Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
USA Today
En dehors d'un numéro de l'émission Planet Earth, voici peut-être le plus bel objet télévisuel de l'année (...) Comme dans l'original, le personnage principal explique l'action en s'adressant directement à la caméra, un gimmick un peu trop usé mais qui, entre les mains de Spacey, redevient un outil qui fonctionne parfaitement (...) L'humour dans House of Cards - qui est cruellement amusante - surgit notamment des manoeuvres entreprises par Underwood pour manipuler les personnes de son entourage, par exemple en suggérant que ses idées sont les leurs. Cela comprend bien évidemment une journaliste un peu trop ambitieuse, jouée par Kate Mara, seul point faible peut-être de la série (...) Parfois on se dit qu'Underwood pourrait obliger n'importe qui à faire n'importe quoi, à l'exception de sa femme, ce qui est d'ailleurs un hommage à la force que Wright insuffle à son personnage.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
TV Guide
Les deux premières heures constituent un divertissement aussi élégant que sombre, il reste désormais à savoir si se gaver de 13 épisodes peut se révéler aussi addictif (...) Si Netflix s'aventure pour la première fois sur le terrain des séries originales, rien dans House of Cards ne donne le moindre sentiment d'amateurisme. C'est une série haut de gamme, comme vous pouvez en trouver sur HBO, Showtime, FX, AMC, pour ne citer que quelques concurrents de prestige.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
The Hollywood Reporter
Dans House of Cards, Spacey donne une masterclass sur le jeu face caméra, ses dialogues laissent filtrer le mépris ou le calme dédain d'un homme dont le plan destructeur est en marche et qui sait avant tout le monde la catastrophe à venir.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Hitfix
Les deux premières heures me sont suffisantes pour avoir l'esprit clair sur certaines choses. Premièrement, Spacey mord dans le personnage de Francis Underwood exactement comme ce dernier se repaît des côtes servis dans son restaurant préféré. Il est grand et livre une performance à la hauteur de ses deux Oscars (...) Deuxièmement, Spacey n'est pas le seul à livrer une performance incroyable, on peut citer Mara, qui incarne une ambitieuse professionnelle à la détermination très affûtée, ou encore Corey Stoll, dans le rôle d'un député bon vivant qui devient un pion dans la partie que joue Francis (...) Troisièmement, même en se pliant au rythme plus rapide de la production télé, David Fincher a sans doute le plus beau regard de tous les réalisateurs actuels. House of Cards - avec lui à sa barre en tout cas - est superbe, pas de la façon parfois un peu tapageuse de Breaking Bad, mais plutôt avec une image propre, en portant un regard enivrant sur les coulisses du pouvoir, dans et en dehors du Capitole.
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
Los Angeles Times
House of Cards fait instantanément de Netflix un des plus grands acteurs des séries. Si la suite est aussi bonne que les deux premiers épisodes montrés à la presse (...) House of Cards va probablement devenir la première série non télévisée à recevoir une nomination aux Emmy Awards, ou même quatre (...) Tout s'y passe très vite, et parfois de manière un peu grossière, la politique ne jouant pas forcément le premier rôle, tout simplement parce qu'il est plus question de vengeance que de politique. Il s'agit en réalité d'une fable, illuminée par la photographie exquise d'Eigil Bryld.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Variety
D'abord la bonne nouvelle : House of Cards est de la télé de prestige, et constitue la preuve que Netflix peut produire et proposer un programme original qui dépasse les ambitions typiques et les limites habituelles du modèle économique du web. Ceci étant dit, cette série avec Kevin Spacey n'est pas sans défauts ou tics énervants, et semble avoir un train de retard sur la thématique du pouvoir et de Washington.
La critique complète est disponible sur le site Variety
New York Times
Il faut sans doute davantage déguster House of Cards un épisode à la fois. C'est une pièce totalement amorale servie par une excellente distribution, mais le rythme y est lent et bizarrement pesant, comme s'il s'agissait d'une comédie jouée sur la musique d'une marche funèbre.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
New York Post
Grâce aux gros noms qui y sont attachés, comme par exemple David Fincher, la première série originale de Netflix, House of Cards, réussit l'impossible : rendre trop sérieux le monde de Washington qui se prend déjà beaucoup trop au sérieux. Le prendre et le montrer comme un théâtre de l'absurde - comme Veep et Docteur Folamour - est la seule manière de s'attaque à Washington.
La critique complète est disponible sur le site New York Post
USA Today
En dehors d'un numéro de l'émission Planet Earth, voici peut-être le plus bel objet télévisuel de l'année (...) Comme dans l'original, le personnage principal explique l'action en s'adressant directement à la caméra, un gimmick un peu trop usé mais qui, entre les mains de Spacey, redevient un outil qui fonctionne parfaitement (...) L'humour dans House of Cards - qui est cruellement amusante - surgit notamment des manoeuvres entreprises par Underwood pour manipuler les personnes de son entourage, par exemple en suggérant que ses idées sont les leurs. Cela comprend bien évidemment une journaliste un peu trop ambitieuse, jouée par Kate Mara, seul point faible peut-être de la série (...) Parfois on se dit qu'Underwood pourrait obliger n'importe qui à faire n'importe quoi, à l'exception de sa femme, ce qui est d'ailleurs un hommage à la force que Wright insuffle à son personnage.
TV Guide
Les deux premières heures constituent un divertissement aussi élégant que sombre, il reste désormais à savoir si se gaver de 13 épisodes peut se révéler aussi addictif (...) Si Netflix s'aventure pour la première fois sur le terrain des séries originales, rien dans House of Cards ne donne le moindre sentiment d'amateurisme. C'est une série haut de gamme, comme vous pouvez en trouver sur HBO, Showtime, FX, AMC, pour ne citer que quelques concurrents de prestige.
The Hollywood Reporter
Dans House of Cards, Spacey donne une masterclass sur le jeu face caméra, ses dialogues laissent filtrer le mépris ou le calme dédain d'un homme dont le plan destructeur est en marche et qui sait avant tout le monde la catastrophe à venir.
Hitfix
Les deux premières heures me sont suffisantes pour avoir l'esprit clair sur certaines choses. Premièrement, Spacey mord dans le personnage de Francis Underwood exactement comme ce dernier se repaît des côtes servis dans son restaurant préféré. Il est grand et livre une performance à la hauteur de ses deux Oscars (...) Deuxièmement, Spacey n'est pas le seul à livrer une performance incroyable, on peut citer Mara, qui incarne une ambitieuse professionnelle à la détermination très affûtée, ou encore Corey Stoll, dans le rôle d'un député bon vivant qui devient un pion dans la partie que joue Francis (...) Troisièmement, même en se pliant au rythme plus rapide de la production télé, David Fincher a sans doute le plus beau regard de tous les réalisateurs actuels. House of Cards - avec lui à sa barre en tout cas - est superbe, pas de la façon parfois un peu tapageuse de Breaking Bad, mais plutôt avec une image propre, en portant un regard enivrant sur les coulisses du pouvoir, dans et en dehors du Capitole.
Los Angeles Times
House of Cards fait instantanément de Netflix un des plus grands acteurs des séries. Si la suite est aussi bonne que les deux premiers épisodes montrés à la presse (...) House of Cards va probablement devenir la première série non télévisée à recevoir une nomination aux Emmy Awards, ou même quatre (...) Tout s'y passe très vite, et parfois de manière un peu grossière, la politique ne jouant pas forcément le premier rôle, tout simplement parce qu'il est plus question de vengeance que de politique. Il s'agit en réalité d'une fable, illuminée par la photographie exquise d'Eigil Bryld.
Variety
D'abord la bonne nouvelle : House of Cards est de la télé de prestige, et constitue la preuve que Netflix peut produire et proposer un programme original qui dépasse les ambitions typiques et les limites habituelles du modèle économique du web. Ceci étant dit, cette série avec Kevin Spacey n'est pas sans défauts ou tics énervants, et semble avoir un train de retard sur la thématique du pouvoir et de Washington.
New York Times
Il faut sans doute davantage déguster House of Cards un épisode à la fois. C'est une pièce totalement amorale servie par une excellente distribution, mais le rythme y est lent et bizarrement pesant, comme s'il s'agissait d'une comédie jouée sur la musique d'une marche funèbre.
New York Post
Grâce aux gros noms qui y sont attachés, comme par exemple David Fincher, la première série originale de Netflix, House of Cards, réussit l'impossible : rendre trop sérieux le monde de Washington qui se prend déjà beaucoup trop au sérieux. Le prendre et le montrer comme un théâtre de l'absurde - comme Veep et Docteur Folamour - est la seule manière de s'attaque à Washington.