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    Alphas
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    3,9
    7 titres de presse
    • Los Angeles Times
    • Entertainment weekly
    • Hitfix
    • New York Post
    • Slate
    • New York Times
    • San Francisco Chronicle

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    7 critiques presse

    Los Angeles Times

    Imaginée à l'origine par Zak Penn (le scénariste de X-Men l'affrontement final et L' Incroyable Hulk) et Michael Karnow, Alphas est mise de côté par ABC lors de la terrible période de la grève des scénaristes, le scénario met en scène alors entre autres un personnage capable de briser du verre d'un murmure. Il atterrit plus tard chez SyFy, perdant au passage le coup du murmure mais grappillant une distribution géniale, menée notamment par David Strathairn, la figure paternelle et mystérieuse de ce groupe baptisé "Alphas", composé de personnages aux super-pouvoirs, considérés également comme des failles (...) Voir Strathairn mener avec brio les scènes les unes après les autres montre encore une fois l'importance du directeur de casting. Cet acteur, nommé par le passé aux Emmy Awards et aux Oscars, est un de ces comédiens solides et tout en nuances, qui peut tout intérpréter et magnifier. Dans Alphas, il peut compter sur une écriture efficace et une équipe robuste.

    Entertainment weekly

    Strathairn est pour beaucoup dans la solidité de ce mélodrame. Alphas pourrait rappeler Heroes à de nombreux téléspectateurs et, s'il s'agit d'un pilote à l'origine repoussé par ABC, elle n'en est pas pour autant un produit de seconde catégorie. C'est fun et rythmé, et Callum Keith Rennie, qui joue un responsable du Pentagone, a heureusement un rôle plus important que celui qu'il tient dans The Killing.

    Hitfix

    Heroes s'est finalement révélée être une catastrophe mais son succès originel et la persévérance des téléspectateurs restés fidèles malgré le naufrage en cours, laissent penser qu'il y a de la place et une demande pour un tel show (...) Et le pilote est suffisamment réussi pour expliquer comment un tel projet a pu s'extirper du purgatoire du développement télévisuel. Comme Heroes, Alphas est une série sur des super-héros qui essaie de passer outre les costumes, les surnoms et autres éléments qui deviennent rapidement cheap à l'échelle économique télévisuelle (...) A la différence de Heroes, dont le créateur ignorait profondément le genre, Alphas est écrite par Zak Penn, l'auteur de nombreux films de super-héros, lequel connait ce monde et l'art délicat de cette narration particulière et comprend ce qu'il faut faire pour faire fonctionner ce monde à une échelle télévisuelle.

    New York Post

    Alphas est fun, c'est sûr, mais elle laisse un parfum de "déjà vu". Malheureusement j'ai moi-même un pouvoir extraordinaire. Cela s'appelle un "détecteur de conneries" et il me permet de repérer notamment les séries "réchauffées" à 1000 lieues à la ronde et de les abattre.

    Slate

    Pensée pour plaire aux amateurs éclairés de comics et aux rêveurs occasionnels, Alphas avance avec une relative sobriété qui pourrait s'avérer séduisante pour certains ou simplement repoussante pour d'autres. S'il existe encore un cercle de fans de cet univers aux Etats-Uni, la série pourrait avoir suffisamment de charme pour leur faire passer l'été.

    New York Times

    e plus appréciable dans ce pilote est la performance de Ryan Cartwright, lequel reproduit plus ou moins son personnage névrotique du stagiaire Nigel Murray dans Bones. Dans la peau de cet autiste aux pouvoirs électromagnétiques fantastiques, il a droit aux meilleures répliques et les délivre parfaitement. Strathairn est bien entendu lui aussi amusant à suivre dans un rôle, pour lui, beaucoup moins solennel que d'habitude. Pour en revenir au pilote, dont l'intrigue tourne autour d'un mystérieux tireur et d'une conspiration menée contre les Alphas, c'est de la routine. Il ne contient rien de bien original, ici ou là, met finalement peu l'accent sur l'aspect purement "sci-fi" et a du mal à convaincre dans sa dimension de "drame à multiples personnages". Cela ressemble davantage à une version "beta" du show.

    San Francisco Chronicle

    Le premier épisode voit ces nouveaux héros essayer de résoudre un mystère autour du meurtre d'un prisonnier, assassiné d'une balle dans la tête alors qu'il se trouvait au beau milieu d'une cellule, fermée, et sans armes. Bien sûr, la solution étire parfois les règles de la crédibilité, mais la série est suffisamment efficace et inventive, et l'épisode donne le ton pour cette première saison de 12 épisodes (...) Néanmoins, si leur excentricité est à l'origine attirante, l'effet est fragile et pourrait s'épuiser rapidement si les intrigues ne gagnent pas rapidement en qualité.

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