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Votre avis sur House of Cards ?
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Pour moi House of Cards est juste une arnaque. Vue les bonnes critiques, je m'attendais à un truc de malade, révolutionnaire, et au final pas grand chose. Bien sûr, la série est tout de même de qualité, grâce à l'enjeu (la maison blanche) et le casting (sauf pour Robin Wright, incapable d'avoir une seule émotion, mais peut-être est-ce son talent, un peu comme Kristen Stewart !). Mais bon y a des moments où on se demande ce que les scénaristes fument
spoiler:
(plan à 3 avec le garde du corps)
. La totalité des personnages secondaires sont insignifiants, voir ridicules. Tout y est malsain et cynique. C'est nous prendre pour des cons que de dire que à part Frank Underwood, tout le monde et naïf, même le président. Sans compter les morales douteuses, comme Claire Underwood contre le viol mais pour l'adultère et le meurtre. L’ascension des personnages que l'on détestes, la descente de ceux qu'on apprécient, ça peut marcher (comme pour Game of Thrones) sauf que là ils n'en restent aucun à aimer, et ça rend House of Cards antipathique. De bonne qualité, mais écœurante.
. La totalité des personnages secondaires sont insignifiants, voir ridicules. Tout y est malsain et cynique. C'est nous prendre pour des cons que de dire que à part Frank Underwood, tout le monde et naïf, même le président. Sans compter les morales douteuses, comme Claire Underwood contre le viol mais pour l'adultère et le meurtre. L’ascension des personnages que l'on détestes, la descente de ceux qu'on apprécient, ça peut marcher (comme pour Game of Thrones) sauf que là ils n'en restent aucun à aimer, et ça rend House of Cards antipathique. De bonne qualité, mais écœurante.
House of cards c'est la fierté de Netflix! Un casting prestigieux ! Kevin spacey frôlent l'excellence avec son redoutable personnage!!
des personnages secondaires ridicule, des naïfs des aveugles des imbéciles , c' est surjoué on y croit pas une seconde tant le ridicule atteint des sommets
suffit de voir comment se comportent le président des états unis ou la secrétaire d' état face au magicien underwood qui juste en 2 phrases magique fait changer d' avis des gens qui n' ont aucun intérêt a faire ce qu' il dit
^
spoiler: passons le ridicule de la scène de la cuisine et du plan a 3
pour faire un bon méchant cynique machiavélique il faut du répondant en face or la c' est le vide intersidéral
suffit de voir comment se comportent le président des états unis ou la secrétaire d' état face au magicien underwood qui juste en 2 phrases magique fait changer d' avis des gens qui n' ont aucun intérêt a faire ce qu' il dit
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spoiler: passons le ridicule de la scène de la cuisine et du plan a 3
pour faire un bon méchant cynique machiavélique il faut du répondant en face or la c' est le vide intersidéral
Après une saison 3 très très moyenne où notre couple présidentiel diabolique avait la fâcheuse tendance à plus se comporter en Télétubbies qu'en dignes élèves de Machiavel, "House of Cards" nous revient heureusement en très grande forme avec cette quatrième saison où le Président et sa Première Dame reprennent considérablement du poil de la bête. Ils vont être sans pitié et c'est ça qu'on adore avec cette série. Elle n'est jamais aussi réussie que quand elle nous fait soutenir bien malgré nous les pires coups bas de ces deux ordures.
Autre bonne surprise, elle réussit aussi à éviter une faiblesse qui jusqu'ici parasitait un peu la série, à savoir que le protagoniste et sa femme avaient des adversaires un peu trop passifs. Là heureusement ce n'est plus le cas, ce qui rend l'ensemble encore plus féroce.
Résultat, le binge-watching, grande spécialité netflixienne par excellence, a été particulièrement intense ce coup-ci. Bon ben, il y a plus qu'à attendre encore un an... Autrement les intrigues parviennent à être au plus près de l'actualité, notamment sur les questions de terrorisme, excepté peut-être sur la vague populiste qu'elle n'a pas vu venir. Mais bon, c'est une fiction et on ne peut pas la discréditer pour cela. Moins de quatrième mur brisé mais ça m'a pas particulièrement dérangé.
Par contre, ce que l'on peut lui reprocher c'est que le personnage joué par Neve Campbell n'est pas très bien défini, a contrario celui de la mère mourante de la Première Dame, joué brillamment par Ellen Burstyn, lui est bien approfondi. Celui du couple d'adversaires à la course présidentielle n'est pas mal non plus.
Bref, on assiste à une remontée de niveau assez spectaculaire avec cette quatrième saison et ça c'est très agréable. Bon, ben à dans un an, alors pour la cinquième, qui je l'espère sera du même acabit...
Autre bonne surprise, elle réussit aussi à éviter une faiblesse qui jusqu'ici parasitait un peu la série, à savoir que le protagoniste et sa femme avaient des adversaires un peu trop passifs. Là heureusement ce n'est plus le cas, ce qui rend l'ensemble encore plus féroce.
Résultat, le binge-watching, grande spécialité netflixienne par excellence, a été particulièrement intense ce coup-ci. Bon ben, il y a plus qu'à attendre encore un an... Autrement les intrigues parviennent à être au plus près de l'actualité, notamment sur les questions de terrorisme, excepté peut-être sur la vague populiste qu'elle n'a pas vu venir. Mais bon, c'est une fiction et on ne peut pas la discréditer pour cela. Moins de quatrième mur brisé mais ça m'a pas particulièrement dérangé.
Par contre, ce que l'on peut lui reprocher c'est que le personnage joué par Neve Campbell n'est pas très bien défini, a contrario celui de la mère mourante de la Première Dame, joué brillamment par Ellen Burstyn, lui est bien approfondi. Celui du couple d'adversaires à la course présidentielle n'est pas mal non plus.
Bref, on assiste à une remontée de niveau assez spectaculaire avec cette quatrième saison et ça c'est très agréable. Bon, ben à dans un an, alors pour la cinquième, qui je l'espère sera du même acabit...
soniadidierkmurgia
La marche forcée vers le pouvoir avait animé les deux premières saisons de "House of Cards". Le couple Underwood (Kevin Spacey et Robin Wright) est désormais arrivé au sommet. S'engage alors pour Frank la dure épreuve de l'exercice de la Présidence qui aux Etats-Unis est étroitement corsetée par l'autorité du Congrès avec lequel il faut toujours négocier au préalable. Frank Underwood se retrouve donc dans la position de Garrett Walker qu'il avait réussi à déboulonner en parsemant son parcours de chausse-trappes soigneusement dissimulées. Certes taillé dans un autre métal, le nouveau Président use de tous les stratagèmes à sa disposition mais la responsabilité militaire et diplomatique use sa résistance et sape son moral comme son physique de plus en plus alourdi. Etre sur la défensive pour préserver son autorité est sans conteste moins stimulant que chercher à décrocher le Graal. En plus Claire son épouse a rapidement le sentiment que la victoire finale à laquelle elle à grandement participé ne lui profite guère, n'arrivant pas à se trouver un poste à sa mesure sans être immédiatement ramenée à son statut de première dame (allusion directe à Hillary Clinton durant le mandat de son époux Bill). L'humeur de Frank est donc plus morose et commencent à se poser les questions existentielles sur les raisons de cette quête effrénée qui l'a mené jusque-là. Les petites réflexions face à la caméra sont désormais moins fréquentes et surtout moins cocasses, Frank étant régulièrement en proie au doute. Malgré la morosité qui gagne, cette troisième saison est toujours aussi passionnante en partie grâce aux personnages secondaires plus développés avec notamment le parcours douloureux et énigmatique de Doug Stamper (Michael Kelly) qui en sus d'avoir frôlé la mort doit faire face à l'ingratitude de son mentor qui le délaisse depuis qu'il est devenu Président. Habilement, le scénario de Beau Willimon marie la vraisemblance avec la pure fiction, permettant au spectateur averti de garder une certaine distance avec le jeu de massacre que constitue la politique en démocratie remplaçant de manière un peu dérisoire les combats de gladiateurs de l'empire romain.
Assez différente de la première, la seconde saison de "House of Cards" marque un net retour vers les caractéristiques plus "classiques" de la série TV : une moindre prépondérance de la mise en scène, qui, si elle reste plutôt bonne (de nombreux épisodes sont signés par James Foley, d'autres par Jodie Foster par exemple), n'a plus l'excellence du travail de Fincher, et surtout la prolifération de l'intrigue se déployant désormais autour de personnages plus nombreux. Ces deux aspects expliquent un indiscutable affaiblissement formel de la série, mais, et c'est la très très bonne nouvelle de la saison, ne viennent pas dégrader l'intérêt que l'on peut lui porter. Car la description froide et minutieuse des manoeuvres impressionnantes aux quelles se livre le couple Underwood reste toute aussi stimulante, puissante et fascinante que dans la première saison, voire encore plus forte, au fil d'épisodes qui inscrivent mieux le récit au sein de la politique intérieure et extérieure des USA : le conflit économique avec la Chine et les négociations serrées avec les Républicains pour éviter le "freeze" des institutions sont les deux points - réels, ou du moins traités avec beaucoup de réalisme - autour desquels s'articule la stratégie de Frank Underwood, et grâce à cela, l'intrigue politique est de fait encore plus réussie. Un seul bémol en fait cette fois, l'incroyable maladresse d'une scène "sexuelle" au cours du onzième épisode, qui vient stupidement - et inutilement - détruire une grande partie de la fascination que le couple Underwood exerçait jusqu'alors sur le spectateur... un choix scénaristique pour le moins discutable.
stallonefan62
une saison 3 très mouvementé ,qui se scinde en 2 partie distincte : d'abord la crise avec les russes puis la course à la réelection !! kevin spacey tient cette série sur ses épaules grâce à son interprétaion incroyable , il forme avec robin wright un couple étonnant et savoureux !! et puis la fin nous annonce une saison 4 des plus tendu !!
J'ai tout simplement adoré cette saison. On est plongé au coeur des magouilles politiques, de la corruption partout, et la toute puissance des lobbyiste. Sans parler des guerres politiques qui se répartissent un peu sur toutes la saison. Un personnage central qui met en place un plan pour se venger, utilisant autant de marionnettes que nécessaires et rompant les fils quand besoin est (et parfois de façon brutale). Un personnage de profondément amoral auquel on ne peut s'empêcher de s'attacher. La saison monte peu à peu en puissance, de nouvelles manipulations se font, d'autres cessent brutalement. Les autre personnages principaux ont également leurs propres magouilles, leurs propres problèmes personnels. On assiste à de véritables résurrections tout comme nous sommes les témoins de violentes descentes en enfer. Et le tout parsemé de quelques rebellions ici ou là, pour notre plus grand bonheur. Les dialogue sont purement jouissifs les trois-quart du temps, et parfois tout simplement terrifiant. On se trouve véritablement en plein dans le système politique américain et on le voit sous toutes ses coutures. Les acteurs sont globalement très bons, interprétant parfaitement leur rôle, enfin, sauf peut-être le Président qui pour le coup manque un peu de charisme, mais c'est pour mieux mettre en avant le personnage principal. Personnage principal interprété par un énorme Kevin Spacey, tout simplement génial dans un type de rôle qu'il affectionne. Kate Mara est quant à elle aussi excellent dans son rôle de jeune journaliste un peu naïve au début mais qui apprend très vite et gagne énormément en maturité entre le début et la fin. Un casting vraiment au top ! S'en suit également une mise en scène tout simplement sublime, avec une photographie magnifique et mettant en valeur de somptueux décors. Les scènes se suivent et sont toujours filmées avec justesse, proposant parfois dans plans géniaux. Bref, une première saison géniale, forte intéressante et dont le final nous laisse présager une seconde saison du même acabit !
Une deuxième saison aussi excellente que la précédente. On rentre rapidement dans le vif du sujet. Frank Underwood se montre toujours aussi retord dans ses manipulations, réservant de purs moments jubilatoires tout au long de la saison. Mais cette fois-ci, il est accompagné par de nouveaux personnages tout aussi dangereux que lui, mais surtout les anciens ont appris les règles du jeu. Ce qui nous laisse donc une saison intense du début à la fin et même si on sait comment ça va se terminer (vu comment s’est terminée la saison 1), on se demande comment on va y arriver. Et l’entrée en jeu de la Chine aura son importance. Francis va perdre un peu de ses plumes au passage, mais la riposte est tellement géniale. Sans parler des histoires annexes, tout aussi captivantes que l’intrigue principales, donnant du fil à retordre aux protagonistes. Quant au final…mouahahahahahahahah ! Juste excellent, jubilatoire, génial et surtout, préparant le terrain d’une suite qui s’annonce passionnante. Sur le casting, là aussi à l’image de la première saison : tous sont vraiment très bon. Kevin Spacey survole de plus en plus la mêlée, mais Robin Wright se défend tout aussi admirablement, tout comme les autres personnages plus ou moins secondaires. Techniquement, c’est encore du très haut niveau : une musique superbe, des décors encore plus extraordinaires et une mise en scène toujours soignée et maîtrisée. Avec cette deuxième saison, House of cards s’instaure d’autant plus comme une des trois meilleures séries proposées par la télévision actuellement.
"House of cards" est une série majeure de cette décennie. La qualité de la réalisation est digne de HBO (bravo Netflix), la mise en scène toujours soignée avec un casting particulièrement réussi, des personnages principaux aboutis et des seconds rôles percutants. La thématique du pouvoir drogue hautement nocive qui rend fou est peinte sans pastels. Ce qui ne gâche rien, le générique est d'anthologie accompagné d'un thème musical fabuleux.
Que peux-t-on demander de plus ?
Que peux-t-on demander de plus ?
2013, l’année des séries politiques. Après Homeland,qui dévoilait les coulisses des services secrets, et Scandal, qui infiltrait la Maison Blanche, voici House of Cards. Première série de David Fincher (Millénium, The Social Network…) avec Kevin Spacey et Robin Wright, House of Cards enchaine les bons épisodes comme des perles. Une vraie immersion non pas au cœur de la Maison Blanche mais au cœur du Congrès. Trahisons, stratégies, mensonges, arrangements vous seront servis sur un plateau. Un vrai bonheur !
Il m'aura fallu du temps pour que je me lance dans House of Cards. En voyant les critiques, je pensais me retrouver face à la série qui pourrait combler mon manque de Breaking Bad. Je pensais me retrouver face à une série intelligemment écrit. Et en fait, c'est le cas. HoC est ultra bien écrit. Bon faut, dire, je intéresse pas mal à la politique donc c'est bien mon genre. Mais je suis bien idiot, je sais que ça ne se passe pas exactement comme ça à la maison blanche. Enfin, j’espère. Pour ce qui est de la série en elle-même c'est très bon. Déjà, casting de fou! Kevin Spacey l'un de mes 5 acteurs favoris, Robin Wright, Kate Mara, c'est un des meilleurs casting de série que j'ai vu. Et puis, les premiers épisodes sont réalisés par qui? David Fincher, un des mes réalisateurs favoris cette fois. Et c'est écrit par qui? Beau Willimon que... je ne connais pas. Mais en tout cas, je retiendrais son nom car HoS est ultra bien écrit. Bon, c'est pas captivant. En même temps, je ne suis qu'à la première saison, ce n'est que mise en place pour la suite. N'empêche, je trouve que HoS est une série un peu irrégulière. Y a des épisodes absolument géniaux, voir même fantastiques, tandis que d'autres s'avèrent être assez ennuyeux. Et ça, c'est dommage. Mais dans l'effet, les acteurs sont toujours très bon. Après tout, c'est Kevin Spacey, l'homme qui à incarné John Doe! Les personnages quant à eux sont supers! Parfois, on apprécie Franck Underwood, et parfois, on peux carrément le haïr. Il fait quand même des choses atroces. Sa femme, Claire est moins intéressante mais aussi attachante. Zoé Barnes est un peu énervante. Mais mon coup de cœur, c'est Peter Russo. Franchement, ce personnage est génial, ultra attachant, très bien développé. Quoique, je trouve qu'on ne le vois pas assez. En tout cas, je pense que HoS démarre bien, et que la suite va être énorme. J'ai déjà vu le début de la deuxième saison, ça sent le chef d’œuvre. 3.5/5 Voilà qui est dit!
Malgré une récolte un peu maigre au Emmy Awards (un seul prix) House of cards reste l'un de mes coups de coeur niveau série en cette rentrée 2013. Déjà rien que pour le casting, cette série mérite d'être vu ! Kevin Spacey est tout simplement génial, l'un de ses meilleurs rôles pour moi. Mais bon, la série a quand même d'autres grand point commun ! Mais tous les acteurs, du second rôle au premier rôle sont tous excellents. L'intrigue est vraiment prenante, le machiavélisme de Franck Underwood est juste jouissif même si vers la fin de la saison, certains de ses actes commencent un peu à nous énerver ! Parfois clair ou parfois moins compréhensible tout du moins pendant quelques épisodes le but d'Underwood semble flou mais je vous rassure à la fin de la saison tout s'éclairera et paraîtra enfin clair sous tous les angles ! Sincèrement, on attend la saison 2 avec impatience surtout que le final season nous laisse un peu sur notre faim !
Beaucoup de temps morts dans cette série mais surtout le scénario est de nombreuses fois invraisemblable:Frank Underwood n'a pas de véritable adversaire, tous les autres personnages sont mous et facilement manipulables, ils semblent ne pas se parler entre eux comme si Underwood était le seul à tirer les ficelles. La fin avec le président tourne à la blague tellement on se moque du monde. La série donne un sentiment d'extrême frustration devant tant de mollesse et de niaiserie de la part des personnages secondaires.
Véritable phénomène, ''House of Cards'' se base sur une intrigue politique pour mélanger avec brio cinéma et série. Et ceci est en partie due grâce à David Fincher, réalisateur de 2 épisodes ainsi que producteur de la série. Et le moins que l'on puisse dire est qu'House of Cards offre une première saison en tous points génialissime emmené par des acteurs absolument incroyables (Spacey et Wright stupéfiants de réalisme machiavélique), et une réalisation fluide. 13 épisodes d'une grande qualité, quasi incomparable en ce moment dans le milieu télévisuel, des rebondissements à gogo, une émotion de tous les instants et un réalisme flagrant. En symbiose parfaite, le machiavélisme des politiques, la persévérance des journalistes et un espoir qui n'est qu'illusion symbolisé par le personnage de Peter Russo (génial Corey Stoll), pantin manipulé par Underwood et ses démons passés. Autant pensé comme un film que comme une pièce (les apartés de Spacey à notre égard efface le ''4e mur'') d'une teneur quasi-shakespearienne. La série a donc (et à juste titre) fait beaucoup parler d'elle, premièrement pour sa qualité (elle est très rapidement devenue une des séries les plus appréciées du moment) mais aussi parce qu'elle n'est disponible aux States que par un service de streaming appelé Netflix et qui a balancé la totalité de la saison le même jour sans aucun support télévisuel. C'est dans ces moments que l'on reconnaît les qualités d'une série en tous points extraordinaire.