Ce qui faisait la force de la première saison de Blue Bloods, c’était la relation familiale et professionnelle des Reagan, famille d’officiers de la loi, qui s’arrangeait pour se voir tous les dimanches autour d’un repas.
Non seulement les repas de familles continuent à avoir leur importance dans la dramaturgie de la série dans cette deuxième saison, mais ils parviennent aussi à être novateur malgré les 22 nouveaux épisodes que cette saison apporte. Chaque enquête parvient à être passionnante, sans réellement sortir du lot (malheureusement) et on ressortira particulièrement le 2x21, qui met en scène un Fight Club inspiré du film du même nom (et peut-être même du livre, en fait). Les acteurs sont toujours aussi performants, le duo Donnie Wahlberg – Jennifer Esposito fait un malheur, Will Estes gagne quelques moments de bravoure dans la saison, comme son enquête undercover et sa bagarre avec son frère dans les locaux de la police, qui résonne fort tant les liens familiaux sont importants dans la série. On regrettera alors que le rôle de Tom Selleck s’en tienne à des joutes verbales avec son collègue joué par Gregory Jbara et avec le maire, joué par l’impeccable David Ramsey.
Blue Bloods reste une très bonne série, grâce à des acteurs de talent et des scénarios qui leur donnent des beaux rôles. La série pourra-t-elle survivre au départ de Jennifer Esposito ? Rien n’est moins sûr.
On peut faire un copier-coller de mon commentaire sur la saison 1. Je n'ai rien à ajouter de plus pour la saison 2 qui me plaît tout autant que la première. Simple chose j'aimerai acheter le DVD (j'ai déjà la saison 1), alors...quand ?
On prend les mêmes, et on recommence... Dommage qu'il faille porter aux nues cette famille, seule morale et capable du meilleur. L'ensemble est distrayant comme il faut toutefois, passé cette moralité de plus en plus présente.