant qu'ils sont remplis d'insultes, les effets spéciaux n'en parlons pas, je veux dire même le premier Star Wars en V.O parait être un chef d'oeuvre technologique à côté de Metal Hurlant. Les voix extraterrestres sont nullissimes, on peut faire pareil avec une app Iphone, les décors sont vides et une mention spéciale à la téléportation des vaisseaux, les trucs apparaissent comme par magie. Maintenant les combats, encore un sujet d'hilarité, c'est tout bidon, c'est surjoué, on voit que c'est chorégraphié (je me souvient de l'épisode avec les mecs qui se fight pour l’oxygène dans un vaisseau, le type se prend un coup de clé à molette dans la tête, il à même pas une trace ... normal).
Bref c'est remplis d'incohérence (l'épisode avec le chasseur, le mec il rencontre une femme, en 2 secondes il tombe amoureux et décide de l'épouser, encore une fois ... normal // d'ailleurs le seul intérêt de cette épisode est la poitrine plus que généreuse de cette femme).
Mais bon il ne fallait pas espérer grand chose d'une série française capable de donner un rôle récurrent à un type comme Grégory Basso ...

Mon dieu,Mon dieu j'en est vu des merdes mais la qu'es que s'est pathétique tout est a chié
Les scénarios,les acteurs,la réalisation,et les effetes speciaux qui ont 20ans de retard
Bon au moins sa a le mérite d'essayer j'avoue,mais en France a force de creer de series de beaufs tels que : fait pas si fait pas ca, camping paradis,Josephine ange gardien ecttt
ben on est a la ramasse des qu'on en creer une plus ambitieuse .
On est parfois meme dans la parodie dans cette serie enfin bref a l'arrivée cela ne m'etonne guere car c'est francais ya rien de plus naze qu'une fiction francaise
Les series americaines ont de beaux jours devant elle avec moi ya pas photo avec cette Merde incomensurable merci de m'avoir fait rire .......................

Bah c'est français quoi ...
Tout dans la forme et rien dans le fond .

Une excellente série, courte mais excellente, on retrouve un casting bien français, des trucages et des décors géniaux sauf à quelques moments, des histoires mouvementé, effrayante ou encore bourré d'action, une très bonne réalisation et une bonne touche d'humour !

Très bon, Chaque histoire est originale avec de nombreux rebondissements.
J aime beaucoup ce style.