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11 critiques presse
New York Post
Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez vu Deadwood ou Les Soprano, et que vous n'arriviez pas à comprendre ce que vous veniez de voir - tout en sachant que vous en vouliez plus ? C'est exactement le sentiment que vous éprouverez après avoir vu Luck, la nouvelle série de HBO, qui ne ressemble à rien de ce que vous avez pu voir auparavant (...)
New York Times
Cette saison composée de neuf épisodes est ennuyeusement et inutilement opaque, et tellement respectueuse des rites et des rituels de la course que l'intrigue en devient laborieuse et même morne. Cela s'arrange avec le temps, mais ce n'est pas avant son final que Luck intensifie son pas et construit un suspense et un sens de l'urgence (...) Luck souffre d'intentions élevées et d'un certain snobisme. La quête d'authenticité des créateurs entrave la construction d'un fil narratif excitant.
San Francisco Chronicle
Les fans de Deadwood savent déjà que [David] Milch ne facilite pas la tâche des téléspectateurs et ne créé pas de prise aisée pour s'accrocher à ses séries, mais pour ceux prêts à faire l'effort qu'il faut, Luck offrira sa récompense
Slant Magazine
Peut-être que l'expérience la plus audacieuse entreprise par la série de David Milch, qui montre souvent les êtres humains sous leur jour le plus dégradant et indigne de quoi que ce soit, est d'examiner, critiquer mais, dans le même temps, de célèbrer la réalisation, certes fugace, de l'intimité. L'amitié, l'amour romantique et même l'attachement sentimental sont les véritables sujets de Luck (...) En demandant aux téléspectateurs de simplement regarder ses personnages dans les yeux, Milch a créé un drama furieusement mais sincèrement émouvant
Los Angeles Times
Dans le rôle de Gus, le garde du corps/conseiller/meilleur ami de Ace, Dennis Farina est la plus grande révélation de Luck. Complice de Michael Mann depuis de nombreuses années, Farina délivre la meilleure performance de sa carrière, apportant de l'humanité et de l'humour dans la pièce à chaque fois qu'il apparaît à l'écran. Sa présence permet à Hoffman de faire ce qu'il fait de mieux : explorer la douleur personnelle qui serpente même derrière la façade la plus implacable qui soit. Avec leurs cheveux d'argent et leurs visages burinés, voilà deux hommes qui ont vécu longtemps et dangereusement côte à côte, qui ne se comprennent que trop bien et qui s'aiment quoi qu'il advienne. Le couple le plus hot de 2012.
Philadelphia Daily News
J'ai vu neuf épisodes de la première saison de Luck et je ne sais toujours pas comment faire un pari et encore moins déterminer un cheval gagnant. Mais lorsque le manège s'arrête finalement de tourner, je suis impatient d'acheter un autre ticket
The Hollywood Reporter
Comme beaucoup de séries de HBO, Luck demandera de la patience. Elle raconte une histoire dense avec des personnages nuancés et ne ressent pas le besoin de se presser, comme une série de networks, et de marteler ses principaux thèmes pour qu'on comprenne bien. Mais, chaque épisode est plus riche, plus captivant que ne l'était le précédent.
USA Today
Comme on l'attend de HBO, [Luck] est merveilleusement bien filmée et sent l'authenticité à plein nez. Jason Gedrick et Kevin Dunn signent de belles performances dans leurs rôles de leaders d'un quator de parieurs, et le bon boulot est partout. Mais, autant Milch est clairement attiré par ce monde, autant il n'a pas encore su le transformer en un endroit qui pourrait être sympathique ou même fascinant à visiter.
Variety
Dans un sens, Luck a beaucoup en commun avec une autre série de HBO, Treme, dans la spécificité de son cadre et de ses longues et méticuleuses séquences (on a du jazz, des chevaux qui s'emballent autour de la piste de Santa Anita) qui attireront follement les aficionados mais perdront probablement les autres qui n'y sont pas sensibles.
Washington Post
Désormais, toutes les nouvelles séries de [HBO] (et celle de ses imitatrices) laissent la complexité parler à la vraisemblance. La vie est un sac de noeuds et on ne rentre pas [dans Luck] en comprenant directement qui sont tous ces gens et quelles sont leurs intentions (sinon vous regarderiez CBS).(...) Cette série soumet inéluctablement ses remarquables [chevaux] au même danger mortel que ses déplorables humains, ce qui signifie que les amoureux des animaux pourraient eux aussi avoir envie de s'éclipser. Luck est dure envers tout le monde.
New Yorker
Dès le pilote, filmé à l'hippodrome de Santa Anita et réalisé par Michael Mann, la caméra fourre son nez partout, lappant le charme sale des écuries (...), [rôdant près] des champions triomphant devant les caméras et, particulièrement, [près] des courses elles-même. Des séquences durant lesquelles la caméra se rapproche tellement qu'elle pourrait tout autant être un cheval. Mais, lorsqu'il s'agit de l'intrigue, malheureusement, Luck est d'un ennui.
New York Post
Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez vu Deadwood ou Les Soprano, et que vous n'arriviez pas à comprendre ce que vous veniez de voir - tout en sachant que vous en vouliez plus ? C'est exactement le sentiment que vous éprouverez après avoir vu Luck, la nouvelle série de HBO, qui ne ressemble à rien de ce que vous avez pu voir auparavant (...)
New York Times
Cette saison composée de neuf épisodes est ennuyeusement et inutilement opaque, et tellement respectueuse des rites et des rituels de la course que l'intrigue en devient laborieuse et même morne. Cela s'arrange avec le temps, mais ce n'est pas avant son final que Luck intensifie son pas et construit un suspense et un sens de l'urgence (...) Luck souffre d'intentions élevées et d'un certain snobisme. La quête d'authenticité des créateurs entrave la construction d'un fil narratif excitant.
San Francisco Chronicle
Les fans de Deadwood savent déjà que [David] Milch ne facilite pas la tâche des téléspectateurs et ne créé pas de prise aisée pour s'accrocher à ses séries, mais pour ceux prêts à faire l'effort qu'il faut, Luck offrira sa récompense
Slant Magazine
Peut-être que l'expérience la plus audacieuse entreprise par la série de David Milch, qui montre souvent les êtres humains sous leur jour le plus dégradant et indigne de quoi que ce soit, est d'examiner, critiquer mais, dans le même temps, de célèbrer la réalisation, certes fugace, de l'intimité. L'amitié, l'amour romantique et même l'attachement sentimental sont les véritables sujets de Luck (...) En demandant aux téléspectateurs de simplement regarder ses personnages dans les yeux, Milch a créé un drama furieusement mais sincèrement émouvant
Los Angeles Times
Dans le rôle de Gus, le garde du corps/conseiller/meilleur ami de Ace, Dennis Farina est la plus grande révélation de Luck. Complice de Michael Mann depuis de nombreuses années, Farina délivre la meilleure performance de sa carrière, apportant de l'humanité et de l'humour dans la pièce à chaque fois qu'il apparaît à l'écran. Sa présence permet à Hoffman de faire ce qu'il fait de mieux : explorer la douleur personnelle qui serpente même derrière la façade la plus implacable qui soit. Avec leurs cheveux d'argent et leurs visages burinés, voilà deux hommes qui ont vécu longtemps et dangereusement côte à côte, qui ne se comprennent que trop bien et qui s'aiment quoi qu'il advienne. Le couple le plus hot de 2012.
Philadelphia Daily News
J'ai vu neuf épisodes de la première saison de Luck et je ne sais toujours pas comment faire un pari et encore moins déterminer un cheval gagnant. Mais lorsque le manège s'arrête finalement de tourner, je suis impatient d'acheter un autre ticket
The Hollywood Reporter
Comme beaucoup de séries de HBO, Luck demandera de la patience. Elle raconte une histoire dense avec des personnages nuancés et ne ressent pas le besoin de se presser, comme une série de networks, et de marteler ses principaux thèmes pour qu'on comprenne bien. Mais, chaque épisode est plus riche, plus captivant que ne l'était le précédent.
USA Today
Comme on l'attend de HBO, [Luck] est merveilleusement bien filmée et sent l'authenticité à plein nez. Jason Gedrick et Kevin Dunn signent de belles performances dans leurs rôles de leaders d'un quator de parieurs, et le bon boulot est partout. Mais, autant Milch est clairement attiré par ce monde, autant il n'a pas encore su le transformer en un endroit qui pourrait être sympathique ou même fascinant à visiter.
Variety
Dans un sens, Luck a beaucoup en commun avec une autre série de HBO, Treme, dans la spécificité de son cadre et de ses longues et méticuleuses séquences (on a du jazz, des chevaux qui s'emballent autour de la piste de Santa Anita) qui attireront follement les aficionados mais perdront probablement les autres qui n'y sont pas sensibles.
Washington Post
Désormais, toutes les nouvelles séries de [HBO] (et celle de ses imitatrices) laissent la complexité parler à la vraisemblance. La vie est un sac de noeuds et on ne rentre pas [dans Luck] en comprenant directement qui sont tous ces gens et quelles sont leurs intentions (sinon vous regarderiez CBS).(...) Cette série soumet inéluctablement ses remarquables [chevaux] au même danger mortel que ses déplorables humains, ce qui signifie que les amoureux des animaux pourraient eux aussi avoir envie de s'éclipser. Luck est dure envers tout le monde.
New Yorker
Dès le pilote, filmé à l'hippodrome de Santa Anita et réalisé par Michael Mann, la caméra fourre son nez partout, lappant le charme sale des écuries (...), [rôdant près] des champions triomphant devant les caméras et, particulièrement, [près] des courses elles-même. Des séquences durant lesquelles la caméra se rapproche tellement qu'elle pourrait tout autant être un cheval. Mais, lorsqu'il s'agit de l'intrigue, malheureusement, Luck est d'un ennui.