Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Boston Globe
Plimpton est la colonne vertébrale de cette comédie white-trash douce et caustique à la fois. Elle y est grossière, cynique, épuisante, et aimante presque à contre-cœur (…) Raising Hope est dans le même esprit qu’ « Earl », sans pour autant en être un clone.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
Chicago Sun-Times
Après un seul épisode, Raising Hope a déjà pris une place particulière dans mon cœur. Il y a toujours quelque chose de profondément drôle et touchant dans ces familles de la classe populaire, à l’image de celles de Malcolm, The Middle et Raising Arizona.
La critique complète est disponible sur le site Chicago Sun-Times
Newsday
Le style de montage de Greg Garcia amplifie le pouvoir comique de la série et n’est en aucun cas une simple béquille. La distribution est aussi bonne que celle de « Earl », ce qui n’est pas rien, même si Cloris Leachman y va un peu trop fort dans le rôle de la grand-mère cinglée.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Los Angeles Times
Raising Hope est drôle, rafraichissante, provocante par moment, et elle va occasionnellement un peu trop loin de façon regrettable.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Pop Matters
A mi-chemin entre la moquerie et la compassion, Raising Hope évoque avant tout « Earl », mais avec l’avantage d’avoir des personnages plus crédibles et moins caricaturaux.
La critique complète est disponible sur le site Pop Matters
TV Guide
Plimpton est sensationnelle dans le rôle de la mère dure et barrée de Jimmy (…) Leachman est outrageusement drôle, Garret Dillahunt s’en sort parfaitement en père immature et fier de l’être, et je tiens à décerner une mention spéciale aux bébés doublures !
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
Miami Herald
Le concept de Raising Hope n’est pas très original, la série manque clairement de classe et elle n’a honte de rien, mais elle nous offre de grands moments de rires et de délires. Ce serait dommage de s’en priver. Tant que vous tirez les rideaux du salon pour que personne ne voie que vous regardez…
La critique complète est disponible sur le site Miami Herald
Pittsburg Post-Gazette
Raising Hope n’est définitivement pas faite pour les gens qui sont vite offensés ou ceux qui manquent d’humour. Le pilote est constamment divertissant pour ceux qui sont prêts à se laisser embarquer dans l’univers de Garcia, peuplé de héros opprimés.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
Time
La série peut s’améliorer. C’est ce que laissent supposer quelques passages prometteurs. Neff est charmant, Dillahunt et Plimpton réussissent à ajouter du réalisme à leurs personnages, ce qui permet de contrebalancer certaines blagues franchement méprisantes. 20% du premier épisode montre une douceur bienvenue qui aide à dépasser le stade de l’humour white-trash basique.
La critique complète est disponible sur le site Time
Huffington Post
Raising Hope est l’une des comédies les plus déconcertantes du moment. Elle n’a rien de drôle et gâche le talent de deux acteurs formidables. Elle est trop générale, criarde, farfelue et agressive, jusqu’aux dernières minutes qui permettent, contrairement à tout le reste de l’épisode, de sentir un semblant de réalisme, et qui placent les personnages sur une échelle humaine.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post
Boston Globe
Plimpton est la colonne vertébrale de cette comédie white-trash douce et caustique à la fois. Elle y est grossière, cynique, épuisante, et aimante presque à contre-cœur (…) Raising Hope est dans le même esprit qu’ « Earl », sans pour autant en être un clone.
Chicago Sun-Times
Après un seul épisode, Raising Hope a déjà pris une place particulière dans mon cœur. Il y a toujours quelque chose de profondément drôle et touchant dans ces familles de la classe populaire, à l’image de celles de Malcolm, The Middle et Raising Arizona.
Newsday
Le style de montage de Greg Garcia amplifie le pouvoir comique de la série et n’est en aucun cas une simple béquille. La distribution est aussi bonne que celle de « Earl », ce qui n’est pas rien, même si Cloris Leachman y va un peu trop fort dans le rôle de la grand-mère cinglée.
Los Angeles Times
Raising Hope est drôle, rafraichissante, provocante par moment, et elle va occasionnellement un peu trop loin de façon regrettable.
Pop Matters
A mi-chemin entre la moquerie et la compassion, Raising Hope évoque avant tout « Earl », mais avec l’avantage d’avoir des personnages plus crédibles et moins caricaturaux.
TV Guide
Plimpton est sensationnelle dans le rôle de la mère dure et barrée de Jimmy (…) Leachman est outrageusement drôle, Garret Dillahunt s’en sort parfaitement en père immature et fier de l’être, et je tiens à décerner une mention spéciale aux bébés doublures !
Miami Herald
Le concept de Raising Hope n’est pas très original, la série manque clairement de classe et elle n’a honte de rien, mais elle nous offre de grands moments de rires et de délires. Ce serait dommage de s’en priver. Tant que vous tirez les rideaux du salon pour que personne ne voie que vous regardez…
Pittsburg Post-Gazette
Raising Hope n’est définitivement pas faite pour les gens qui sont vite offensés ou ceux qui manquent d’humour. Le pilote est constamment divertissant pour ceux qui sont prêts à se laisser embarquer dans l’univers de Garcia, peuplé de héros opprimés.
Time
La série peut s’améliorer. C’est ce que laissent supposer quelques passages prometteurs. Neff est charmant, Dillahunt et Plimpton réussissent à ajouter du réalisme à leurs personnages, ce qui permet de contrebalancer certaines blagues franchement méprisantes. 20% du premier épisode montre une douceur bienvenue qui aide à dépasser le stade de l’humour white-trash basique.
Huffington Post
Raising Hope est l’une des comédies les plus déconcertantes du moment. Elle n’a rien de drôle et gâche le talent de deux acteurs formidables. Elle est trop générale, criarde, farfelue et agressive, jusqu’aux dernières minutes qui permettent, contrairement à tout le reste de l’épisode, de sentir un semblant de réalisme, et qui placent les personnages sur une échelle humaine.