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Un visiteur
4,5
Publiée le 26 janvier 2014
Attention, cette note n'est valable que pour les 2 premières saisons que j'ai englouties en une journée !! (comme pour beaucoup de spectateurs). Ces deux premières saisons sont donc excellentes, avec des personnages charismatiques et attachants (notamment le génial Nathan !!!). J'ai stoppé après 3 ou 4 épisodes de la saison 3, terrible déception :'(
Alors là ! La surprise ! Quand j’ai vu le pitch qui me faisait penser à un mix douteux entre « Heroes » et « Chronicle », je me suis dit qu’avec ces « Misfits » j’allais entrer dans le merveilleux royaume du déjà-vu. Eh bah pas du tout… ou plutôt pas vraiment. Certes, la mécanique est connue, mais il y a un élément qui fait toute la différence : le ton. Là on a un petit côté british underground, un aspect cinéma de la rue assez cru et direct, et franchement, ça claque. C’est que la série n’a pas peur d’aborder les problèmes de front et elle sait se faire très pertinente dans sa manière d’explorer les travers de sa société. C’est qu’en plus, la série réussit à se construire sur des personnages vraiment atypiques et attachants, le tout sur une démarche ambigüe qui aime alterner entre la gravité et la dérision. Et puis tout simplement, il y a une dernière qualité qui a fini de m’emballer, c’est la forme. Saperlipopette que c’est beau ! Non, il n’y a pas à dire : aussi brève soit-elle cette première saison envoie du lourd dès le départ… et c’est peu dire si j’attends la suite avec délectation…
Les britanniques sont les meilleurs. Sherlock, Utopia, Black Mirror, Luther, Doctor Who sont autant de séries qui prouvent cette qualité anglo-saxone. Nous pourrions aisément continuer la liste mais préférons nous arrêter sur Misfits, création tordue et hilarante. À la suite d'un violent orage, cinq jeunes adultes condamnés à des travaux d'intérêt général se découvrent des super-pouvoirs.
Finalement, cette série n'a rien inventé, alors d'où vient son statut de culte instantané ? Objet pop et stylisé, Misfits est d'autant plus surprenante car elle reprend des thèmes narratifs bien connus dans l'univers sériel. Le traitement des ados en difficulté (Skins) découvrant qu'ils ont des supers-pouvoirs (Heroes) pouvait, sur le papier, faire un peu peur. Mais filmée en Red One et avec des Canon 5D, la mise en scène immersive et moderne de Tom Green nous plonge dans leur monde singulier. Souvent barré, parfois très touchant.
C'est bien dans la forme même de cette première saison que la série est réussite. Les six épisodes sont divisés de manière aussi simple qu'efficace. N'oubliant jamais cette volonté première de viser le groupe et le pluralisme, chaque protagoniste reste néanmoins soigné dans son écriture. Chacun aura son préféré (Nathan en tête de liste), et tous représentent les archétypes de troubles identitaires (l'introverti, la grand-gueule, la pétasse, le sportif...). Mais en creusant leur personnage grâce à un scénario n'hésitant pas à plonger dans le passé, nous réussissons à nous attacher à eux progressivement.
Mécanique redoutablement divertissante, Misfits n'a peut-être rien inventé mais a tout bouleversé. Ayant un arc narratif restant cohérent du début à la fin, son humour est certainement son premier atout. Dotée d'un univers graphique fauché mais reconnaissable à la première image, cette série s'inscrit totalement dans l'ère du temps. Quand enfin la bande son rock et épileptique des Rapture vient parachever ce tableau fictionnel, on se dit définitivement que ces britanniques ont du génie à revendre !
Une première saison de qualité qui crée l'originalité de la série surtout à une époque où c'était peu populaire et surtout dans ce genre de traitement.
Intelligent et porté par des personnages attachants de plus en plus, cette première saison laisse présager un ensemble loufoque et prometteur, où le format "série courte" n'est pas pour déplaire.
Une sacrée surprise, tant dans la prise de risque scénaristique qu'au niveau des acteurs (que je trouve vraiment géniaux pour le coup). Bref, c'est complètement barré mais foutrement génial et chaque épisode est meilleur que le précédent (sauf le final peut-être). Même si le tout reste très prévisible dans l'ensemble, les dialogues ainsi que les situations dans lesquelles se trouvent les héros sont hilarantes et permettent de passer un très bon moment.
C'est une excellente première saison, je ne m'attendais pas à autant aimer cette série. Les personnages sont supers, les blagues très drôle et surtout les histoires sont très intéressante, on est à fond dedans, chaque épisode est intéressant et on est pris dans l'intrigue. Une très bonne saison à regarder !
Cette série tente de renouveler le principe des superhéros. Une bande de racailles se retrouve donc avec des capacités surhumaines sans explication. Mais malheureusement sans scénario non plus. J'ai craqué à la fin de la première saison. L'intrigue principale, banale, est pliée en 4 épisodes. Restent les histoires annexes, navrantes de trivialité. À noter également les pouvoirs, soit mal utilisés, soit complètement délirants car surpuissants (spoiler: un personnage immortel, un autre qui remonte le temps pour changer le cours de l’histoire ). Heureusement que les scénaristes ne les utilisent pas sérieusement, sinon, les intrigues dureraient 10 minutes. En revanche, la série dépeint, épisode après épisode, l'incapacité de ces jeunes gens à faire l'amour normalement. Il y a essentiellement des scènes de masturbation, de mime et de voyeurisme. Le seul rapport classique à deux est de la gérontophilie. C'est plus une série sur la perversion que sur de quelconques surhommes.
J'en rêvais, je l'ai fait. J'ai vu la saison 1 de Misfits youhouuuu !!! Déjà sur le papier, le pitch était très alléchant, même si on sait tous que les apparences peuvent être trompeuses (non je ne balancerai pas des noms). Et bien là, heureusement je n'ai pas été déçue du tout ! On pourrait croire à une version ado des X-mens, mais non rien à voir. Des pouvoirs originaux (voire inutiles) pour des personnages originaux et adorables. L'univers est drôle et classe (les combis envoient du lourd) et l'intrigue est correcte même si on sait pas trop où ça va nous mener. Je pense que la saison 1 est là pour poser les bases. Foncez !
Quand on croise la série Skins avec Heroes sa donne Misfits. Cette nouvelle série anglaise déjantée nous entraines dans un délire sans fin où les acteurs s'amusent et nous aussi. Les acteurs sont tous charismatiques (surtout Nathan) et jouent à merveille. Malgré une courte saison celle-ci s'essouffle un peu au fil des épisodes, mais le season finale redonne un coup de boost pour nous réserver une saison 2 qui s'annonce aussi déjantée que la 1er.
Une mini série britannique au ton gentiment enlevé, un peu sex drugs and rock n'roll et vraiment accrocheuse. Un ou deux épisodes sont un peu en dessous mais l'ensemble est de très bonne tenue et assez original pour captiver pleinement. Le dernière épisode est tellement bon et la dernière scène si réussie que la série pourrait très bien s'achever ainsi, et de façon la plus brillante qui soit... On a même un peu peur d'être déçu par la suite... Une série à découvrir !
Heroes d'un côté, Skins de l'autre. Quand on mélange ces deux séries très différentes, on obtient Misfits. Comme dans Heroes, les pouvoirs des personnages apparaissent après un événement mystérieux. Comme dans Skins, chaque épisode (hormis le pilote et l'épisode 6) est centré sur un des personnages. Le concept est attirant et le résultat est à la hauteur des attentes. Alternant entre comique et action, Misfits est un cocktail détonnant qui démontre une nouvelle fois que les anglais peuvent nous faire de petits bijoux (Skins est d'ailleurs diffusé par la même chaîne, surement pas un hasard). Seul ombre au tableau, l'épisode 3, en-dessous des autres et un épisode 4, bien que très bien construit, légèrement répétitif. À part cela, c'est vraiment réussi et agréable à voir.