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Note moyenne
4,1
1503 notes
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Votre avis sur Justified ?
5
39 critiques
4
67 critiques
3
19 critiques
2
11 critiques
1
4 critiques
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Cette série est tirée du roman d’Elmore Léonard « Fire in the Hole ». C’est Graham Yost & Timothy Olyphant qui y sont aux commandes.
D’ailleurs, Tim Olyphant, y incarne le rôle de Raylan Givens, célèbre Marshall de son état. Après une bavure avec un caïd de la pègre, il est muté dans le comté de Harlan, sa ville natale. Lui qui s’était juré de ne jamais revenir, le destin en a décidé autrement.
Tel est le lot dans la vie de Raylan : des collègues avec qui il ne s’entend pas (excepté dans les saisons suivantes), des habitants qui sont en colère, et des relations conflictuelles avec son paternel Arlo – un malfrat (les scènes sont hilarantes où le père et le fils sont ensembles).
Voila ce que contient cette série : des malfrats en pagailles, de l’humour, de l’amour, de la fraternité, de l’amitié….
Donc Mesdames, Messieurs, Mesdemoiselles, a vos Santiags et vos Stetsons !!!
D’ailleurs, Tim Olyphant, y incarne le rôle de Raylan Givens, célèbre Marshall de son état. Après une bavure avec un caïd de la pègre, il est muté dans le comté de Harlan, sa ville natale. Lui qui s’était juré de ne jamais revenir, le destin en a décidé autrement.
Tel est le lot dans la vie de Raylan : des collègues avec qui il ne s’entend pas (excepté dans les saisons suivantes), des habitants qui sont en colère, et des relations conflictuelles avec son paternel Arlo – un malfrat (les scènes sont hilarantes où le père et le fils sont ensembles).
Voila ce que contient cette série : des malfrats en pagailles, de l’humour, de l’amour, de la fraternité, de l’amitié….
Donc Mesdames, Messieurs, Mesdemoiselles, a vos Santiags et vos Stetsons !!!
Timothy Olyphant est né avec la classe... c'est comme ça, on y peut rien... Des personnages attachants, de l'action, une ambiance de western moderne !
En general, j'aime bien le jeux de Timothy Olyphant (Die Hard, The Crazies), mais la, je suis vraiment deçu. Je me suis arreté à la fin de la saison 1, et on peu dire que j'ai su tenir longtemps (esperant que ca s'ameliore). 'Justified' n'est pas une bonne série: sa flingue dans tout les sens pour un rien (on se croirait dans le Texas des années 80 tellement le sport national est de se tirer dessus), c'est prévisible, les personnages de la série sont niés et le scénario est vraiment basique de chez basique. Chaque épisodes se ressemble, et c'est clair que l'originalité semble absente... Ce sera sans moi!
Cette série c'est de l'Or, des répliques qui font rire, un scénario qui tient la route, surtout dans un environnement qu'on connait très peu, de vue dans les séries ou les films, on es au Kansas en pleine campagne, on y découvre une Amérique totalement différente de la Ville, l'effet country a son charme, on s'attache tout de suite au Marshall Reylan Givens, le roi de la gachette! tout le monde aimerait être lui! il plait aux femmes, il a le sens de l'humour, se sort de toute les galères possible, il fait face comme un dur! je vous en dirai pas plus, si vous cherchez une série que vous voulez absolument aimer, vous prendrez aucun risque avec celle ci, cela va sans dire :)
Plus les épisodes avancent, plus les scénarios deviennent transparents... Dommage, car tout commence sur les châpeaux de roue....
Excellente série, qui ne plairas pas au personne incapable de suivre plusieurs intrigue à la fois
Justified n'a pas la prétention d'être une grande série mais ça commence plutôt pas mal avec comme personnage principal un US Marshal relativement charismatique et un scénario potable... qui trouve son dénouement dès le 1er épisode ! Chaque épisode suivant exploite une histoire différente, sans aucun lien avec les précédentes... hé oui c'est un bon vieux téléfilm ! Bref sachant cela je n'ai pas continué bien loin car je commençais à trouver le temps long dès le 3ème épisode...
Sans doute l'une des meilleurs série !
Le charisme, la crédibilité et la classe de Timothy Olyphant y sont pour beaucoup mais aussi les dialogue toujours à la frontière de l'humour et du sérieux ainsi que le Kentucky qui donne à la série sont unicité.
Le charisme, la crédibilité et la classe de Timothy Olyphant y sont pour beaucoup mais aussi les dialogue toujours à la frontière de l'humour et du sérieux ainsi que le Kentucky qui donne à la série sont unicité.
Le passage de la saison 1 à la saison 2 de Justified avait été plutôt bien amené, avec l’arrêt du procedural et une enquête sur plusieurs épisodes, de manière très efficace. Qu’en était-il de la saison 3 ?
Reprenant là où l’histoire s’était arrêtée, Graham Yost et ses scénaristes rajoutent deux nouveaux bad guys, très charismatiques, et des nouveaux arcs scénaristiques plutôt efficaces, grâce aux sbires des deux nouveaux (on ressortira Demetrius Grosse, excellente raclure qui trahit à peu près tout le monde) et surtout à Neal McDonough, impeccable en accro à l’oxycodone, homosexuel déviant. Cela permet aussi à Jere Burns de devenir un peu plus important et ça complexifie un récit qui n’en avait pas forcément besoin, mais qui y gagne. La petite déception est alors le fait qu’on perde un peu le côté US Marshals, avec les personnages de Jacob Pitts, Erica Tazel et Nick Searcy qui perdent pas mal d’importance. On notera quelques épisodes exceptionnels, comme le 3x04, le 3x05 et le 3x13, qui finit dans une explosion de violence nécessaire et inévitable.
Justified continue son petit bonhomme de chemin et s’installe réellement comme une des meilleures séries du moment. Et Elmore Leonard l’a adoubé en écrivant un épisode cette saison.
Reprenant là où l’histoire s’était arrêtée, Graham Yost et ses scénaristes rajoutent deux nouveaux bad guys, très charismatiques, et des nouveaux arcs scénaristiques plutôt efficaces, grâce aux sbires des deux nouveaux (on ressortira Demetrius Grosse, excellente raclure qui trahit à peu près tout le monde) et surtout à Neal McDonough, impeccable en accro à l’oxycodone, homosexuel déviant. Cela permet aussi à Jere Burns de devenir un peu plus important et ça complexifie un récit qui n’en avait pas forcément besoin, mais qui y gagne. La petite déception est alors le fait qu’on perde un peu le côté US Marshals, avec les personnages de Jacob Pitts, Erica Tazel et Nick Searcy qui perdent pas mal d’importance. On notera quelques épisodes exceptionnels, comme le 3x04, le 3x05 et le 3x13, qui finit dans une explosion de violence nécessaire et inévitable.
Justified continue son petit bonhomme de chemin et s’installe réellement comme une des meilleures séries du moment. Et Elmore Leonard l’a adoubé en écrivant un épisode cette saison.
une serie tres bonne qui change des serie tv policier , avec un timothy olyphant en exelente forme , les dialogue sont tres bon , mais je suis sur qu'avec un petit peux plus de finesse dans les bad guys on aurait une exelente serie . Et remet ma critique à jours a partir de la saison 3 c'est jouissif
une bonne série, du moins dans ses deux premières saisons, ensuite elle souffre du même syndrome que beaucoup d'autres séries, à savoir une très sensible baisse de qualité
L'ancien Shériff de DeadWood, s'est muté en marshall ,muté dans son Kentucky natal .
Remplie d'humour , de fusillades au gré des enquètes quotidiennes du marshall Givens , cette série soulève aussi les histoires familiales passées des principaux personnages tout au long des 2 eres saisons (pas vu la suite ) .
Le décor et le contexte du Kentucky amène un charme à cette série sans prétention mais qui mérite d etre vue , notamment par la présence de plusieurs guest assez en vue .
Remplie d'humour , de fusillades au gré des enquètes quotidiennes du marshall Givens , cette série soulève aussi les histoires familiales passées des principaux personnages tout au long des 2 eres saisons (pas vu la suite ) .
Le décor et le contexte du Kentucky amène un charme à cette série sans prétention mais qui mérite d etre vue , notamment par la présence de plusieurs guest assez en vue .
J'aime bien Timothy Olyphant, donc j'ai jeté un coup d'oeil à cette série que je voulais voir depuis un moment. Le résultat est très bon pour une série du câble. Les intrigues principales et secondaires sont très bien travaillées et on a envie de les suivre.
Le cas de Justified est assez passionnant à expliquer : comment une série aussi réussie dans ses trois premières saisons a pu perdre autant d’intérêt avec pourtant les mêmes scénaristes ?
Après une quatrième saison plutôt fatigante car dominée par une intrigue peu intéressante, la cinquième saison de Justified se perd dans une intrigue complètement déconstruite, avec une tonne de guests stars prestigieuses venue faire un ou deux épisodes sans réelle continuité (David Koechner, Edi Gathegi, Eric Roberts) et d'autres qui ne servent pas vraiment à grand-chose comme les frères Harris. Avec tout ça, le spectateur est un peu perdu et seules quelques storylines plutôt bien gérées comme celle de Joelle Carter sont vraiment passionnantes. Raylan Givens et tout le bureau des Marshall est encore relégué au second plan, tout comme Boyd Crowder, ce qui est particulièrement agaçant compte tenu de la qualité des personnages qu’on a pu découvrir depuis 4 ans. Il en reste que le style Justified est toujours là, avec des dialogues décalés et des situations improbables, symbolisées par le personnage joué par A.J. Buckley, bien loin de son image des Experts et parfait ici.
Justified commet un nouvel écart et le souvenir de l’excellente saison 2 est maintenant bien lointain. Il faudrait se reconcentrer sur l’essentiel du show pour réussir une sixième saison qui serait la dernière.
Après une quatrième saison plutôt fatigante car dominée par une intrigue peu intéressante, la cinquième saison de Justified se perd dans une intrigue complètement déconstruite, avec une tonne de guests stars prestigieuses venue faire un ou deux épisodes sans réelle continuité (David Koechner, Edi Gathegi, Eric Roberts) et d'autres qui ne servent pas vraiment à grand-chose comme les frères Harris. Avec tout ça, le spectateur est un peu perdu et seules quelques storylines plutôt bien gérées comme celle de Joelle Carter sont vraiment passionnantes. Raylan Givens et tout le bureau des Marshall est encore relégué au second plan, tout comme Boyd Crowder, ce qui est particulièrement agaçant compte tenu de la qualité des personnages qu’on a pu découvrir depuis 4 ans. Il en reste que le style Justified est toujours là, avec des dialogues décalés et des situations improbables, symbolisées par le personnage joué par A.J. Buckley, bien loin de son image des Experts et parfait ici.
Justified commet un nouvel écart et le souvenir de l’excellente saison 2 est maintenant bien lointain. Il faudrait se reconcentrer sur l’essentiel du show pour réussir une sixième saison qui serait la dernière.
Un cowboy en héros. Des situations abérante et un acteur principal agaçant au possible. C'est vraiment pas terrible en dépit d'une bonne gestion du rythme.