pour les fans de rome, de the tudors, game of thrones... cette série est très bien faite, jeremy irons est impitoyable. le rôle lui va comme un gant. à voir
Très bonne série, j'ai dévoré la saison 1 en une journée ! J'étais impatiente de voir ce que donné Jérémy Irons dans le rôle du pape Alexandre VI, et je n'ai pas été déçu, ni de lui ni du reste du casting. On a aucun mal à rentrer dans leur vie rythmé par les trahisons, les complots, la vengeance, et le pouvoir. Une chose est sure, c'est que cette première saison m'a tenu en haleine jusqu'au bout. Je suis impatiente de voir la saison deux !
En voilà une drôle de situation ! Alors que Canal nous préparait son "Borgia" pour nous le diffuser pour cet automne, nos chers amis d'Outre-atlantique menaient le même projet, sur le même sujet, mais ce coup-ci sous la houlette de la chaîne "Showtime", ceux à qui ont doit "Dexter" et "Californication" (tout de même !) Très intéressé par le sujet et la période, il fallait bien que je commence par l'une des deux, et c'est donc par cette version américaine que j'ai entamé ma plongée dans les vices pontificaux. Sans être en mesure de faire de comparatif avec la version que diffuse Canal car je ne l'ai pour le moment pas vu, je peux tout au moins déjà me contenter d'exprimer mon contentement sur cette première mouture ! La qualité d'écriture et la minutie de la réalisation propres aux séries américaines de ce début de siècle est ici en tout point respectée : le casting est impeccable, la reconstitution de cet univers est brillante, et la construction des intrigues qui s'entrecroisent m'a très vite dévoré l'esprit, malgré ma connaissance de la période et de l'issue de chacun des personnages. Franchement, c'est encore une fois un remarquable travail de haute volée auquel s'est livré Showtime... Petit bémol malgré tout – et là je fais mon historiophile (ça existe ce mot ?!) un peu casse-burne – mais j'avoue avoir nourri un léger regret : celui de retrouver une famille Borgia bien trop sage dans cette série par rapport à ce qu'elle a été à son époque. De même, je m'étonne que le phénomène Borgia n'ait été abordé qu'à partir de Rodrigo, et en se centrant essentiellement sur l'Italie. A mon sens la série aurait gagné à prendre davantage de recul sur ces sujets là... Mais bon, peut-être Showtime a-t-il voulu ménager ses spectateurs – notamment ses spectateurs américains pour qui toucher à la religion est chose sensible – et que les choses vont commencer à se gâter pour les saisons à venir... En attente donc de voir la saison 2, et la version Canal de Tom Fontana, j'en resterai à ce très bon souvenir que je garde en bouche avec cette première saison déjà fort bien réussie...
Ce premier épisode de la série The Borgias est très encourageant !
Ce pilot dure environ 1h40 et le spectateur est immédiatement plongé dans l’ambiance. J’ai été littéralement scotché à mon fauteuil du début à la fin et j’attends la suite avec une très grande impatience. Ce premier épisode relate l’ascension au pouvoir de Rodrigo Borgia qui va devenir le Pape Alexandre VI. On est plongé dans un monde où les intrigues et la corruption règnent en maitre. Un monde où tout est permis et où les dangers sont partout. D’un point de vu historique, la série m’a semblé rester fidèle et Neil Jordan réussit à travailler son scénario pour nous intéresser. La série est dramatique, mais le réalisateur a réussi à installer quelques moments d’humour (un humour subtil, bien dosé et très efficace).
Du côté de la mise en scène, c’est également un sans-faute. L’ambiance pesante, sombre, malsaine est très juste et les décors et les costumes sont magnifiques. De plus, les musiques conviennent parfaitement et sont présente aux bons moments. En clair, c’est une immersion réussie. A noter également, j’ai trouvé la conception du générique de début originale.
Le casting est également irréprochable. Les acteurs comme François Arnaud, Holliday Grainger, David Oakes, Derek Jacobi ou encore Vernon Dobtcheff sont tous justes dans leurs interprétations. De même, j’ai trouvé le jeu de Colm Feore parfait et Jeremy Irons est tout simplement parfait. Le célèbre acteur oscarisé nous livre une interprétation toute en finesse comme il sait le faire. Son jeu de regard est notamment remarquable.
Un troisième épisode qui s’inscrit dans la continuité des précédents.
Le spectateur est de nouveau immergé au milieu de la Renaissance. Dans cet épisode, la famille Borgia reçoit un prince Moore et cherche par tous les moyens à se refaire une fortune après la couteuse ascension à la Papauté de Rodrigo Borgia. L’histoire est toujours aussi intéressante, je suis resté captivé à mon écran du début à la fin. Le scénario est travaillé, les personnages commencent à se développer et leurs relations également (néanmoins, j’ai encore des attentes de ce côté-là). On s’attache à certains protagonistes comme le Cardinal Della Rovere, mais également à Rodrigo Borgia (ce qui peut sembler étrange vu qu’il est particulièrement méprisable). Cet épisode est beaucoup plus sombre et dramatique que les deux premiers où il y avait quelques touches d’humour. A noter également, d’un point de vu historique la série me semble correcte. Du côté de la mise en scène, c’est toujours un sans-faute pour Neil Jordan. L’immersion est parfaite et les décors et les costumes sont toujours aussi magnifiques. On ressent toujours cette tension palpable dans une ambiance malsaine. La bande son est également excellente. Pour le casting, les acteurs comme François Arnaud, Joanne Whalley et David Oakes sont toujours aussi irréprochables. Jeremy Irons et Colm Feore sont simplement parfaits et Elyes Gabel est également convaincant dans son rôle. En revanche, l’interprétation d’Holliday Grainger me semble un peu trop technique.
Bref, c’est un épisode encore plus dramatique et je dirais même plus réussi que les deux précédents. J’attends toujours la suite avec une très grande impatience.
Après un épisode 4 décevant, on revient à du grand art !
J’ai été littéralement captivé par celui-ci, riche en intrigue, suspens et rebondissements. Dans l’épisode, Rodrigo Borgia cherche à se protéger contre une potentielle invasion Française qui aurait été provoquée par son rivale, le Cardinal Della Rovere. Le scénario est parfaitement bien tourné pour captiver le spectateur et ne lui laisser aucun répit. Les rebondissements et les intrigues s’enchainent. Le temps passé à la vitesse de l’éclair. Le développement des personnages se poursuit et celui de Lucrezia Borgia prend plus d’ampleur. La réalisation de John Maybury est fluide. Costumes, décors et photographie sont toujours aussi beaux et l’immersion est réussie. La BO s’accorde parfaitement à l’ambiance oppressante, tendue et le rythme est parfait. Du côté de la distribution, je n’ai rien à redire. Jeremy Irons est plus effrayant que jamais et j’ai trouvé Holliday Grainger beaucoup plus convaincante que dans les épisodes précédents. Son personnage est beaucoup plus développé dans celui-ci. il y a donc certainement un lien entre les deux. Elle réussit à être très juste à de nombreux moments et notamment lorsqu’elle se retrouve en présence de son mari.
L’armée Française marche sur Rome et le Pape se retrouve seul face à cette grande armée. Le rôle de certains personnages se précise et la tension devient de plus en plus palpable. Je suis resté absorbé tout le long de l’épisode et je suis vraiment surpris de m’être autant attaché aux personnages. Pour la mise en scène, rien à ajouter par rapport aux précédents épisodes. On reste dans la même logique avec des costumes et des décors irréprochables et des effets spéciaux réalistes. Les acteurs sont parfaits dans leurs rôles.
Ce dernier épisode est à la hauteur de mes attentes.
Rodrigo Borgia doit faire face au roi de France et à ses décisions passées. Toujours aussi riche en psychologie, l’épisode nous immerge pour une dernière fois dans la renaissance de l’époque. Pour la première fois depuis le début de la saison, on verra la famille Borgia entièrement unie face à l’ennemi, puis autour d’un heureux événement. Aussi prenant que le début de la saison, je n’ai pas vu le temps passer et dans un sens, j’étais triste que tout s’arrête à la fin de l’épisode. Fin qui aurait pu clore la série. Ce ne sera finalement pas le cas puisqu’elle est renouvelée pour une seconde saison. Du côté des acteurs, j’ai beaucoup apprécié la rencontre du roi de France (Michel Muller) et du Pape (Jeremy Irons), les deux acteurs retranscrivent parfaitement bien la subtilité et la relation particulière entre les protagonistes.
Bref, c’est un épisode qui termine bien cette saison.
Ce premier épisode de la série The Borgias est très encourageant ! Ce pilot dure environ 1h40 et le spectateur est immédiatement plongé dans l’ambiance. J’ai été littéralement scotché à mon fauteuil du début à la fin et j’attends la suite avec une très grande impatience. Ce premier épisode relate l’ascension au pouvoir de Rodrigo Borgia qui va devenir le Pape Alexandre VI. On est plongé dans un monde où les intrigues et la corruption règnent en maitre. Un monde où tout est permis et où les dangers sont partout. D’un point de vu historique, la série m’a semblé rester fidèle et Neil Jordan réussit à travailler son scénario pour nous intéresser. La série est dramatique, mais le réalisateur a réussi à installer quelques moments d’humour (un humour subtil, bien dosé et très efficace). Du côté de la mise en scène, c’est également un sans-faute. L’ambiance pesante, sombre, malsaine est très juste et les décors et les costumes sont magnifiques. De plus, les musiques conviennent parfaitement et sont présente aux bons moments. En clair, c’est une immersion réussie. A noter également, j’ai trouvé la conception du générique de début originale. Le casting est également irréprochable. Les acteurs comme François Arnaud, Holliday Grainger, David Oakes, Derek Jacobi ou encore Vernon Dobtcheff sont tous justes dans leurs interprétations. De même, j’ai trouvé le jeu de Colm Feore parfait et Jeremy Irons est tout simplement parfait. Le célèbre acteur oscarisé nous livre une interprétation toute en finesse comme il sait le faire. Son jeu de regard est notamment remarquable. Bref, J’attends la suite avec impatience…
J’ai trouvé ce quatrième épisode de la saison un peu en dessous des autres.
Dans cet épisode, Rodrigo Borgia marie sa fille Lucrezia. L’histoire globale est intéressante, mais le scénario est peut être mal tourné rendant l’épisode un peu trop longuet. L’attitude de Cesare Borgia vis-à-vis de son père commence à se préciser et les relations entre les personnages se développent lentement. A noter, la fin donne sensiblement envie de voir la suite. La mise en scène de Neil Jordan est toujours aussi irréprochable. J’ai tout de suite été plongé dans l’ambiance, les décors, les costumes et la photographie sont toujours aussi magnifiques. Néanmoins, le rythme est moins soutenu que pour les épisodes précédents et je pense que certaines personnes pourront rapidement s’ennuyer voir décrocheront. Le réalisateur développe peut être trop de passages inutiles et notamment celui du mariage. Du côté de la distribution, les acteurs sont toujours convaincants dans leurs rôles. En revanche, le jeu d’Holliday Grainger me gène toujours un peu. Je ne sais pas si c’est un souhait du réalisateur ou de l’actrice, mais je la trouve trop superficielle et trop peu convaincante.
Bref, pour moi, on redescend un peu. Par contre, je suis toujours aussi pressé de voir la suite…
Ce sixième épisode est aussi prenant que les précédents.
Le Cardinal Della Rovere tente de convaincre le roi de France d’attaquer le royaume de Naples en passant par Rome et le Vatican. Le scénario est travaillé, les personnages continuent leurs développements et notamment celui de Juan Borgia, passé inaperçu auparavant. Toujours un peu d’humour dans cette ambiance sombre et oppressante. L’intrigue est toujours aussi efficace, tenant le spectateur en haleine tout le long. Du côté de la mise en scène, je n’ai rien à ajouter par rapport aux autres épisodes. A noter que le personnage de Lucrèce à trouver sa place dans l’histoire et qu’Holliday Grainger a réussi à s’encrer dans le personnage. Le reste du casting est toujours aussi irréprochable. J’ai été ravi de retrouver Michel Muller dans le rôle du roi Charles VIII. C’est un acteur de talent qui se fait trop rare sur nos écrans.
Dans cet épisode, le Cardinal Della Rovere marche sur Rome accompagné de l’armée Française. Le scénario de l’épisode est travaillé pour le rendre très captivant. La psychologie des personnages se développe. Ainsi ils se retrouvent tous de plus en plus dans le doute. Aussi bien Della Rovere que les membres de la famille Borgia et leurs alliés. L’arrivée des Français dans le jeu change toute la donne et certains protagonistes vacillent déjà. La mise en scène de Jeremy Podeswa est aussi réussie que celle des épisodes précédents. Une ambiance de plus en plus tendue se dégage de l’épisode et les costumes, décors et la photographie sont toujours aussi impeccables. Bref, c’est une immersion complète et le rythme convient parfaitement. Pour le casting, je n’ai rien à redire. J’accorde toujours une mention spéciale pour Jeremy Irons qui est vraiment parfait en Rodrigo Borgia. Il donne une intensité particulière au personnage.
La fin nous laisse terriblement en suspens ! Je suis très pressé de voir la suite…
J'ai eu l'occasion de visionner la première saison de cette série et la comparer avec la série européenne diffusée par Canal Plus. Et bien pour moi, il n'y a pas photo. Celle-ci me parait nettement supérieure. Certes, certains points comme les manoeuvres de Borgia pour se faire élire pape ne sont pas évoquées et le personnage campé par Jeremy Irons ne cadre pas bien avec le look réel du pape Alexandre VI, mais l'ensemble se laisse regarder avec plaisir, et les personnages secondaires, comme les enfants Borgia,ont été bien choisis, contrairement à la série européenne. Une réussite.
J'avais les 2 Borgias dans ma liste de séries à regarder mais jamais eu l'occasion. Ravie que D8 soit dans le groupe Canal car je ne l'ai pas. Je me dis chouette, on va avoir toutes les bonnes séries de Canal, ce qui n'est pas forcément le cas car celle là est une grosse daube. C'est plat, c'est lent, il ne se passe rien, les événements s'enchaînent rapidement sans être vraiment traités. Il n'y a aucune force ni suspense, on s'endort (au sens propre) pourtant il y a de quoi faire avec les intrigues de l'époque et d'autres excellentes séries ont fait de la bonne fiction avec l'histoire que ceux qui pleurent parce que the Borgias est finie aillent voir The Tudors (entre autres). Même Jeremy Irons qui est un excellent acteur au demeurant n' a aucune présence alors qu'il aurait pu camper un salaud extraordinaire, quant à Lucrèce Borgia elle a un charisme d'huître, sans être tatillonne sur la vérité historique dans les séries, Lucrèce Borgia était une femme de personnalité pour son époque. Il n'y a que Cesare Borgia que j'ai trouvé bien. Un bon point quand même pour les costumes, la réalisation, on sent le gros budget derrière, c'est pourquoi je n'ai pas mis nul. DOMMAGE ! Apparemment Borgia est mieux, j'irai jeté un oeil car j'adore les bonnes séries historiques.