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    House of Cards
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    19 critiques spectateurs

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    NarnoNarno
    NarnoNarno

    39 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2020
    "House of Cards" n'est jamais aussi meilleur que lorsque le couple Underwood est en phase. Cette saison 4, à l'image du couple présidentiel, va crescendo vers un final plein de cynisme, cette inconvenance qui fait le piment de cette série. Et toujours les mêmes qualités formelles du début. Une saison de plus avec la même régularité de qualité d'interprétation, de réalisation, et de scénario toujours aussi riche et passionnant.
    bsalvert
    bsalvert

    405 abonnés 3 576 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2020
    les scénarios restent à la hauteur de l'attendu, les acteurs incarnent leur rôle à la perfection, une très bonne saison.
    Arnaud R
    Arnaud R

    89 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 octobre 2020
    Une 4e saison qui rentre dans le vif de la campagne présidentielle et de la relation tendue du couple. C'est assez varié et parfois fort, mais de plus en plus tiré par les cheveux sur les méthodes employées.
    julien2222
    julien2222

    33 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2020
    Le fond de l'intrigue est toujours ultra passionnant, mais ça devient assez mou .... Certains épisodes ne font pas avancer l'histoire et paraissent très long. Je comprend que l'on veuille s'attarder sur la psychologie des personnages, mais au bout de 4 saisons je pense que c'est bon ... non ?!
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    527 abonnés 951 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2019
    On avait laissé ce bon vieux Frank Underwood dans une situation peu enviable. À l'issue de la saison 3, il restait président des États-Unis certes, mais ses chances de ré-investiture était menacée par l'intègre Heather Dunbar. Et sa propre femme, Claire, le laissait tomber. Après trois saisons passées à manipuler, trahir et écraser les adversaires, était-il temps pour le vieux briscard de battre en retraite et capituler? Que nenni, c'est plutôt le moment du branle-bas de combat, à en juger par la ferveur qui anime cette saison 4. Après une troisième saison parfois jugée mollassonne, Beau Willimon et son équipe de scénaristes accélèrent le rythme et parviennent à faire de cette saison 4 le point de convergence. Frank se retrouve dès le départ sous pression, et doit se battre sur tous les fronts. En une saison, il va devoir continuer la lutte contre Dunbar, enrayer l'ascension d'un jeune loup du parti républicain et surveiller les agissements d'une Claire Underwood qu'il s'est aliéné. Vaste programme! Et ça commence fort. Les rebondissements s'enchaînent aussi vite que les coups bas, de nouveaux pions rentrent progressivement dans la partie tandis que d'anciens font leur retour. Ça s'agite pas mal autour de l'échiquier, tant et si bien que Frank n'a plus autant d'occasions pour nous parler. On ne peut pas lui en vouloir, vu l'intensité de la situation. Ceux qui s'étaient un peu ennuyés devant la précédente saison seront sûrement ravis de retrouver House of Cards plus féroce que jamais. Les parallèles avec le réel sont toujours là et pertinents : le programme PRISM de la NSA, le groupuscule terroriste ICO (copie conforme de Daesh). Bref, des éléments bien actuels qui sont autant des menaces que des armes politiques de premier choix. Qui mieux que Frank Underwood pour s'en servir? Depuis le tout premier épisode, l'animal est autant un manipulateur qu'un accusateur. Il n'est donc pas surprenant d'aimer le voir pourfendre la bienséance en utilisant la démagogie de manière éhontée. Et à ce petit jeu-là, Kevin Spacey est un Grand. Plus que ça, un Géant. Il trône une fois de plus sur une saison plus sombre mais également plus fulgurante. Robin Wright ajoute encore plus de beauté et de complexité à Claire, sans conteste l'un des personnages féminins les plus intéressants de la télévision. Rayon nouveau venu, Joël Kinnaman fait une entrée fracassante en Will Conway, candidat républicain charmeur et rusé. Neve Campbell illumine dans le rôle de la directrice de campagne Leann Harvey. Cette saison 4 permet également au brillant Michael Kelly d'approfondir le personnage de Doug Stamper, sans oublier l'épatant Mahershala Ali en Remy Danton. Il y en a beaucoup d'autres, mais en dire plus pourrait nuire à la surprise (et croyez moi, il y en a). La réalisation est d'un niveau d'excellence peu ordinaire (David Fincher peut être fier). À la fin de cette saison, les ténèbres entourent la Maison-Blanche et le tumulte gronde. La saison 5 (la dernière, selon toutes vraisemblances) s'annonce comme un feu d'artifice dévastateur. L'attente sera longue...
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 327 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2016
    House of Cards… Mon péché mignon lors des deux premières saisons et – BIM ! – la douche froide lors de la troisième. Mélo à deux balles ; embrouillaminis et invraisemblances dans la gestion du personnage de Claire, et surtout traitement totalement loupé des questions de politique étrangère. Certes, tout n’était pas à jeter dans cette saison 3, mais alors qu’auparavant la série parvenait à faire coulisser son intrigue sans commettre trop d’impairs, là on restait quand même là sur une accumulation de retournement de situation bidon, de frasques sensationnalistes grossières, et d’incohérence dans les comportements de chacun… C’est donc sans enthousiasme que je me suis risqué à cette saison 4 et… Mmmmh… Finalement j’ai été agréablement surpris. L’air de rien, dans cette saison 4, la série renoue avec tout ce qu’elle avait plus ou bien abandonné ou délayé dans la saison 3. A suivre les épisodes d’ailleurs, il y a quand même un sacré droit d’inventaire ( spoiler: on revient sur l’assassinat de Zoé Barnes ; on revient sur l’assassinat de Peter Russo ; on ramène Walker, Tusk et Danton dans le cœur du tourbillon…
    ) Mais surtout, il y a un vrai retour aux deux piliers fondamentaux sur lesquels reposaient pour moi jusqu’alors la série : le polar noir d’un côté et le regard alternatif et désenchanté sur le monde la politique de l’autre. Et sur ces deux points, le second m’avait tout particulièrement manqué. J’aime comment cette série réduit toutes les décisions politiques à des batailles d’ego, d’intérêts et à des stratégies de manipulation. Au fond, « House of Cards » n’est jamais aussi bon que lorsqu’il arrête de parler de la politique des idées pour mieux se focaliser sur la politique des politiciens. Et pour le coup, dans cette saison 4, on est servi. Il y a quand même une sacrée densité de péripéties qui surviennent ; certaines très risquées d’ailleurs ( spoiler: la tentative d’assassinat, l’implication des réseaux sociaux et des moteurs de recherche dans la campagne présidentielle, l’édification d’un personnage politique que sur l’image et la posture
    ), mais la plupart du temps vraiment réussies. En cela, l’opposition de style Underwood / Conway se révèle finalement très fructueuse. Dommage que finalement, après tant de parties gagnées, cette saison 4 se croute sur ses derniers épisodes. La gestion d’un acte terroriste en pleine campagne, c’est une idée brillante. Manque de pot, je trouve que les mécaniques de cette crise font trop grossières et artificielles.) Alors certes, malgré son loupée de fin, je trouve que la conclusion amenée est intéressante et augure du meilleur pour la saison 5. Dommage seulement que la suspension d’incrédulité s’est envolée au plus mauvais des moments. Bref, pour moi, avec cette saison 4, « House of Cards » n’a pas retrouvé à mes yeux l’état de grâce qu’était le sien lors de ses deux premières saisons. Malgré tout, par son audace, et grâce à quelques moments remarquablement traités, je dois bien reconnaître qu’il reprend place dans mes séries d’estime. Après la saison 3 c’était loin d’être joué. Donc franchement, bravo et chapeau bas…
    Blankovitch
    Blankovitch

    48 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 mars 2016
    La saison 3 était poisseuse. Lente, inintéressante, creuse.
    La saison 4 prend le même chemin. On aimait les personnages, ces animaux à sang froid qui nous impressionnaient par les manigances et leurs coups de théâtre. Désormais on a la même sensation de froid mais comme devant un plat qui sort du frigo quand le micro onde est en panne.
    Plume231
    Plume231

    3 879 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mars 2016
    Après une saison 3 très très moyenne où notre couple présidentiel diabolique avait la fâcheuse tendance à plus se comporter en Télétubbies qu'en dignes élèves de Machiavel, "House of Cards" nous revient heureusement en très grande forme avec cette quatrième saison où le Président et sa Première Dame reprennent considérablement du poil de la bête. Ils vont être sans pitié et c'est ça qu'on adore avec cette série. Elle n'est jamais aussi réussie que quand elle nous fait soutenir bien malgré nous les pires coups bas de ces deux ordures.
    Autre bonne surprise, elle réussit aussi à éviter une faiblesse qui jusqu'ici parasitait un peu la série, à savoir que le protagoniste et sa femme avaient des adversaires un peu trop passifs. Là heureusement ce n'est plus le cas, ce qui rend l'ensemble encore plus féroce.
    Résultat, le binge-watching, grande spécialité netflixienne par excellence, a été particulièrement intense ce coup-ci. Bon ben, il y a plus qu'à attendre encore un an... Autrement les intrigues parviennent à être au plus près de l'actualité, notamment sur les questions de terrorisme, excepté peut-être sur la vague populiste qu'elle n'a pas vu venir. Mais bon, c'est une fiction et on ne peut pas la discréditer pour cela. Moins de quatrième mur brisé mais ça m'a pas particulièrement dérangé.
    Par contre, ce que l'on peut lui reprocher c'est que le personnage joué par Neve Campbell n'est pas très bien défini, a contrario celui de la mère mourante de la Première Dame, joué brillamment par Ellen Burstyn, lui est bien approfondi. Celui du couple d'adversaires à la course présidentielle n'est pas mal non plus.
    Bref, on assiste à une remontée de niveau assez spectaculaire avec cette quatrième saison et ça c'est très agréable. Bon, ben à dans un an, alors pour la cinquième, qui je l'espère sera du même acabit...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 avril 2016
    J'ai beaucoup moins aimé la saison 4. spoiler: trop de politique (bon c'est un peu le théme aussi) mais trop de blablabla. de meeting à rallonge. de visites bouche trou dans la maison de maman. dans les autres saisons il y avais avant qu'il ne devienne président, des gens à faire taire
    etc... bref j'ai trouvé beaucoup moins de rythme. Il est vrai que ce n'est pas non plus une série policière je comprends bien. Un peu trop soporifique pour moi.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 175 abonnés 4 170 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 septembre 2017
    Le mandat du Président des Etats-Unis ne dure que quatre ans. Pour Frank Underwood (Kevin Spacey) qui a pris la suite du Président en exercice dont il a réussi à provoquer la destitution ce ne seront que deux ans de jouissance d'un pouvoir durement gagné. La saison précédente a montré que le poids de la Maison Blanche use prématurément son locataire y compris un Frank Underwood au cuir pourtant plus que tanné. Entre deux théâtres d'interventions extérieures qui l'amènent le plus souvent à ferrailler avec Viktor Petrov (Lars Mikkelsen), le Président russe, Frank doit commencer à penser à sa réélection. La partie ne s'annonce pas facile, les rancœurs accumulées dans le camp démocrate qu'il a passé son temps à manipuler et les exigences de plus en plus pressantes de Claire (Robin Wright) son épouse ne lui facilitant pas la tâche. Le Président s'essouffle donc un peu et cette quatrième saison avec lui qui a du mal à prendre son envol. De manière opportuniste, l'équipe de scénaristes coachée par Beau Willimon va puiser dans l'histoire profonde du pays en faisant de Frank Underwood le troisième Président à être victime d'un attentat. Contrairement à John Kennedy et comme Ronald Reagan, Frank reste en vie mais gravement touché. On le voit "House of Cards" pour alimenter sa fiction se nourrit de toute l'histoire des Etats-Unis et particulièrement de ses moments les plus intenses (Guerre de Sécession, épisode de la Baie des Cochons, attentat de Dallas,...). Pendant l''absence de son époux, Claire gère les affaires à la place du Vice Président atone qui avait été justement choisi pour sa transparence. Une bouffée d'air bienvenue qui lui permet de renoncer au divorce pour aider Frank à battre Will Conway (Joel Kinnaman) son jeune adversaire républicain qui forme avec son épouse Hannah (Dominique McElligott) un couple tout aussi redoutable. Les Underwood enfin revigorés vont pouvoir livrer leur ultime combat. A coup sûr dans cette partie les coups viendront tout autant du camp adverse que d'un passé sulfureux qui n'en finit pas de remonter à la surface. Après un début un peu hésitant qui démontre une fois de plus la difficulté du format série à tenir la distance sur plusieurs saisons, l'histoire est habilement remise sur les rails. La cinquième et ultime saison à ce jour peut donc nous emmener jusqu'au deuxième mandant de Frank Underwood .
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    204 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 août 2016
    La quatrième saison de "House of Cards" sera donc celle qui marquera la chute (définitive ? ) dans la banalité et le n'importe quoi d'une série qui avait pourtant démarré excellement sous l'égide de David Fincher. Car il est clair que les scénaristes ne savent plus vraiment quoi faire pour prolonger une série qui n'aurait sans doute pas dû dépasser les 3 saisons : changement de cap brutal en milieu de saison lorsque Francis et Claire redeviennent alliés après une guerre d'une violence extrême, intégration croissante dans l'intrigue d'événements d'actualité (cette fois l'EI...), détournés politiquement avec une maladresse assez énervante - soit un point qui distingue douloureusement "House of Cards" de ce qui devrait être son modèle, "The West Wing"-, et surtout véritables stupidités dès que la série s'aventure sur le terrain de la vie sentimentale de ses personnages : entre le nouveau ménage à trois des Underwood ou la romance de Doug avec la veuve de l'une de ses victimes, difficile de décider ce qui est le plus embarrassant ! L'accumulation d'invraisemblances devient quant à elle progressivement risible : la récupération magique de Frank après sa greffe du foie, le tête à tête Claire / Petrov, l'importance croissante d'une first lady qui peut postuler à la vice présidence, etc. Chaque épisode semble enfoncer plus encore la série dans un gigantesque "what the fuck ?"... Pour patienter jusqu'à la fin, qu'on espère proche (l'enquête sur les Underwood progressant rapidement, et un peu trop facilement d'ailleurs...), il ne nous reste que quelques résurgences ça et là de l'intensité jadis incandescente d'un Kevin Spacey fatigué et empâté, et une ou deux intuitions encore valides : le Big Data comme instrument politique ou l'utilisation de la menace terroriste à des fins totalitaires... C'est peu !
    stallonefan62
    stallonefan62

    285 abonnés 2 552 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 novembre 2016
    Toujours autant de mensonges, coups bas, trahisons dans cette nouvelle saison mouvementé !! Par contre, on a du mal parfois à suivre tous ce qui se passe !! L'élection Américaine reste parfois compliquée et on peut perdre le fil rapidement !! Kévin Spacey est toujours aussi incroyable, son interprétation frôle la perfection tellement il habite son personnage !! Il en est de même pour Robin Wright et Joe Kinnaman que je trouve très bon !!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 mars 2016
    Cette saison est exceptionnelle. Le jeu des acteurs est toujours très bon et le suspense monte d'épisode en épisode !
    allocedric
    allocedric

    6 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 avril 2016
    La saison était inférieure aux deux précédentes car il y avait moins de suspense et de rebondissement. La saison 4 est un peu mieux que la 3 car il y a des moments assez inquiétants et forts. En revanche ça finit par être lassant car de moins en moins crédible, le côté réaliste des saisons 1 et 2 est moins présent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 mars 2016
    Glaciale, voila comment je qualifierai cette saison riche en rebondissement. Plusieurs fois on se pose des questions. Est ce vraiment calculé ? et c'est ca qu'on aime.
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