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BlindTheseus
303 abonnés
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Critique de la série
0,5
Publiée le 30 avril 2008
D'une drôlerie assez énorme quand on oublie sa fabuleuse complaisance - Jamais vue jusqu'ici ! -, on ne peut en effet que se questionner égalemement face à cette série parmi les + sombres de l'Histoire ou des "mafieux" passent leur temps à s'autocongratuler : Tellement actuelle...
Bon. Des fois ça passe, des fois ça passe plus. J’aimais bien, mais bon, je trouve que ça ne tient pas sur la durée, ça devient de moins en moins vrai, à part l’idée de base qui est drôle. Tony fait une connerie, va se confesser chez son psy, refait une bêtise, retourne s’épancher…etc. Il finit par me donner le tournis, avec sa femme, sa mère et ses potes mafieux, et j’ai finit par m’ennuyer ferme, c’est tout le temps la même chose. Des seconds rôles un poil trop caricaturaux, typés Italo-américano-mafioso de base, avec les mimiques pour faire peur, et l’arme à la ceinture. Les personnages n’évoluent pas ou peu, et c’est re-tout le temps la même chose. J’ai l’impression de revoir les Affranchis en boucle. Mais que fait la police ? Heureusement question rebondissements, les américains ont le truc, ça fonctionne. Et puis cette psy, quand même, elle ne m’inspire pas confiance. Accepter comme client un type pareil, c’est pas crédible. N’importe quel vrai psy l’aurait foutu dehors dès le premier épisode car avec tout ce qu’il raconte, elle se met, et met sa famille en danger, elle le sait très bien.
Meilleure série de tous les temps, chef d'oeuvre, série que chacun devrait voir... Parle t on des Sopranos ?? Quelle déception, quel ennui. Nous ne sommes jamais intéressé, l'atmosphère mafia est imperceptible. Aucune tension, aucun rebondissement. Les 13 épisodes ont été un chemin de croix dont je ne voyais pas le bout. Les personnages n'ont rien de touchant ni de désagréable, aucun sentiment n'est venu me perturber. On s'ennuie, rien ne se passe, aucun danger pas même d'intrigues intéressantes. Les épisodes ne s'enchainent pas. Une famille mafieuse d'accord, mais où est le suspens, les retournements de situation. Loin d'être une série culte, les Sopranos est une belle série pour someiller sans se prendre la tête et devenir nerveux.
Les critiques sont assez unanimes sur cette série : c’est du bon ! Du coup, sans espérer trouver l’équivalent TV du film « le Parrain » de Coppola, je m’attendais à voir quelque chose d’intéressant. Ce n’est pas du tout le cas. Les mafieux sont légions sur petit et grand écran, et la comparaison est vite faite. Et force est de constater que cette série n’apporte rien. La réalisation est mauvaise, le scénario quasi vide, les dialogues plats. Les acteurs font ce qu’ils peuvent, mais c’est long et ennuyeux à regarder. Et puis qu’est ce que c’est que cette histoire de canards ? Le seul élément a être original c’est le mafieux qui va chez le psy. Mais c’est mal développé. Le sujet a été repris par la suite dans « Mafia blues ». Sa famille est pathétique, tout comme sa petite vie de beauf. Une série à éviter.
Le type de série qu'on adore ou qu'on déteste, je crois. Personnellement, j'ai failli m'endormir dès le premier épisode. Ca blablate non stop pour ne rien dire, les acteurs sont bons mais les scénario sont beaucoup trop mou. Je mets une étoile pour l'originalité et le jeu d'acteur. Testez un épisode ou deux, vous verrez bien.
Cette série est clairement un chef d'œuvre ! Sans donner trop de détails, au début j'ai eu du mal à accrocher mais au bout de quelques épisodes j'ai été entraîner par la série et me suis attaché aux personnages. Prestation des acteurs de haut niveau comme Tony Soprano évidement (James Gandolfini RIP) ou encore Pauli Gualtieri et Christopher Moltisanti. Pour résumer, cette série ne plaira pas à tout le monde certes mais elle vaut le détour pour les amateurs de la "mafia".
De quoi être dithyrambique, chaque saison prise dans son ensemble est un chef d'oeuvre de 10 heures. Le charisme de l'acteur James Gandolfini est monumental, avec sa présence physique qui en impose et l'expressivité de son faciès. Il est tour à tour un monstre odieux et un humain attachant avec ses forces et faiblesses. On sent que chaque réplique, chaque dialogue est écrit avec le plus grand soin, mêlant l'humour à une crédibilité à toute épreuve. C'est une fresque gigantesque qui rassemble une vingtaine de personnages principaux ayant chacun une psychologie ultra développée. On monte en puissance au fil de la saison, les tensions et les enjeux subissent un crescendo qui explose dans le final des saisons. Attention donc à ne pas émettre un jugement trop hâtif après avoir vu deux ou trois épisodes, (ne vous attendez pas à une débauche d'actions dès le début, dans certains opus aucun coup de feu n'est tiré, il s'agit juste de dialogues et de confrontations psychologiques qui épaississent les persos), les Sopranos s'inscrivent dans la durée et maintiennent un degré de qualité qu'aucune autre série n'a réussi à garder sur autant de saisons. Et puisque sur plusieurs dizaines d'heures, on peut davantage développer intrigues et personnages qu'en deux heures, Les Sopranos, n'ayons pas peur de le dire, surclasse même bien souvent les chefs d'oeuvre du 7ème Art qui l'ont inspirée, du Parrain aux Affranchis...
pour moi la meilleur série que j'ai vu on est pris dedans des le debut aucun défaut casting parfait scenario parfait intrigue parfaite musique parfaite on avale les épisodes sent se rendre conte impossible d'aitre lasser simplement serie mythique a voir et a revoir seul mauvais délire s'est que se soit fini dommage on regrette tony soprano et sa bande
Comment exprimer ce que cette série a apporté à la télé ... une nouvelle manière de concevoir les scénario, de baser les personnages ?
Imaginez l'étude du quotidien de la mafia par le biais des tracas au jour le jour des membres de la famille du baron local qui lui même consulte un psychiatre ...
Entre le plaisir de la découverte que fut la saison 1 et la déception monumentale que fut la saison 2, cette saison 3 se situe un peu entre les deux. Les personnages commencent à se décanter, les situations sont plus riches, mais la série peine quand même à développer jusqu’au bout les éléments d’intrigue qui suscitent l’intérêt. Ça passe donc au final pour moi, mais j’avoue que cette saison 3 m’a tout de même vacciné pour les saisons à venir parce qu’il est pour le moment hors de question que je consacre autant de temps pour au final un plaisir si ordinaire…
Après la purge que furent les saisons 2 et 3, cela rassure de voir que cette saison 5 enchaîne sur les bonnes bases laissées par la saison 4. A dire vrai, une fois qu'on s'est habitué au rythme particulier de la série, qui conçoit vraiment chaque épisode comme une entité à part entière qui révèle un quotidien sur sa durée, on peut pleinement apprécier la qualité d'écriture et la subtilité des personnages qui nous sont proposés. Finalement, les "Soprano" restent les "Soprano" : une famille. Et en bonne peinture de famille, on finit par s'attacher au simple fait de voir cette famille évoluer, voir des liens se renforcer, d'autres se distendre voire se rompre... A l'instar des saisons précédentes, cette saison 5 parvient à s'appuyer sur deux points forts : tout d'abord l'apparition d'un nouveau personnage dans la famille, et ici –excusez du peu – il s'agit de Steve Buscemi (brillant) ; mais aussi sur la disparition tragique d'un personnage majeur, nouvelle victime des « problèmes » de famille. Et là encore, la série fait fort, mais – chut ! – je ne dis rien... L'air de rien, la mécanique est désormais huilée et elle fonctionne bien, d'autant mieux qu'au fil des saisons et des épisodes, on sent l'étau se resserrer autour de ce cher Tony. Plus qu'une saison à se mettre sous la dent, et j'ai envie de dire : « vivement... »
Et voilà, c'est fini... C'est marrant, mais jamais je n'aurais imaginé aller jusqu'au bout de cette série, surtout lorsque je me rappelle l'ennui abyssal dans lequel m'avait plongé la saison 2 et, à moindre mesure, la saison 3. Finalement, pour ce qui est de ces deux dernières saisons (...car j'avoue avoir du mal à comprendre qu'Allociné combine saison 6 et épilogue dans ses fiches) cette série aura finalement été égale à elle-même. Le plaisir ne vient pas d'une intrigue qui prend aux tripes, il vient plutôt d'un quotidien qui, d'épisodes en épisodes, est soudainement bouleversé par des aléas inattendus et pourtant riches de conséquences. Une fois qu'on a saisit cet état d'esprit, le plaisir est là et ne nous quitte pas, qu'il s'agisse de la saison 6 ou de l'épilogue. Deux petits regrets malgré tout : dommage que le pic émotionnel remarquable qu'ont su susciter les premiers épisodes de la saison 6 retombe très rapidement pour reprendre le chemin habituel un peu plan-plan car une telle orientation pour les deux saisons finales ne m'aurait pas déplu. Deuxième dommage aussi pour – justement ! – le véritable final de la série. Sans s'attendre à trente millions de rebondissements, j'aurais aimé que le dernier épisode ait une allure d'accomplissement, qu'il donne un sens à tous l'ensemble. Alors certes, David Chase ne passe pas non plus à côté de son sujet, loin de là, mais son effet de style final, pour laissé ouvert le propos, est à mon sens un peu loupé, et m'a clairement frustré. Enfin bon, je chipote car, au final, c'est avec beaucoup de nostalgie et de plaisir que je regarde en arrière vers ces six/sept saisons qui se sont succédé et, rien que pour cela, merci Tony...
Après la traversée du désert que furent pour moi la saison 2 et 3, le retour à une saison riche, dense et ambiguë me redonne un petit peu foi en cette saga culte. Fini de tourner en rond autour de mini-histoires de famille à laquelle la réalisation mollassonne ne sait pas donner de relief. Là – enfin – l'avenir de cette famille à la fois tellement banale et atypique est enfin attaquée de front. Certaines orientations prises sont drastiques, voire parfois cornéliennes, si bien qu'on n'est jamais vraiment sûr dans quel pétrin la série est capable de nous emmener. De plus, avec cette saison 4, cette série retrouve son côté sec et imprévisible qui lui manquait dans les deux saisons précédentes. Bref, vous l'aurez compris, si vous êtes prêts à subir l'ennui de la saison 2 et 3, la sortie du tunnel sait apporter son lot de récompense... Tant mieux...
La série s'intéresse à un parrain de la mafia du New Jersey qui se nomme Tony Soprano. Très réaliste avec un très bon jeu d'acteur, elle mérite tout à fait les éloges qu'elle a reçus. On est happé par l'histoire, non seulement de la famille de cet homme, mais aussi par les rivalités entre groupes mafieux. L'une des meilleures séries d'HBO, sans aucun doute !