13 épisodes
Chaîne d'origine : HBO
Diffusée à partir de : 20 avril 2012
Karl Pilkington s'emporte à propos des collections d'oeuvres trop importantes dans les musées. Il suggère que les établissements se concentrent sur quelques oeuvres majeures plutôt que de cumuler. Le débat se prolonge sur une autre idée de Karl : un dessous de verre à clipser sur la tasse. Ce dernier enchaîne ensuite en parlant de cinéma. Il a des idées de scénarios de films d'action avec Tom Cruise...
Karl Pilkington remarque qu'il arrive à un âge où les rendez-vous chez les médecins se multiplient. Il commence à imaginer une autre forme d'oeuvre charitative. Ricky Gervais ne partage pas ses positions. Karl enchaîne en parlant de sa petite amie. Il pense se marier avec elle pour une question d'impôts. Il s'amuse de la situation en avouant que cela ferait une bonne occasion pour la présenter à ses parents. Stephen Merchant revient sur les associations de bienfaisance. Il révèle qu'il fait semblant d'être étranger pour ne pas donner. Mais ce mensonge pose problème quand les gens le reconnaissent...
Karl Pilkington raconte une de ses journées à ses deux amis, Ricky Gervais et Stephen Merchant. Le matin, il est réveillé par sa petite amie Suzanne. Il prend le temps de petit-déjeuner et d'écouter la radio. Il s'habille et met toujours en dernier ses chaussettes. Il téléphone tous les jours à ses parents pour leur faire plaisir, mais il ne les écoute pas vraiment. Il aime rester chez lui et attendre le retour de Suzanne. Après avoir dîné ensemble, ils regardent la télévision...
Ricky Gervais, Karl Pilkington et Stephan Merchant discutent de George Orwell et de ce qu'il faut bannir pour toujours. Karl propose les limaces et les lumières des réfrigérateurs pour empêcher les gens de grignoter la nuit quand ils rentrent de soirée. Cette solution limiterait les problèmes de surpoids à ses yeux. Ricky interroge ensuite son ami sur le livre qu'il souhaiterait garder sur une île déserte...
Karl Pilkington raconte une de ses journées à ses deux amis, Ricky Gervais et Stephen Merchant. Le matin, il est réveillé par sa petite amie Suzanne. Il prend le temps de petit-déjeuner et d'écouter la radio. Il s'habille et met toujours en dernier ses chaussettes. Il téléphone tous les jours à ses parents pour leur faire plaisir, mais il ne les écoute pas vraiment. Il aime rester chez lui et attendre le retour de Suzanne. Après avoir dîné ensemble, ils regardent la télévision...
Ricky Gervais se pose une question : quel est le profil de l'Anglais type et qui y ressemble ? Il se représente quelqu'un avec le corps et le visage de Karl, tandis que Stephen imagine un mélange entre Hugh Grant et Roger Moore. Karl se dit qu'il aurait aimé être né Italien, car il aime les pâtes. Ricky songe, pensif, aux personnes âgées et s'interroge sur les problématiques liées à la fin de vie...
Karl profite d'une digression historique de Stephen pour donner son point de vue sur la médecine exercée dans l'ancien monde du roi égyptien Tut, mort d'une blessure au genou. Il évoque aussi la maîtrise surprenante qu'avaient les médecins romains de l'hygiène durant les épidémies. Il confie à ses amis combien le fait d'être malade lui permet curieusement de se sentir mieux, et leur fait part d'une idée qui lui trotte dans la tête : inventer une machine qui permettrait aux médecins de sentir la douleur de leurs patients...
Alors qu'il réfléchit à l'origine de l'univers, Karl avance qu'après le Big Bang, la Terre est restée suspendue dans l'espace pendant un temps, jusqu'à ce que l'air «donne naissance à la verdure». Quand Ricky lui demande comment la vie a bien pu évoluer sur d'autres planètes, Karl lui explique qu'il imagine les Plutoniens comme des êtres très poilus et avec de grands yeux. Il décide de faire don de son canapé à des sans-abri, et évoque les difficultés qu'il rencontre pour recycler son matelas. Karl visite l'Egypte, mais est plus impressionné par l'absence de toilettes propres que par les pyramides...
Stephen et Ricky demandent à Karl quelles lois il ferait appliquer s'il était chargé de légiférer pour le bien du pays. Ce dernier leur répond qu'avec lui, le port du casque pour les motards ou les cyclistes ne serait pas obligatoire. Mais comment justifier une telle décision auprès d'un enfant dont les parents seraient victimes d'un terrible accident ? Ricky propose d'enfermer les gens en surpoids dans un placard pendant un an et de les nourrir uniquement de carottes pour les obliger à maigrir. Karl désapprouve : selon lui, une telle décision appartient à la famille...
Karl se demande pourquoi une chose ancienne devrait automatiquement avoir de la valeur ou être jugée bonne, qu'il s'agisse des écrits de Shakespeare ou de l'art rupestre. La conversation s'oriente ensuite vers les jeux de mots. Karl, qui n'aime pas quand leur signification est trop éloignée de l'expression elle-même, s'interroge sur le sens de certains vieux dictons guerriers, imaginant un scénario dans lequel il joue le rôle de la femme d'un GI sur le départ...
Ricky et Stephen se remémorent une soirée passée à regarder la coupe du monde de football, ensemble dans une chambre d'hôtel. A l'époque, les deux comparses avaient dû dormir dans le même lit. Avec Karl, ils méditent sur le problème du fanatisme sportif et des supporters qui se laissent emporter par leurs émotions, à l'instar du «gros Bob». Bouleversé par la défaite de l'Angleterre, battue à plate couture par l'Allemagne durant une compétition, il avait ni plus ni moins retourné un camion de saucisses. Puis, les trois garçons évoquent le problème de la tricherie, dans le sport comme dans la vie...
Ricky demande à Karl quel a été pour lui le moment le plus marquant de l'année écoulée. Ce dernier raconte alors la fois où il a observé un insecte sortir par la fenêtre en emportant un biscuit en miettes sur sa carapace. Karl en profite pour partager une de ses devises personnelles, selon laquelle on n'obtient rien grâce à la stratégie et à l'organisation. Dans le journal intime de Karl, que Stephen a parcouru, il est écrit que les avocats, les noix de coco et les ananas ne valent pas les efforts qu'on doit fournir pour les ouvrir avant de pouvoir les manger. Karl s'imagine vieillir aux côtés de ses deux amis, une vision qui le laisse perplexe...