The Ricky Gervais Show : Episodes de la saison 2

Karl aimerait confier à Clive Warren le rôle principal de son nouveau scénario, l'histoire d'un mort dont le cerveau serait greffé dans le crâne de sa veuve. La lecture du journal de Karl révèle la haine de ce dernier à l'égard de l'Australie, du camping et de sa belle-famille...

Karl imagine sa vie quotidienne s'il devait la partager avec son double parfait. De son côté, Ricky décide de lui soumettre une énigme complexe. Stephen raconte quelques-uns des désagréments de son dernier voyage à Rio de Janeiro. Dans son journal, Karl explique pourquoi il déteste le chat de Ricky...

Ricky enseigne à Karl la vie des animaux. Dans son journal, Karl évoque le Congo, la fin annoncée des gadgets et le sous-titrage des films au cinéma. Enfin, il s'interroge sur les dernières avancées de la médecine moderne et refait à sa manière la théorie de l'évolution...

Dans son journal, Karl se demande si l'homme contrôle le cerveau ou si c'est le cerveau qui contrôle l'homme. Il décide en outre de lancer une pétition pour sauver les caméléons. Stephen considère qu'il faut en finir avec les cadeaux d'anniversaire...

Karl confesse qu'il va souvent se promener dans la nature pour observer les insectes. Il affirme avoir vu une abeille avoir une crise cardiaque. Stephen pose à Karl une question posée aux invités de l'émission «Actors Studio» et lit une dépêche relatant la découverte d'une nouvelle créature marine...

Karl souffre de calculs rénaux et doit se rendre à l'hôpital. Ricky lui rend visite et se moque de lui. Karl s'intéresse aux animaux qui ressemblent à des objets. Ricky demande à Karl s'il croit tout ce qu'il lit...

Karl avoue qu'il n'aimerait pas être une personne de petite taille. Il craint que tous les repas ne deviennent trop copieux pour lui. Stephen raconte la soirée qu'il a passée dans une boîte de nuit de Londres. Lors de son séjour à l'hôpital, Karl partageait sa chambre avec un voisin pénible. Cela lui inspire un poème. Ricky émet des doutes sur la véracité de l'histoire de singe racontée par Karl...

Ricky demande à Karl de réfléchir sur l'évolution du monde. Karl s'inquiète de voir la part artificielle de son cerveau prendre le pas sur la part naturelle, prédit la disparition des pantalons et l'ajout de nouvelles lettres à l'alphabet. Stephen et Rick se moquent de sa réticence à utiliser le navigateur par satellite d'une voiture...

Ricky explique à ses compères que des chercheurs estiment qu'il existe des milliers d'espèces animales inconnues. Karl se demande si elles valent la peine d'être découvertes. Ricky imagine un nouveau carburant pour les voitures pendant que Karl spécule sur l'origine extraterrestre des puces informatiques. Le visionnage d'un documentaire parlant d'un homme qui attend un enfant amène les trois amis à discuter du meilleur emplacement pour les parties génitales masculines...

Poussé par Ricky, Karl raconte le jour où son père a apporté chez lui trente caisses de bonbons. Stephen demande à Karl ce qu'il pense de l'expérience scientifique qui a permis à des souris aveugles de retrouver la vue. Karl parle de sa récente visite à un masseur de jambes professionnel...

Karl se souvient d'un épisode surnaturel de sa jeunesse, quand il discutait avec un fantôme qui s'appelait «madame Battersby». Ricky et Stephen sont sceptiques : pour eux, il s'agit des affabulations d'un enfant. Rick et Karl se demandent comment ce dernier réagirait s'il était confronté à des employés nonchalants. Dans son journal, Karl imagine ce que serait le monde s'il n'y avait plus de nouveaux sons...

Ricky, Stephen et Karl se penchent sur le sens de l'art. Ricky se demande à quoi ressemblerait un film si les acteurs étaient remplacés par des marionnettes. Karl s'entraîne à siffler en prévision d'un morceau qu'il doit interpréter devant sa famille...

Ricky pose une question à Karl : pourrait-il vivre définitivement dans un monde virtuel où tout serait parfait ? Karl explique la seule chose qui le satisfait à chaque fois est de manger des chips et qu'il avait demandé à ses parents, quand il était petit, de l'appeler Brett...