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    House of Cards
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    Arnaud R
    Arnaud R

    89 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2020
    Une 3e saison de très bonne facture où la tension monte dans le couple présidentiel et qui change un peu la dynamique de la série puisque Underwood est maintenant au pouvoir.
    julien2222
    julien2222

    33 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2020
    Enfin .... Toujours très manipulateur et despotique. Cependant on sent un petit ralentissement dans l'intrigue qui traîne parfois en longueur. Je pense que certains sujets sont traités pendant trop longtemps ce qui donne ce sentiment de longueur !
    NarnoNarno
    NarnoNarno

    39 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mai 2020
    Cette saison 3 confirme tout le (très) bien qu'on peut penser de cette série depuis son démarrage. Il est d'ailleurs étonnant qu'elle ne s'essouffle pas, et maintient un rythme narratif toujours aussi dense et riche en rebondissements. Comme elle garde une jolie réalisation cadrée et feutrée. spoiler: Frank Underwood, Président, est un homme encore plus affairé, toujours aussi affamé, au point d'y perdre l'essentiel... Et Claire Underwood, toujours entre ombres et éclats, éblouissante énigmatique, demeure le personnage central de cette histoire et de cette série
    . Saison de la fracture et de l'implosion, on sent bien que cette 3ème année marquera un tournant indélébile pour l'avenir.
    batouki
    batouki

    4 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mars 2015
    Je ne suis pas d'accord pour qualifier cette saison de moyenne comme certains le font. Il faut arrêter de cracher dans la soupe, messieurs dames. Certes, la série est ici plus basée sur les ruses politiques et moins sur le machiavélisme et les coups bas plus sanguins et mortels, ce qui peut rebuter un public moins élitiste; Mais on a des acteurs de génie avec le couple présidentiel. Leur jeu est juste parfait. Franck Underwood est plus rageur que jamais. On comprend pourquoi Kevin Spacey a eu un golden globe du meilleur acteur cette année. C'est la classe brute. Il devrait avoir un oscar si c'était possible de mettre les séries avec les films. Robin Wright est excellente également. Le scénario est plus que bien rodé. Les affaires politiques peuvent peut-être sembler un peu traitées rapidement et il y en a beaucoup, surtout avec les problèmes internationaux qui se rajoutent. Mais il faudrait un roman pour traiter cela convenablement. (Peut-être est-ce déjà fait dans le roman initial d'ailleurs.) Bref, on a quand même affaire à une des meilleures séries du moment et de loin...
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    527 abonnés 951 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2016
    Le marathon House of Cards passe toujours comme du petit lait. Le paradoxe de cette troisième saison est d'arriver à conjuguer les intrigues politiques écrasantes (comme pour la saison 2) avec une dimension intimiste plus travaillée (comme la première cette fois).
    Les critiques émises par rapport à la deuxième partie (considérée comme trop froide par certains) ont eu leur effet. Ce nouvel acte offre un panoramique plus qu'intéressant sur les personnages clefs de la série, qui se révèlent plus que par le passé.
    En même temps, on ne pouvait s'attendre à moins. À force de coups bas et d'hypocrisie fielleuse, Frank Underwood accédait à la présidence des États-Unis. Lui et sa femme Claire n'avaient donc plus rien à conquérir...Du moins, on le croyait. Car si s'emparer du pouvoir n'a pas été de tout repos pour eux, le conserver le sera encore moins. En première ligne lors de scandales internationaux (cette fois avec la Russie), le couple présidentiel est également la cible d'ennemis de l'intérieur. L'opposition républicaine bien sûr, mais également leur propre parti, qui cherche à les pousser vers la sortie. Sans compter que le bras droit de Frank, Doug Stamper, est laissé pour mort. Attaqués de toute part, le nouveau président et sa femme pourraient y laisser beaucoup de choses...
    Le couple Underwood est poussé dans ses retranchements, ce qui conduit inévitablement à un gain d'humanité, même si l'ambiguïté demeure (au moins autant qu'avant). Les seconds rôles (Doug Stamper, Remy Danton, Jackie Sharp,...) s'approfondissent nettement à mesure que l'étau se resserre sur eux. Et les nouveaux venus s'imbriquent habilement dans les évènements qui vont secouer la vie à Washington. Kim Dickens, Paul Sparks et surtout Lars Mikkelsen (en métaphore à peine voilée de V.Poutine) parviennent à donner du souffle à cette nouvelle saison.
    Signe d'une évolution visible, les adresses de Frank Underwood aux spectateurs sont moins nombreuses. Nous ne sommes plus dans l'optique d'un plan peaufiné jusque dans ses moindres détails. Mais plutôt dans un contexte volatile qui parvient même à déstabiliser le président des U.S.A. Les machinations qu'il concocte butent sur beaucoup d'obstacles, et de taille.
    Comme beaucoup l'espéraient, les Underwood se retrouvent plus malmenés qu'avant. Pris à parti dans des scandales géopolitiques ou sociétaux, Frank et Claire montrent des signes de "faiblesses". Car indépendamment de leurs volontés, il y a aussi les convictions personnelles, la douleur et la peur qui rentrent en ligne de compte. Ce qui laisse toute latitude aux interprètes pour briller. Spacey et Wright sont toujours aussi parfaits dans des rôles de personnages complémentaires mais que la discordance guette. Certaines prises de position (notamment vis à vis du personnage de Petrov) sont claires mais sans pour autant se démarquer d'une véracité politique (qu'on peut encore plus accréditer aujourd'hui). Propagande? Cela ne tient pas, car la série remet toujours ses "héros" en perspective de ce qu'ils défendent -ou prétendent défendre.
    House of Cards assume son côté tragédie Shakespearienne de manière plus palpable qu'avant, s'en toutefois oublier les affres politiques. Les différents metteurs en scène gardent l'esprit instauré par Fincher sans se laisser écraser (plusieurs effets de style apparaissent ci et là). Et l'émotion fait son retour (après une saison 2 plus clinique), de manière subtile voire quelquefois brutale. C'est toujours une joie d'accompagner tous ses anti-héros sur un sentier de plus en plus dangereux. House of Cards garde son pouvoir de séduction et de fascination avec une aisance qui confine presque à l'insolence.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 327 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 septembre 2015
    Avant cette saison 3, « House of Cards », pour moi, c’était un peu le « Game of Thrones » de bien d’autres : c’était cette série qui avait su me prendre très rapidement alors que je ne m’y attendais pas ; c’était cette série qui avait fini par créer chez moi une véritable fascination puis une addiction ; c’était cette série pour laquelle je comptais secrètement les mois et les jours avant l’avènement de la prochaine saison à venir… Et là, pour cette troisième saison, histoire de ne rien louper, je m’étais renfilé les deux précédentes, ce qui fut l’occasion d’ailleurs pour moi de les apprécier encore davantage. Or, je dois bien le dire, les trois à quatre premiers épisodes de cette nouvelle mouture m’avaient d’abord rendus confiant. Je trouvais que les auteurs de la série savaient poursuivre ce qui avait été commencé ; qu’ils avaient su remarquablement montrer la perversité du monde de la politique où – un peu comme à « Game of Thrones » justement – on ne survit qu’en montant, mais pour mieux chuter une fois arrivé au sommet… Et oui, je trouve que, non seulement c’était une bonne idée de montrer que même président, le perfide Underwood n’avait pas le droit de baisser le garde et que toute forme de naïveté, de relâchement, d’espérance d’accalmie même au sommet, était encore le meilleur moyen de se livrer en pâture... Donc oui, dans un premier temps, je trouvais cette nouvelle saison bien partie, et les quelques détails qui me dérangeaient étaient suffisamment secondaires pour que cela n’altère pas mon plaisir et mon espoir. Seulement voilà, passé l’épisode 6, le point de non-retour fut atteint. A partir de là, ces détails autrefois secondaires passent clairement au premier plan et là, il ne devient plus possible de masquer les faiblesses de cette troisième saison. Entre ce traitement très fragile, simpliste et presque caricatural des questions de politiques internationales ; les torsions maladroites du scénario pour essayer de donner une place au personnage de Claire ; et surtout la volonté d’insérer davantage de situations humaines et émotionnelles au sein des enjeux de l’intrigue ; toutes ces négligences et autres facilités ont très vite finies par me sortir de l’état d’esprit qui me faisait adorer « House of Cards ». Moi, j’adorais le fait que la série soit sans concession ; j’adorais le fait que cette série sache adopter ce ton cynique mêlant la noirceurs des vieux polars américains avec la dimension tragique des pièces politiques élisabéthaines… Oui, j’adorais ce reflet noir que nous renvoyait la série de notre système démocratique, ne laissant aucune chance à toute forme de survivance de mythe. Et là, comme si le succès avait fait soudainement peur, comme si les auteurs avaient craint d’égratigner la sacro-sainte fonction présidentielle, voilà que la série sombre dans une étrange simplification des enjeux, dans une forme de romantisme et d’angélisme dégoulinants, pire surtout, dans des ressorts faciles dignes de séries plus ordinaires. Parce que oui, en fin de compte, c’est ça qui me dézingue le plus dans cette saison là. Ce n’est le fait que « House of Cards » soit totalement passé à côté de son sujet – bien au contraire – je considère même que les choix d’enjeux étaient les bons. Non, le problème n'était pas dans le choix de fond, mais bien plus la légereté de traitement. J’en veux pour exemple de cette faiblesse la conclusion de cette saison (que je ne spoilerai pas) : elle est en soi intéressante pour ce qu’elle ouvre comme piste pour la saison à venir (la dernière j’espère), mais la manière dont elle est amenée est en totale contradiction avec l’esprit de la série. Les choix des uns et des autres, l’enchaînement des événements et des situations qui conduisent à cet aboutissement, sont tellement forcés, illogiques par rapport aux habitudes des personnages, que le tout devient subitement artificiel et creux. C’est con, mais moi, à partir du moment où je me rends compte que les scénaristes s’arrogent désormais le droit de changer les aptitudes, méthodes et logiques de chacun en fonction de ce qui les arrange, cela rend le résultat bien plus banal. Et oui, au final c’est bien ça ce que je reproche à cette saison 3. Elle n’est pas totalement mauvaise, certes, mais quelle tristesse que désormais, elle soit rentrée dans le rang des séries consensuelles, avec tout son lot de lourdeurs et de contradictions… Venant d'une série de ce gabarit, avec un tel potentiel, c'est juste du gâchis. Pour le coup, j’aurais préféré un autre traitement à mon addiction, ça c’est certain…
    Plume231
    Plume231

    3 879 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mars 2015
    Une troisième saison que j'ai attendue avec une grande impatience pendant un an pour la raison qu'il y a un changement majeur par rapport aux deux dernières à savoir que ce cher Frank Underwood ne se bat plus pour accéder au pouvoir suprême mais pour s'y maintenir.
    Malheureusement le résultat n'est pas à la hauteur de l'attente. Underwood a perdu de son machiavélisme, il est devenu trop humain pour que son personnage soit, malgré le talent et le charisme de Kevin Spacey, pleinement convaincant. C'est le cas aussi pour Madame Underwood ; par exemple sa réaction lors de la conférence de presse au Kremlin n'est absolument pas crédible.
    Reste quelques séquences troublantes donc réussies comme la conversation entre Claire Underwood et une mère de famille frustrée, celles avec les moines tibétains ou encore la très éprouvante scène, la plus éprouvante et on peut ajouter choquante de toute la série, spoiler: le meurtre dans le dernier épisode d'un des personnages les plus attachants, Rachel, et la manière dont il est filmé ou plutôt non filmé
    .
    Globalement, je suis très déçu. J'espère que dans la quatrième saison Frank se mettra à nouveau à respecter les enseignements de Machiavel. Je n'aimerais pas attendre encore un an pour rien ou presque.
    James Betaman
    James Betaman

    64 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 juin 2016
    Après de nombreuses recherches, j’ai enfin pu me procurer la saison 3 de House of Cards. Saison que j’ai vu critiquée à de très nombreuses reprises sans savoir pourquoi. C’est donc maintenant que je peux connaître les raisons qui rendent les gens haineux envers cette saison…
    Et bah non, moi je l’ai trouvé bonne ! Très bonne même. Clairement, je ne comprends pas pourquoi cette saison subit un telle lynchage tant je la trouve superbe. Limite, je serai prêt à dire que c’est la meilleur. J’entends des gens dirent que les deux premières saisons sont excellentes alors que je ne les avais trouvées que sympathique. Je trouvais que sur vingt-six épisodes, on ne voyait qu’un politicien tyrannique prêt à tout pour avoir le pouvoir. On voyait donc Franck Underwood monter dans la hiérarchie du gouvernement, mais au bout de vingt-six épisodes, je commençais à en avoir ras le bol.
    Et justement, je trouve que cette troisième saison est vraiment différente et c’est une évolution intéressente du récit. Enfin Franck Underwood est président, et ça a permis aux scénaristes de trouver de nouvelles histoires, de nouvelles intrigues. Chaque personnage subit une évolution suite à la montée en puissance de Franck, en particulier Doug Stamper dont j’ai trouvé l’axe très bonne. Douglas Stamper n’a jamais été aussi bien développé, parce que les deux saisons précédentes ne le faisaient pas. Enfin les personnages changent. Voyez-vous, jusqu’là, je ne voyais pas d’évolution dans les personnages de Franck et Claire, tout ce qu’on voyait, c’était leurs facettes, ce dont ils étaient capables de faire. Mais à un moment, il fallait les faire évoluer, travailler sur la relation qui unit ces deux personnages. Et pour le coup, je suis désolé, mais je trouve ça excellent. J’ai particulièrement été surpris par ce dernier épisode, un véritable retournement de situation que j’ai trouvé terriblement bon.
    Ce qu’il y a de vraiment amusant (mais c’est surtout parce que c’est la période des primaires aux USA), c’est que Franck se bat pour conserver le pouvoir. Changement de stratégie, changement de but, et donc évolution. J’ai adoré voir les stratégies mises en œuvre par Franck lors de la campagne des démocrates pour présenter le parti lors des prochaines élections présidentielles.
    Et donc oui, ça change, l’histoire évolue, la mise en scène est toujours aussi géniale et Kevin Spacey est n’a jamais été aussi effrayant que depuis Se7en. Donc non, cette troisième saison n’est pas mauvaise, elle est même excellente et je ne comprends pas pourquoi elle est tant huée. Donc pour moi, c’est un 4.5/5 Basta ! Voilà qui est dit !
    David B.
    David B.

    42 abonnés 565 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2015
    Une saison 3 dans la lignée des précédentes, d'une grande qualité voire encore meilleure ! La réalisation est magistrale, la photographie toujours aussi soignée et les acteurs charismatiques. Une nouveauté : le procédé narratif, qui veut que Frank Underwood prenne le téléspectateur à partie, s'efface peu à peu au fil de cette saison. Durant celle-ci, le président et la première dame sont au coeur de la vie politique de leur pays et de la scène internationale, en même temps que leur couple varie entre masochisme et sadisme, et se fissure peu à peu. La saison 3 finit sur un coup de poing. On nous annonce une saison 4, vivement la suite...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 mai 2015
    Après une seconde saison très mitigé, "House of Cards" reprend un peu du poil de la bête. Ici, on retrouve vraiment un thriller politique, qui ressemblait trop à des disputes de récréation dans la saison 2. La réalisation est toujours sobre et très classe, s’inspirant de celle de Fincher. D'ailleurs, l'épisode le mieux réalisé est celui fait par Robin Wright. Les acteurs sont toujours énormes, Kevin Spacey et Robin Wright forme toujours un couple magnifique et superbement interprété, Michael Kelly les seconde toujours avec classe. Cependant, il y a quand même des épisodes un peu creux et des intrigues secondaires inintéressantes.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 174 abonnés 4 169 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2017
    La marche forcée vers le pouvoir avait animé les deux premières saisons de "House of Cards". Le couple Underwood (Kevin Spacey et Robin Wright) est désormais arrivé au sommet. S'engage alors pour Frank la dure épreuve de l'exercice de la Présidence qui aux Etats-Unis est étroitement corsetée par l'autorité du Congrès avec lequel il faut toujours négocier au préalable. Frank Underwood se retrouve donc dans la position de Garrett Walker qu'il avait réussi à déboulonner en parsemant son parcours de chausse-trappes soigneusement dissimulées. Certes taillé dans un autre métal, le nouveau Président use de tous les stratagèmes à sa disposition mais la responsabilité militaire et diplomatique use sa résistance et sape son moral comme son physique de plus en plus alourdi. Etre sur la défensive pour préserver son autorité est sans conteste moins stimulant que chercher à décrocher le Graal. En plus Claire son épouse a rapidement le sentiment que la victoire finale à laquelle elle à grandement participé ne lui profite guère, n'arrivant pas à se trouver un poste à sa mesure sans être immédiatement ramenée à son statut de première dame (allusion directe à Hillary Clinton durant le mandat de son époux Bill). L'humeur de Frank est donc plus morose et commencent à se poser les questions existentielles sur les raisons de cette quête effrénée qui l'a mené jusque-là. Les petites réflexions face à la caméra sont désormais moins fréquentes et surtout moins cocasses, Frank étant régulièrement en proie au doute. Malgré la morosité qui gagne, cette troisième saison est toujours aussi passionnante en partie grâce aux personnages secondaires plus développés avec notamment le parcours douloureux et énigmatique de Doug Stamper (Michael Kelly) qui en sus d'avoir frôlé la mort doit faire face à l'ingratitude de son mentor qui le délaisse depuis qu'il est devenu Président. Habilement, le scénario de Beau Willimon marie la vraisemblance avec la pure fiction, permettant au spectateur averti de garder une certaine distance avec le jeu de massacre que constitue la politique en démocratie remplaçant de manière un peu dérisoire les combats de gladiateurs de l'empire romain.
    stallonefan62
    stallonefan62

    285 abonnés 2 552 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 avril 2015
    une saison 3 très mouvementé ,qui se scinde en 2 partie distincte : d'abord la crise avec les russes puis la course à la réelection !! kevin spacey tient cette série sur ses épaules grâce à son interprétaion incroyable , il forme avec robin wright un couple étonnant et savoureux !! et puis la fin nous annonce une saison 4 des plus tendu !!
    gunbuster
    gunbuster

    387 abonnés 1 626 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 avril 2015
    Je dois avouer être plutôt déçu de cette 3ème saison.
    Car si la série ne manque pas d'analyse brillante sur les défis inhérents au poste de Président des États-Unis, elle perds de vue les intrigues et ne s'appesantit pas suffisamment sur ses personnages.
    Plus que dans les 2 autres précédentes saisons, on a vraiment l'impression de regarder un épisode sur 3, tant les évènements passent du coq à l'âne sans véritable continuité.
    Superficiel restera le terme qui me viens à l'esprit. Un mélange de snapshot et de sneak out, une vision trop parcellaire et succincte de l'histoire et un manque criant de développement des personnages.
    Sur le fond, la série pointe avec justesse les failles de la politique moderne, des hommes politiques, des institutions et de la démocratie toute entière.
    Il y a un thème fort cette saison : la solitude du pouvoir. Ceux qui ont toujours voulu le pouvoir, ont dû tout sacrifier, mentant en permanence et jouant un rôle bien loin de ce qu'ils sont réellement.
    Et quelques personnages de cette saison seront confrontés à ce choix, même dans un moment vital, ils se demanderont si cela en vaux la chandelle.
    Chaque personnage qui a cette crise existentielle, avec ses haut et ses bas, ira se confronter à son moi profond et prendra une décision sans retour en arrière possible, et faire la paix avec sa conscience ou bien l'enterrer très profondément.
    Reste que je ne suivrais pas d'hypothétique prochaine saison, je pense que la mise en scène est trop froide, trop distante et manque d'empathie ou d'antipahie.
    Stéphane D
    Stéphane D

    119 abonnés 2 118 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 août 2015
    A force de rendre le personnage détestable, on perd peu à peu l'empathie du spectateur; on semble aussi tourner un peu en rond et utiliser la politique comme remplissage; quant à la fin, elle semble carrément expédiée... à voir si la barre est redressée pour la saison4...
    Kev T
    Kev T

    39 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 janvier 2019
    Saison plus lente avec une intrigue plus fade... Les relations se dégradent avec comme seul intérêt d’apporter du piment
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