Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Sous la forme d'un impressionnant péplum avec des cènes qui prennent aux tripes, son histoire nous plonge avec force détails dans les coulisses des courses de chars et des combats meurtriers qui opposaient hommes et fauves.
Avec la délicatesse d’un bulldozer, Roland Emmerich met Rome à feu et à sang et fait de "Those About to Die" la grande fresque haletante que l’on était en droit d’attendre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Si la série n’atteint jamais les splendeurs visuelles d’un Gladiator, elle offre tout de même quelques séquences bluffantes dans l’arène et notamment des courses de chars à couper le souffle.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Those About To Die ne fait pas l’économie de cette représentation où des messieurs très musclés s’entretuent en exhibant de pectoraux en pâte d’amande (les tablettes de chocolat n’ayant pas encore été inventées).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Il y a 16 ans, Those About to Die aurait été, sans aucun doute, une prestigieuse série événement. En 2024, c'est juste un bon divertissement estival. Le sort en est jeté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les effets spéciaux sont aussi grandiloquents que les dialogues sont ridicules... Pourtant, grâce à l’interprétation d’Iwan Rheon et de Sara Martins, la série finit par exhaler le charme frelaté des péplums d’autrefois.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le jeu est souvent caricatural, poussif. Les dialogues plats, le ton manque de relief. Tournées dans des intérieurs éclairés à la seule lumière des torches, les images sont extrêmement sombres et le regard se fatigue vite, de surcroît sur un petit écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Malgré certaines réussites, cette nouvelle série d’Amazon Prime, avec Anthony Hopkins en empereur Vespasien, n’évite pas les clichés paresseux sur la Rome antique.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Sans l'intelligence de "Rome", ni le second degré de "Spartacus", cette production du réalisateur d'"Independance Da"y ne mérite qu'un pouce vers le bas.
Cette série historique, produite par Roland Emmerich ne brille ni par la finesse de son récit ni par son casting – malgré l’empereur Hopkins. Et encore moins pour ses vilains effets numériques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé 7 Jours
Sous la forme d'un impressionnant péplum avec des cènes qui prennent aux tripes, son histoire nous plonge avec force détails dans les coulisses des courses de chars et des combats meurtriers qui opposaient hommes et fauves.
Voici
Un véritable "Game of Thrones" antique.
Ecran Large
Avec la délicatesse d’un bulldozer, Roland Emmerich met Rome à feu et à sang et fait de "Those About to Die" la grande fresque haletante que l’on était en droit d’attendre.
Ouest France
Si la série n’atteint jamais les splendeurs visuelles d’un Gladiator, elle offre tout de même quelques séquences bluffantes dans l’arène et notamment des courses de chars à couper le souffle.
20 Minutes
Those About To Die ne fait pas l’économie de cette représentation où des messieurs très musclés s’entretuent en exhibant de pectoraux en pâte d’amande (les tablettes de chocolat n’ayant pas encore été inventées).
Première
Il y a 16 ans, Those About to Die aurait été, sans aucun doute, une prestigieuse série événement. En 2024, c'est juste un bon divertissement estival. Le sort en est jeté.
Le Monde
Les effets spéciaux sont aussi grandiloquents que les dialogues sont ridicules... Pourtant, grâce à l’interprétation d’Iwan Rheon et de Sara Martins, la série finit par exhaler le charme frelaté des péplums d’autrefois.
Le Parisien
Le jeu est souvent caricatural, poussif. Les dialogues plats, le ton manque de relief. Tournées dans des intérieurs éclairés à la seule lumière des torches, les images sont extrêmement sombres et le regard se fatigue vite, de surcroît sur un petit écran.
Le Point
Malgré certaines réussites, cette nouvelle série d’Amazon Prime, avec Anthony Hopkins en empereur Vespasien, n’évite pas les clichés paresseux sur la Rome antique.
Téléstar
Sans l'intelligence de "Rome", ni le second degré de "Spartacus", cette production du réalisateur d'"Independance Da"y ne mérite qu'un pouce vers le bas.
Télérama
Cette série historique, produite par Roland Emmerich ne brille ni par la finesse de son récit ni par son casting – malgré l’empereur Hopkins. Et encore moins pour ses vilains effets numériques.