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Votre avis sur Les Soprano ?
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En regardant 1 épisode en entier, vraiment pourrie cette série. Meilleure série de tous les temps ? surement pas!
Ah! Les Sopranos est la série qui m'a redonné goût à ce genre télévisuel. Enfin, une série qui égale, voire surpasse le 7ème art. Une merveille d'intelligence dans l'écriture, des acteurs magnifiques avec James Gandolfini inoubliable, une maestria dans la violence digne d'un Martin Scorsese et une qualité globalement constante durant 6 saisons. Pas de doute, c'est MA série préférée. Seul point noir, une 5ème saison moins réussie que les autres (sûrement dûe aux conflits entre le casting et la production) et un dernier épisode qui m'a laissé sur ma faim et pas du tout à la hauteur de la série...
Juste la meilleure série de tous les temps.
et pourtant y a de la concurrence, Breaking Bad, The Wire, Game Of Thrones actuellement qui offrent ou nous ont offert du spectacle original...mais Tony Soprano est indétrônable, sa relation avec sa psy, ses scènes de ménage avec sa femme, ses relations parfois tordues avec ses gamins au niveau personnel, qui concordent parfaitement avec son travail, sa bande de bras cassés de la mafia, Silvio, Paulie, etc..ses rivalités avec New York, les méthodes de la police pour le coincer. spoiler: Mais Surtout, surtout : cette fin, cette fin par laquelle j'ai cru que ma télévision venait de planter...jusqu'aux crédits.
et pourtant y a de la concurrence, Breaking Bad, The Wire, Game Of Thrones actuellement qui offrent ou nous ont offert du spectacle original...mais Tony Soprano est indétrônable, sa relation avec sa psy, ses scènes de ménage avec sa femme, ses relations parfois tordues avec ses gamins au niveau personnel, qui concordent parfaitement avec son travail, sa bande de bras cassés de la mafia, Silvio, Paulie, etc..ses rivalités avec New York, les méthodes de la police pour le coincer. spoiler: Mais Surtout, surtout : cette fin, cette fin par laquelle j'ai cru que ma télévision venait de planter...jusqu'aux crédits.
une série "anti héros" Les producteurs n'hésitent pas à démollir les personnages. Des mafieux maniaco-dépressifs, des psychopathes, des ados complètement débiles,des bimbos siliconées à outrance., des portes flingues gay, tout y est ! J'ai adoré , de la s01 à s06 ! Dommage que c'est un peu anarchique dans le suivi des episodes . Cette série m'a rappelé un peu Dallas, avec ses personnages machiavéliques. Et la cerise sur la gateau, une pleïade de guest star dans la s06 ; Ben Kingsley, Lauren Bacall (qui se prend un crochet du droit !)Baldwin, Pollack, etc... Que du bonheur , je vous conseille cette série.
Excellente série, le quotidien atypique d'une famille mafieuse et de son chef de famille dépressif ! A voir absolument, dommage que ça ne passe pas en hertzien (reste la tnt).
Une excellente série sur une famille de mafieux. Le regretté James Goldanfini interprète le parrain de la mafia américaine.
David Chase a réussi l'incroyable exploit de faire de ces Sopranos des gens presque normaux. Des gens complexes, traversés par des émotions entières et contradictoires. Et la mafia italo new yorkaise n'a jamais paru si humaine, si cruelle, parce qu'on les aime, ça pourraitêtre nous, parfois, quelques soirs. La série traverse 6 saisons sans redire, sans dédire, marchant droit devant, traçant sa route, avec des moments d'une rare intensité. La mère de toutes les séries.
La première saison des Soprano installe les éléments qui vont être étoffés au fur-et-à-mesure des années. Une histoire bien évidemment scorcesienne, entre tragédie antique et drame familial, d'où se détachent une brochette de personnages magnifiquement écrits. Tony Soprano est un héros charismatique dont les failles sont à vif dès le premier épisode. On comprend d'où viennent ces blessures, jusqu'à l'épisode final où une scène tendue le voit s'affronter à sa mère. Une vieille dame inquiétante qui agit dans l'ombre dans la grande tradition de la mama sicilienne. Une famille de mafieux qu'on adore suivre.
Vous savez la question "si tu devais emporter une seule série sur une île déserte..." ce serait les Soprano pour moi (ou The Wire évidemment). Alors je sais ça peut paraître bateau, mais tout ce qu'on dit sur cette série est vrai, et même au delà. En gros on a un chef de la mafia qui est contraint de consulter une psychologue sous les conseils de sa femme suite à d'incompréhensibles crises de panique. Ce synopsis est déjà très excitant en soit, mais ce que David Chase en fait derrière, la manière dont il a réussi à développer tout ça derrière relève tout simplement du pure génie narratif et je pèse mes mots.
S'agissant en quelque sorte d'une oeuvre autobiographique et cathartique pour David Chase le créateur, il fusionne avec son personnage principal Tony Soprano incarné par un James Gandolfini absolument parfait du début à la fin. On se prend d'affection pour ce anti-héros très rapidement, lui qui subit une pression monstre sur ses épaules mais doit constamment tenir la face par rapport aux responsabilités qui lui incombent. Il n'y a que lorsque qu'il va voir le Dr Melfi (sa psy) qu'il peut faire tomber les masques et cela donne lieux à des séquences émouvantes, touchantes, révoltantes et j'en passe. Bien qu'éloigné de notre quotidien (je l'espère pour vous), la thérapie que suit Tony Soprano agît sur nous à la manière d'un miroir qui nous amène a nous poser des questions sur notre propre histoire et les choses enfouies qu'on ne veut pas aller chercher.
L'axe philosophique de la série est tout simplement bluffant, avec notamment la part très importante donnée au monde des rêves au sein de la série. Cet axe m'a complètement subjugué avec par dessus le marché une direction de la photographie à couper le souffle qui élève la série au rang de chef d'oeuvre selon moi.
On a l'impression que tout à été pensé au millimètre près dans cette série, c'est de cette manière que chaque dialogue détient le bon rythme, le bon ton, que chaque décor, chaque costume apporte quelque chose à la scène pour y trouver une signification enfouie dans le non-dit.
Une série importante, une série à regarder une fois, puis à digérer pour la regarder de nouveau plus tard afin d'y trouver d'autres significations. Il y a tant de choses à dire sur les Soprano que je préfère ne pas vous gâcher le plaisir en en disant trop ici, ce qui est sûr c'est que le voyage en vaut le détour.
S'agissant en quelque sorte d'une oeuvre autobiographique et cathartique pour David Chase le créateur, il fusionne avec son personnage principal Tony Soprano incarné par un James Gandolfini absolument parfait du début à la fin. On se prend d'affection pour ce anti-héros très rapidement, lui qui subit une pression monstre sur ses épaules mais doit constamment tenir la face par rapport aux responsabilités qui lui incombent. Il n'y a que lorsque qu'il va voir le Dr Melfi (sa psy) qu'il peut faire tomber les masques et cela donne lieux à des séquences émouvantes, touchantes, révoltantes et j'en passe. Bien qu'éloigné de notre quotidien (je l'espère pour vous), la thérapie que suit Tony Soprano agît sur nous à la manière d'un miroir qui nous amène a nous poser des questions sur notre propre histoire et les choses enfouies qu'on ne veut pas aller chercher.
L'axe philosophique de la série est tout simplement bluffant, avec notamment la part très importante donnée au monde des rêves au sein de la série. Cet axe m'a complètement subjugué avec par dessus le marché une direction de la photographie à couper le souffle qui élève la série au rang de chef d'oeuvre selon moi.
On a l'impression que tout à été pensé au millimètre près dans cette série, c'est de cette manière que chaque dialogue détient le bon rythme, le bon ton, que chaque décor, chaque costume apporte quelque chose à la scène pour y trouver une signification enfouie dans le non-dit.
Une série importante, une série à regarder une fois, puis à digérer pour la regarder de nouveau plus tard afin d'y trouver d'autres significations. Il y a tant de choses à dire sur les Soprano que je préfère ne pas vous gâcher le plaisir en en disant trop ici, ce qui est sûr c'est que le voyage en vaut le détour.
Je viens de regarder une seconde fois cette série. Je l'ai découverte à l'époque où j'étais encore un ado et j'avais pris une claque phénoménale. Bon la 2ie vision est moins bonne que la 1er. Bien entendu c'est toujours sympa à regarder mais je trouve le scénario côté mafia pas forcément incroyable. En fait Les Sopranos est une série sur la famille. Point fort de la série : le casting tout est déjà dit. Que dire de cette fin incroyable, j'ai eu du mal à m'en remettre la 1er fois, idem la 2ie. A ce propos les deux derniers épisodes sont parmis les 10 meilleures de la série. La dernière saison et aussi selon moi la plus réussi.
Une série qui peut paraître brut de décoffrage mais qui en réalité apporte tout un nuancier de personnages très finement dépeints. Le plus déroutant, c'est que le spectateur se retrouve tout aussi perdu que Tony Soprano, dans ce tourbillon infernal de proches tantôt amis, tantôt traitres.
On peut grandement apprécier la subtilité avec laquelle chaque personnage peut facilement basculer dans le vide. Aucun d'entre eux n'a jamais eu de moment de faiblesse et le conséquences pour chacun de ces passages à vide sont toujours redoutées. Heureusement, ça ne se finit pas toujours en drame.
On peut grandement apprécier la subtilité avec laquelle chaque personnage peut facilement basculer dans le vide. Aucun d'entre eux n'a jamais eu de moment de faiblesse et le conséquences pour chacun de ces passages à vide sont toujours redoutées. Heureusement, ça ne se finit pas toujours en drame.
Très bonne série que je regrette d'avoir connu bien tardivement tant la qualité de celle-ci, que ce soit sur le travail d'écriture des épisodes, sur la prestation d'ensemble du casting (avec bien entendu l'énorme performance de James Gandolfini alias Tony Soprano), sur l'analyse et la plongé plus que crédible au coeur de la mafia est impressionnant. Je comprends mieux après avoir comblé mes lacunes sur les Soprano, pourquoi elle est considérée comme une série culte par beaucoup de gens. A ne manquer sous aucun prétexte cette série qui est parfois tellement excellente que l'on dirait du Scorsese.
C'est juste la meilleure série de tous les temps. Tout est bon : acteurs, ambiance, scénario, bande sonore, réalisation parfaite... J'ai adoré du début à la fin (quelle fin...), c'est un chef d'oeuvre, je ne comprend pas comment cette série peut se faire dépasser en termes de notations par d'autres séries comme The Walking Dead ou Dr House. Chacun ses goûts certes, mais le talent est plus que présent et, au risque de me répéter, c'est pour moi LA série à regarder. Une turie.
Est-il utile de rappeler que c’est grâce aux Sopranos que (le concept) « la série façon film » fût inventée ?
Exit friends et sex and the city, David Chase eu le génie de façonner des episodes d’une heure avec des senari dignes des plus grands long métrages .
The sopranos n’est pas seulement une énieme histoire sur la mafia, elle est un chef d’œuvre psychanalytique, une ôde à la réalisation et l’interprétation.
Réputée pour le style d'écriture très symbolique et aux multiples facettes, elle offre durant les six saisons, de nombreux thèmes psychologiques, philosophiques, sociaux et politiques.
Faisant partie désormais indéniablement de la culture américaine, son succès commercial et critique, fait de cette œuvre, la série la plus rentable de l’histoire de la télévision.
Exit friends et sex and the city, David Chase eu le génie de façonner des episodes d’une heure avec des senari dignes des plus grands long métrages .
The sopranos n’est pas seulement une énieme histoire sur la mafia, elle est un chef d’œuvre psychanalytique, une ôde à la réalisation et l’interprétation.
Réputée pour le style d'écriture très symbolique et aux multiples facettes, elle offre durant les six saisons, de nombreux thèmes psychologiques, philosophiques, sociaux et politiques.
Faisant partie désormais indéniablement de la culture américaine, son succès commercial et critique, fait de cette œuvre, la série la plus rentable de l’histoire de la télévision.
A l'occasion de la sortie en 14 DVD des quatre premières saisons des Soprano dans un coffret par HBO, il est bon de se replonger dans cette incroyable série. D'abord ce qui frappe aux yeux pour les gens d'origine italienne comme moi, et la différence entre les Italo-américains et les Italiens d'Europe. Si vous avez vu la série italienne, Squadra criminale (Non uccidere), on voit la fracture entre les comportements des Italiens des États-Unis et ceux d'Europe. Alors est-ce des clichés, voire du racisme ? Les Italiens se comportent-ils comme ça ? A coup sûr on est dans le spectacle. Les Soprano est un reliquat du Parrain et finalement les personnages ont des comportements qui étaient encore en rigueur peut-être dans les années 70 et 80, mais maintenant ! C'est du folklore. Quant aux attaches culinaires et culturelles, vraiment ? Les Italiens de la série sortent toutes les minutes des noms italiens de spécialités culinaires, comme si leurs parents venaient tout juste immigrer d'Italie. Mon père de 90 ans, se souvient de son grand-père qui dans les années 40, vivait encore avec les traditions italiennes, mais même lui avait été assimilé par la culture française. Aux États-Unis on est bien dans le communautarisme. La série le montre parfaitement. Je ne vois pas les Français d'origine italienne manger tous les jours des spaghettis et des cannolis, alors que dans la série, ils fonctionnent en vase-clos. Ce communautarisme montré dans la série, est par moment effrayant. Et donc par le biais de la série, vous comprenez les différences culturelles entre la France et les États-Unis, et on peut même dire entre L'Italie et les États-Unis. Quant à la place importante de la religion, c'est encore une fois typiquement américain et pas (ou plus) italien. Donc de voir ces personnages fantasmer sur une Italie imaginaire est pour le moins cocasse. En Italie on les regarderait comme des bêtes curieuses. Néanmoins on peut savoureux l'interprétation des principaux acteurs. Les époustouflantes séances chez la psychiatre (avec l'admirable Lorraine Bracco) ont entraîné certainement d'autres séries comme, En analyse (In Treatment) avec Gabriel Byrne, et la condition de vie de l'épouse jouée par la formidable Edie Falco, aura donné les bases à des séries comme Desperate Housewives. Quant à James Gandolfini, il est dantesque.