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    House of Cards
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    553 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 16 mai 2015
    Kevin Spacey nous livre une interprétation remarquable d'un homme de poigne qui souhaite évoluer dans les hautes sphères politiques américaine. Entre échiquier géant, où l'on découvrira des stratégies parfaitement ficelés, et des relations foireuses entre les meilleurs ennemis du monde, House of cards se place dans l'excellente et le jouissif. Du haut vol.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    539 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 4
    4,0
    Publiée le 13 septembre 2019
    On avait laissé ce bon vieux Frank Underwood dans une situation peu enviable. À l'issue de la saison 3, il restait président des États-Unis certes, mais ses chances de ré-investiture était menacée par l'intègre Heather Dunbar. Et sa propre femme, Claire, le laissait tomber. Après trois saisons passées à manipuler, trahir et écraser les adversaires, était-il temps pour le vieux briscard de battre en retraite et capituler? Que nenni, c'est plutôt le moment du branle-bas de combat, à en juger par la ferveur qui anime cette saison 4. Après une troisième saison parfois jugée mollassonne, Beau Willimon et son équipe de scénaristes accélèrent le rythme et parviennent à faire de cette saison 4 le point de convergence. Frank se retrouve dès le départ sous pression, et doit se battre sur tous les fronts. En une saison, il va devoir continuer la lutte contre Dunbar, enrayer l'ascension d'un jeune loup du parti républicain et surveiller les agissements d'une Claire Underwood qu'il s'est aliéné. Vaste programme! Et ça commence fort. Les rebondissements s'enchaînent aussi vite que les coups bas, de nouveaux pions rentrent progressivement dans la partie tandis que d'anciens font leur retour. Ça s'agite pas mal autour de l'échiquier, tant et si bien que Frank n'a plus autant d'occasions pour nous parler. On ne peut pas lui en vouloir, vu l'intensité de la situation. Ceux qui s'étaient un peu ennuyés devant la précédente saison seront sûrement ravis de retrouver House of Cards plus féroce que jamais. Les parallèles avec le réel sont toujours là et pertinents : le programme PRISM de la NSA, le groupuscule terroriste ICO (copie conforme de Daesh). Bref, des éléments bien actuels qui sont autant des menaces que des armes politiques de premier choix. Qui mieux que Frank Underwood pour s'en servir? Depuis le tout premier épisode, l'animal est autant un manipulateur qu'un accusateur. Il n'est donc pas surprenant d'aimer le voir pourfendre la bienséance en utilisant la démagogie de manière éhontée. Et à ce petit jeu-là, Kevin Spacey est un Grand. Plus que ça, un Géant. Il trône une fois de plus sur une saison plus sombre mais également plus fulgurante. Robin Wright ajoute encore plus de beauté et de complexité à Claire, sans conteste l'un des personnages féminins les plus intéressants de la télévision. Rayon nouveau venu, Joël Kinnaman fait une entrée fracassante en Will Conway, candidat républicain charmeur et rusé. Neve Campbell illumine dans le rôle de la directrice de campagne Leann Harvey. Cette saison 4 permet également au brillant Michael Kelly d'approfondir le personnage de Doug Stamper, sans oublier l'épatant Mahershala Ali en Remy Danton. Il y en a beaucoup d'autres, mais en dire plus pourrait nuire à la surprise (et croyez moi, il y en a). La réalisation est d'un niveau d'excellence peu ordinaire (David Fincher peut être fier). À la fin de cette saison, les ténèbres entourent la Maison-Blanche et le tumulte gronde. La saison 5 (la dernière, selon toutes vraisemblances) s'annonce comme un feu d'artifice dévastateur. L'attente sera longue...
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

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    Critique de la saison 2
    5,0
    Publiée le 10 janvier 2015
    Personnellement, je trouve que le monde de la politique est un univers passionnant et beaucoup trop méconnu par le monde du cinéma et de la série. Qu’on se limite jusqu’à présent qu’à la « petite maison dans la West Wing » était quelque-chose qui me chagrinait beaucoup. Heureusement, depuis il y a eu « Borgen » pour la version soft des gentilles démocraties d’Europe du nord, mais surtout, il y a maintenant aussi la version trash : cet « House of Cards ». Dans la première saison, j’avais aimé l’esprit hypocrisie / coups-bas / cynisme / jeux d’alliances / actes qui en cachent d’autres et – je l’avoue – ce début de seconde saison m’a au départ fait un petit peu peur. En effet, pour ses débuts, cette saison 2 s’orientait davantage vers un aspect polar, oubliant finalement l’univers politique dans lequel la série baignait. Heureusement, ce n’était là qu’un artifice (bien foutu d’ailleurs, qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit) le temps de positionner de nouveaux pions. Or, une fois la chose faite, la nouvelle partie d’échecs est juste splendide. Il y a trois choses que j’adore dans cette saison 2. D’abord, c’est ce talent d’écriture. La série parvient à faire en sorte que chaque fin d’épisode soit un cliffhanger de malade qui rende totalement accro. Sachant que la série n’a aucune limite morale, il est souvent bien difficile d’anticiper ce qui va pouvoir survenir. Ensuite, si le suspense fonctionne aussi bien, c’est que bras de fer annoncé à la fin de la saison 1 entre Underwood et Tusk montre toute la confusion qui s’opère dans les arcanes du pouvoir entre lutte de personnes et lutte d’institutions. En cela la série fait tomber un miroir aux illusions qui froid dans le dos, osant ramifier cette démarche jusqu’aux enjeux internationaux. En cela c’est vraiment brillant. Et enfin, là où je trouve cette série juste exceptionnelle, c’est que chaque péripétie conduit à un nombre incroyable de questionnement sur le fonctionnement de notre monde et sur la moralité de chacun. Franck est-il un salopard qu’on se doit d’haïr ou bien est-il au contraire le seul gars qui a compris comment fonctionner le système et comment survivre en lui ? « House of Cards » est une série d’autant plus captivante qu’elle est effrayante. Or, pour ma part, je n’attends qu’une seule choses : ressentir de nouveaux frissons, ceux que me procureront la saison 3…
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    539 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 3
    4,0
    Publiée le 10 mars 2016
    Le marathon House of Cards passe toujours comme du petit lait. Le paradoxe de cette troisième saison est d'arriver à conjuguer les intrigues politiques écrasantes (comme pour la saison 2) avec une dimension intimiste plus travaillée (comme la première cette fois).
    Les critiques émises par rapport à la deuxième partie (considérée comme trop froide par certains) ont eu leur effet. Ce nouvel acte offre un panoramique plus qu'intéressant sur les personnages clefs de la série, qui se révèlent plus que par le passé.
    En même temps, on ne pouvait s'attendre à moins. À force de coups bas et d'hypocrisie fielleuse, Frank Underwood accédait à la présidence des États-Unis. Lui et sa femme Claire n'avaient donc plus rien à conquérir...Du moins, on le croyait. Car si s'emparer du pouvoir n'a pas été de tout repos pour eux, le conserver le sera encore moins. En première ligne lors de scandales internationaux (cette fois avec la Russie), le couple présidentiel est également la cible d'ennemis de l'intérieur. L'opposition républicaine bien sûr, mais également leur propre parti, qui cherche à les pousser vers la sortie. Sans compter que le bras droit de Frank, Doug Stamper, est laissé pour mort. Attaqués de toute part, le nouveau président et sa femme pourraient y laisser beaucoup de choses...
    Le couple Underwood est poussé dans ses retranchements, ce qui conduit inévitablement à un gain d'humanité, même si l'ambiguïté demeure (au moins autant qu'avant). Les seconds rôles (Doug Stamper, Remy Danton, Jackie Sharp,...) s'approfondissent nettement à mesure que l'étau se resserre sur eux. Et les nouveaux venus s'imbriquent habilement dans les évènements qui vont secouer la vie à Washington. Kim Dickens, Paul Sparks et surtout Lars Mikkelsen (en métaphore à peine voilée de V.Poutine) parviennent à donner du souffle à cette nouvelle saison.
    Signe d'une évolution visible, les adresses de Frank Underwood aux spectateurs sont moins nombreuses. Nous ne sommes plus dans l'optique d'un plan peaufiné jusque dans ses moindres détails. Mais plutôt dans un contexte volatile qui parvient même à déstabiliser le président des U.S.A. Les machinations qu'il concocte butent sur beaucoup d'obstacles, et de taille.
    Comme beaucoup l'espéraient, les Underwood se retrouvent plus malmenés qu'avant. Pris à parti dans des scandales géopolitiques ou sociétaux, Frank et Claire montrent des signes de "faiblesses". Car indépendamment de leurs volontés, il y a aussi les convictions personnelles, la douleur et la peur qui rentrent en ligne de compte. Ce qui laisse toute latitude aux interprètes pour briller. Spacey et Wright sont toujours aussi parfaits dans des rôles de personnages complémentaires mais que la discordance guette. Certaines prises de position (notamment vis à vis du personnage de Petrov) sont claires mais sans pour autant se démarquer d'une véracité politique (qu'on peut encore plus accréditer aujourd'hui). Propagande? Cela ne tient pas, car la série remet toujours ses "héros" en perspective de ce qu'ils défendent -ou prétendent défendre.
    House of Cards assume son côté tragédie Shakespearienne de manière plus palpable qu'avant, s'en toutefois oublier les affres politiques. Les différents metteurs en scène gardent l'esprit instauré par Fincher sans se laisser écraser (plusieurs effets de style apparaissent ci et là). Et l'émotion fait son retour (après une saison 2 plus clinique), de manière subtile voire quelquefois brutale. C'est toujours une joie d'accompagner tous ses anti-héros sur un sentier de plus en plus dangereux. House of Cards garde son pouvoir de séduction et de fascination avec une aisance qui confine presque à l'insolence.
    MC4815162342
    MC4815162342

    403 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 4 octobre 2013
    House of Cards est une série exceptionnelle, c'est pas le truc politique ou tu comprend rien et tu t'emmerde, c'est bourré d'action (psychologique) et de violence (morale), Kevin Spacey est carrément époustouflant, Robin Wright est merveilleuse, Kate Mara est parfaite, Michael Kelly est impeccable, le reste du casting est lui aussi superbe, la réalisation est magistral surtout sur les deux premiers épisodes réalisé par le monumental David Fincher (Alien 3, Seven, Fight Club ou encore Zodiac), des plans magnifiques, y'a pas un plan bâclé, le scénario lui est à la fois complexe et tendu, la vie politique vu par Kevin Spacey alias Frank Underwood, un personnage sans scrupule ni pitié parfois flippant et parfois drôle, un personnage passionnant comme tous les autres d'ailleurs, la mise en scène est nickel, la bande son est sublime, les décors sont grandioses, bref une série à voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 5 août 2013
    Une série juste exeptionel, Kevin Spacy joue le rôle d'un démocrate prêt a tout pour monter en grade Manipulations, Trahisons, Sexe, Drogue tout ses aspects ne sont pas laisser en compte. La série nous offre une qualité exeptionel et rare, Réalisé par le super David Fincher connue pour ses film Seven et Fight club qui sont tout les 2 d'une qualité exceptionnel. Avec House of cards nous avons le meilleur de fincher et le meilleur de spacy. Mais Spacy n'est pas le seul acteur impressionnant tout les acteur de la série sont tous très bon et n'ont rien a envier a kevin spacy. House of cards et surement la meilleur nouveauté de cette année 2013 et a un brillant avenir derrière elle.
    erwan73
    erwan73

    6 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 13 avril 2013
    les 5-6 premiers épisodes sont vraiment bien, puis plus rien. ça s'étire en longueur pour pouvoir produire des épisodes et remplir une saison. ça se voit même aux réalisateurs: les premiers sont tournés et écrits par de grands noms, puis graduellement, ils filent les manettes à d'autres pour faire tourner la boutique. dommage, ça partait vraiment fort, en particulier grâce à des supers acteurs. mais à partir du milieu de la saison 1, on s'ennuie ferme!
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 362 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 3
    2,0
    Publiée le 17 septembre 2015
    Avant cette saison 3, « House of Cards », pour moi, c’était un peu le « Game of Thrones » de bien d’autres : c’était cette série qui avait su me prendre très rapidement alors que je ne m’y attendais pas ; c’était cette série qui avait fini par créer chez moi une véritable fascination puis une addiction ; c’était cette série pour laquelle je comptais secrètement les mois et les jours avant l’avènement de la prochaine saison à venir… Et là, pour cette troisième saison, histoire de ne rien louper, je m’étais renfilé les deux précédentes, ce qui fut l’occasion d’ailleurs pour moi de les apprécier encore davantage. Or, je dois bien le dire, les trois à quatre premiers épisodes de cette nouvelle mouture m’avaient d’abord rendus confiant. Je trouvais que les auteurs de la série savaient poursuivre ce qui avait été commencé ; qu’ils avaient su remarquablement montrer la perversité du monde de la politique où – un peu comme à « Game of Thrones » justement – on ne survit qu’en montant, mais pour mieux chuter une fois arrivé au sommet… Et oui, je trouve que, non seulement c’était une bonne idée de montrer que même président, le perfide Underwood n’avait pas le droit de baisser le garde et que toute forme de naïveté, de relâchement, d’espérance d’accalmie même au sommet, était encore le meilleur moyen de se livrer en pâture... Donc oui, dans un premier temps, je trouvais cette nouvelle saison bien partie, et les quelques détails qui me dérangeaient étaient suffisamment secondaires pour que cela n’altère pas mon plaisir et mon espoir. Seulement voilà, passé l’épisode 6, le point de non-retour fut atteint. A partir de là, ces détails autrefois secondaires passent clairement au premier plan et là, il ne devient plus possible de masquer les faiblesses de cette troisième saison. Entre ce traitement très fragile, simpliste et presque caricatural des questions de politiques internationales ; les torsions maladroites du scénario pour essayer de donner une place au personnage de Claire ; et surtout la volonté d’insérer davantage de situations humaines et émotionnelles au sein des enjeux de l’intrigue ; toutes ces négligences et autres facilités ont très vite finies par me sortir de l’état d’esprit qui me faisait adorer « House of Cards ». Moi, j’adorais le fait que la série soit sans concession ; j’adorais le fait que cette série sache adopter ce ton cynique mêlant la noirceurs des vieux polars américains avec la dimension tragique des pièces politiques élisabéthaines… Oui, j’adorais ce reflet noir que nous renvoyait la série de notre système démocratique, ne laissant aucune chance à toute forme de survivance de mythe. Et là, comme si le succès avait fait soudainement peur, comme si les auteurs avaient craint d’égratigner la sacro-sainte fonction présidentielle, voilà que la série sombre dans une étrange simplification des enjeux, dans une forme de romantisme et d’angélisme dégoulinants, pire surtout, dans des ressorts faciles dignes de séries plus ordinaires. Parce que oui, en fin de compte, c’est ça qui me dézingue le plus dans cette saison là. Ce n’est le fait que « House of Cards » soit totalement passé à côté de son sujet – bien au contraire – je considère même que les choix d’enjeux étaient les bons. Non, le problème n'était pas dans le choix de fond, mais bien plus la légereté de traitement. J’en veux pour exemple de cette faiblesse la conclusion de cette saison (que je ne spoilerai pas) : elle est en soi intéressante pour ce qu’elle ouvre comme piste pour la saison à venir (la dernière j’espère), mais la manière dont elle est amenée est en totale contradiction avec l’esprit de la série. Les choix des uns et des autres, l’enchaînement des événements et des situations qui conduisent à cet aboutissement, sont tellement forcés, illogiques par rapport aux habitudes des personnages, que le tout devient subitement artificiel et creux. C’est con, mais moi, à partir du moment où je me rends compte que les scénaristes s’arrogent désormais le droit de changer les aptitudes, méthodes et logiques de chacun en fonction de ce qui les arrange, cela rend le résultat bien plus banal. Et oui, au final c’est bien ça ce que je reproche à cette saison 3. Elle n’est pas totalement mauvaise, certes, mais quelle tristesse que désormais, elle soit rentrée dans le rang des séries consensuelles, avec tout son lot de lourdeurs et de contradictions… Venant d'une série de ce gabarit, avec un tel potentiel, c'est juste du gâchis. Pour le coup, j’aurais préféré un autre traitement à mon addiction, ça c’est certain…
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 26 mars 2013
    Une série maniée par les doigts de fée de Monsieur Fincher, Un Spacey d'un charisme effroyable prêt à tout pour obtenir ce qu'il désire et une intelligence scénaristique sans précédente.

    Voilà messieurs les producteurs de séries française, ce qui fait la recette de ce qui deviendra la meilleure série de l'année.

    Mention spéciale pour le générique qui incarne tellement justement cet esprit que dégage la série.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 2
    4,0
    Publiée le 23 février 2014
    [...]House of Cards saison 2 est dans la continuité de la première. Nous retrouvons les ingrédients qui ont fait son succès : Kevin Spacey, le thème et l’intrigue. Le scénario utilise avec brio des évènements réels pour l’adapter à la série, renforçant l’immersion du spectateur. La fin justifie tous les moyens éthiquement malhonnêtes du couple Underwoord, même les plus horribles. Cette froideur à toute épreuve du couple nous intrigue et nous touche aux moments où le ton change. La complexité renforcée est avérée, et nous donne du fil à retordre pour suivre Frank Underwood dans son ascension jusqu’au sommet. Jusqu’où va aller House of Cards ?

    Retrouvez la totalité de cette critique et bien d'autres sur:
    Hypaepa
    Hypaepa

    25 abonnés 132 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 23 octobre 2013
    Cette série m'ennuie profondément, je l'abandonne en cours. C'est vraiment très mou
    M3TT3WS F4RR4LL
    M3TT3WS F4RR4LL

    52 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 18 février 2014
    L'excellence au service de la télévision. Il me parait extremement difficile de pouvoir utiliser le moindre levier pour critiquer objectivement cette série. Les acteurs sont TOUS parfaits dans leurs rôles, l'histoire est pleine de surprise et captive le spectateur, le choque tout autant, le met mal à l'aise avec ce statut de témoin premier des méfaits gravissimes de Frank Underwood.

    C'est probablement la meilleure série dramatique du moment. Même si les saisons trois et je l'espère quatre, sont de qualité inférieure, ça restera un cru excellent à savourer pour les saint valentin de chaque années.

    Comme l'an passé, j'attendrais avec extrême impatience l'année prochaine, faisant de HoC l’événement série de mon année à venir (le reste arrivant très loin derrière).
    Yetcha
    Yetcha

    901 abonnés 4 415 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 10 juillet 2014
    Tout ce qu'on veut??? La suite....... On bave d'impatience pour connaître la suite de la vie de cette ordure à laquelle on s'attache malgré nous et découvrir encore plus les méandres de ce nid de vipères prêtes à tout pour atteindre ses objectifs.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    539 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    4,5
    Publiée le 5 avril 2014
    On avait laissé Frank Underwood tout juste auréolé du titre de Vice-président des Etats-Unis, à la fin de la première saison mémorable de House of Cards. Après treize épisodes émaillés de savoureuses manipulations et d'impitoyables décisions, le membre du Congrès tenait enfin sa revanche sur ceux qui l'avaient trahis. Et le voilà maintenant, "tout près de la présidence", comme il nous le dit lors de son investiture. Seulement, son périple pour accéder au poste suprême pourrait se révéler encore plus ardu que par le passé. La journaliste -et accessoirement ex-amante- qu' Underwood avait à sa botte, Zoé Barnes, pourrait bien lui miner le chemin. Lancée sur l'enquête du tragique destin du député Peter Russo, avec ses deux collègues Lucas Goodwin et Janine Skorsky, la jeune reporter du Slugline pourrait bien remonter jusqu'à lui. Et comme si ça ne suffisait pas, la route déjà bien tortueuse du nouveau Vice-président va également (re)croiser celle d'un Raymond Tusk bien décidé à garder l'influence qu'il a sur le président Garrett Walker. Underwood et sa femme Claire vont devoir se montrer encore plus machiavéliques - si c'était encore possible - pour parvenir à leurs fins.
    Mettons les choses au clair d'emblée: cette nouvelle saison n'a rien à envier à la précédente, en terme de scénario, de personnages ou de cohérence. Ces treize nouvelles étapes dans la vie des Underwood sont autant de machinations sinueuses, de coups (bas) de maître et de chocs que ce dont nous étions témoins au long de la saison 1. D'ailleurs, la relation de proximité que Frank Underwood entretien avec nous synthétise parfaitement la nuance qui s'établit dans cette nouvelle période de sa vie: plus subtile. Le nouveau Vice-président casse le quatrième mur de manière plus discrète et ambigüe. Pour ainsi dire, on a parfois du mal à discerner s'il s'adresse directement à nous ou à son interlocuteur, floutant encore plus la frontière de son intimité.
    La réalisation est une fois de plus au sommet. L'ombre de David Fincher plane sur chaque épisode : on retrouve cette précision chirurgicale à tous les plans. Et également dans cette dualité entre la froideur des actes d' Underwood et cette humanité qui transparaît de la glace avec parcimonie. Carl Franklin, James Foley, John Coles, Jodie Foster (oui, oui) et même Robin Wright se succèdent et contribuent à conserver cet esprit de rigueur méthodique.
    Les acteurs sont toujours aussi impressionnants: Kevin Spacey et la même Robin Wright règnent en maître au milieu d'interprètes qui sont sur la même ligne de perfection. Michael Kelly approfondit encore plus son personnage de Doug Stamper, poussant l'ambigüité très loin (comme si la série en avait encore besoin). Les petits nouveaux Molly Parker (Jackie Sharp, qui succède à Underwood au Congrès) et Derek Cecil (Seth Grayson, attaché de presse du couple) apporte humanité et nouveauté à une série qui aura décidément su gérer l'après- saison 1.
    Netflix a manifestement compris que les séries ne peuvent rivaliser avec le septième art que quand y met les moyens. Et House of Cards est en passe de s'imposer comme la plus grande série mêlant thriller et politique.
    Kana57
    Kana57

    44 abonnés 947 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    1,0
    Publiée le 30 janvier 2014
    Quel Ennui Regarder 3 episodes et ca ma suffit,pas parce que les acteurs sont mauvais NON mais c'est tout simplement pas mon genre la politique retranscris en films ou série car c'est mou du genou sa manque de rythme et sa parle vraiment pour rien dire pour combler et meubler
    La narcolepsie quel fléau
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