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Caine78
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Critique de la saison 3
4,0
Publiée le 28 mai 2015
La deuxième saison avait placé la barre incroyablement haut, et pourtant j'étais presque persuadé que ce troisième volet saurait largement être à la hauteur des attentes. Je ne me suis pas réellement trompé : aussi sombre que luxueuse, aussi violente que passionnante, peuplée de figures charismatiques et intrigantes, « Game of Thrones » continue de nous livrer un univers foisonnant oscillant avec toujours autant d'habileté entre réalisme et héroïc fantasy, le tout avec un soin dans l'écriture et la réalisation dont peu de séries peuvent se targuer. Seul léger regret : un nombre de personnages devenant vraiment très important, laissant parfois trop de place à certaines sous-intrigues et ralentissant en conséquent les récits plus importants. M'enfin, il y a tellement de talent, de passion et de scènes marquantes qu'on lui en tient peu rigueur, confirmant au passage le statut tout à fait exceptionnel de la série aujourd'hui. Et dire que la quatrième passe pour être encore meilleure...
Qui dit « série événement » peut souvent vouloir dire « déception » tant l'attente est grande et en conséquent le résultat un peu en-deçà des espérances. Nul problème de ce genre avec « Game of Thrones », imposant le respect dès les premiers instants et se regardant passionnément jusqu'à la dernière minute, et ce pour de nombreuses raisons. L'important budget savamment exploité dans les décors et costumes bien sûr, mais surtout une histoire captivante de bout en bout, où l'on ne se perd jamais malgré un nombre impressionnant de protagonistes, tous remarquablement dessinés d'ailleurs. C'est d'ailleurs aussi cela l'une des grandes forces de cette première saison : on a beau savoir qui est du bon et du mauvais côté, les choses sont loin d'être aussi simples, et difficile de savoir à qui l'on peut se fier devant ce festival d'arrivistes et d'ambitieux aux intentions souvent moins nobles les unes que les autres. Pourtant, difficile de ne pas se sentir constamment fasciné, le scénario alternant brillamment enjeux cruciaux et moments de pause particulièrement réussis, à l'instar de nombreuses scènes intégrant le saisissant Tyrion Lannister, remarquablement interprété par Peter Dinklage. Mais on pourrait à ce titre citer quasiment l'intégralité des personnages, des principaux aux plus secondaires, jamais sacrifiés. Bref, une série qui a tout pour plaire, de sa savante complexité à son univers infiniment riche en passant par des héros et des scènes nous restant longuement en mémoire : indispensable.
C'est vrai, j'ai trouvé le redémarrage comme toujours un peu laborieux. C'est vrai, cette profusion toujours aussi importante de personnages ne prête pas vraiment à la lisibilité. C'est vrai, je trouve que l'évolution du récit reste quand même un peu lente... Toujours est-il que cette quatrième saison reste d'une subtilité et d'une intensité rarement égalée, visuellement splendide et montant en puissance au fil des épisodes pour atteindre un niveau assez vertigineux sur les trois derniers, notre plaisir à suivre ces aventures volontiers épiques restant très grand du début à la fin. On est d'ailleurs gâté en scènes inoubliables spoiler: (la plaidoirie déchirante de Tyrion, Khaleesi enfermant ses dragons, l'affrontement Oberyn Martell - Gregor Clegane et son dénouement, insoutenable, sans oublier celui entre Le Limier et Brienne de Torth, d'une rare bestialité) et en événements nombreux spoiler: (la trahison de Jorah, la victoire de la Garde de Nuit sur les sauvageons et surtout la mort de nombreux personnages clefs (Joffrey (EN-FIN!!), Shae, Tywin Lannister et très probablement Sandor Clegane) , si bien que malgré les réticences de départ, j'ai fini par être subjugué par ce voyage n'ayant pas son pareil pour nous donner inexorablement envie de découvrir le prochain volet... Non, décidément, impossible de décrocher à cet univers unique dans l'Histoire de la télévision : la suite, vite !
La première saison était superbe : la seconde l'est encore plus. S'il faut quelques instants pour se replonger dans cet univers très sombre et violent, la passion reprend vite le dessus, et c'est évidemment un régal. Car si on retrouve les mêmes immenses qualités que précédemment, c'est encore plus beau, plus riche, plus captivant... Le secret est d'ailleurs là : parvenir à encore élever le niveau de la série sans jamais vouloir en faire trop, notamment à travers des moyens pourtant encore plus grands. Il aurait été pourtant facile de se perdre dans cette impressionnante galerie de personnages, mais tous sont tellement captivants, chacun représentant des enjeux constamment essentiels que l'on voudrait que chaque histoire dure une heure entière. Ainsi on perd quelques figures pour en découvrir de nouvelles, toutes aussi fascinantes que les précédentes, quitte à être particulièrement négatives... Et puis ces plans, ces stratégies, ces luttes de pouvoirs complexes voire terrifiantes où le mensonge, la manipulation et la trahison sont les maîtres-mots font froid dans le dos par leur réalisme, représentation impitoyable mais ô combien lucide de la nature humaine. Le tout dans des décors nous vendant du rêve comme peu d'œuvres sont capables de le faire aujourd'hui, sans oublier une impressionnante bataille (la première après 19 épisodes!), moment majeur d'une série qui l'est pourtant déjà à bien des égards... Bref, c'est grand, c'est puissant, c'est majestueux, c'est magistral : c'est le deuxième volet de « Game of Thrones » !
J'ai longuement hésité entre cette note et celle supérieure, et si j'ai choisi celle-ci, c'est en définitive plus pour noter une légère baisse de qualité que pour réellement « sanctionner » ce cinquième volet. Parce que bon, « Game of Thrones », ça reste quand même « Game of Thrones » : une série somptueuse visuellement, épique à souhait, avec toujours son lot de scènes marquantes et une violence peut-être encore plus exacerbée ici, des personnages devenus quasiment des « proches »... Vraiment, il serait dommage de passer à côté. Cela dit, que ce soit certaines sous-intrigues un peu fumeuses ou ne m'ayant tout simplement pas intéressé plus que ça, ou encore le sentiment que l'intrigue n'a en définitive pas énormément avancé vis-à-vis de la saison 4 qui m'ont parfois frustré et ne m'ont pas permis de ressentir autant de plaisir que précédemment. Qu'à cela ne tienne : rien que pour quelques moments spoiler: (l'affrontement entre les fidèles de Khaleesi et les Fils de la Harpie, le bannissement de Cersei, les moments intégrant Jonathan Pryce, le sacrifice (in)humain de Myrcella Baratheon, l'après-mariage de Ramsay et Sansa, entre autres) , cette saison justifie amplement son visionnage et contribue, même plus modestement, au statut de série culte qu'elle a forgé depuis maintenant plusieurs années : à bon entendeur...
Soyons clairs : si je ne mets « que » trois étoiles à cette sixième saison, c'est pour mettre en perspective l'excellence qu'avait pu être « Game of Thrones » à ses débuts : tout simplement une série exceptionnelle, tellement spectaculaire, tellement complexe, tellement intelligente et lucide sur la nature humaine... Une référence absolue. Cela fait maintenant deux saisons (minimum) que c'est moins le cas. Peut-être un léger sentiment de lassitude, un effet de surprise logiquement estompé, mais aussi une volonté des créateurs d'être plus « grand public », en tout cas plus consensuel. Alors que l'œuvre était capable précédemment d'être parfois d'une cruauté, d'une audace dans ses choix narratifs l'éloignant fortement des canons hollywoodiens, ce volet cède à plusieurs reprises à la facilité spoiler: (Jon Snow revenu d'outre-tombe... vraiment?) , épargnant ainsi nombre de personnages vouées à la mort. On a un sentiment de laisser-aller par moments, de ne plus chercher d'astuces ou de plans complexes pour parvenir à ses fins (spoiler: l'impressionnante explosion du Temple et la disparition brutale de plusieurs protagonistes importants en est un des meilleurs exemples) : on va (un peu trop) à l'essentiel et le récit y perd parfois en densité dramatique. Mais « Game of Thrones » reste « Game of Thrones » : une série superbement réalisée, aux images souvent inoubliables et à l'univers aussi ample que riche, comme en témoigne ce générique et cette musique dont on ne se lassera décidément jamais. Mieux : la disparition de plusieurs héros permet de resserrer l'intrigue et de se concentrer sur les événements les plus importants, avec au passage quelques surprises spoiler: (la « résurrection » de Sandor Clegane) et plusieurs scènes épiques, la plus intense restant évidemment l'affrontement entre spoiler: l'armée de Snow et celle de Ramsay Bolton, le destin particulièrement funeste de ce dernier ne pouvant que nous faire hurler de joie . Le plaisir est là, l'émotion souvent aussi, et si les scénaristes ne sont pas au sommet de leur forme (le fait que cette saison soit la première écrite sans le support des romans de George R.R. Martin aurait-il un rapport direct?), plusieurs moments forts sont au rendez-vous, notamment le récit touchant Arya, nettement plus réussi que dans le précédent volet. L'âge d'or de la série est certainement passé : reste que cette dernière a peu de rivaux en matière de maestria visuel et d'enjeux dramatiques forts : malgré une structure moins subtile, cet antépénultième volet demeure de bonne tenue.
Ah, « Game Of Thrones »... Est-il vraiment utile de présenter ce monument de la télévision, ayant pris fin récemment avec une conclusion n'ayant pas satisfait tout le monde (euphémisme) ? En attendant, c'est de la septième saison dont il est question ici et en ce qui me concerne, la réussite est quasi-totale. Que ce soit ce sens du « romanesque épique » toujours aussi impressionnant, ce visuel incroyable ou la puissance des enjeux, très centrés sur la stratégie, notamment militaire, à adopter, difficile de résister au souffle nous emportant régulièrement, parvenant sans doute encore plus que dans le précédent volet à trouver l'équilibre entre spectacle total et réflexion souvent passionnante sur le pouvoir, la complexité des relations humaines (amis ou ennemis), incarnées notamment par le « jeu » des alliances pour espérer triompher. Le tout à coup de scènes inoubliables : je pense évidemment à l'impressionnante spoiler: attaque initiée par Daenerys Targaryen et surtout la mort de son dragon, particulièrement intense, le presque aussi impressionnant affrontement face aux Marcheurs (pas de blague politique, aussi tentante soit-elle, merci) sur la glace ou la conclusion et la destruction en un quasi-claquement de doigts du fameux mur ... Certes, il y a beaucoup de personnages, et sur la fin, on n'échappe pas à quelques grosses facilités spoiler: (Jon Snow sauvé de nulle part par son oncle qui traînait dans le coin, la découverte de ses origines de futur héritier) m'empêchant d'être encore plus extatique, mais l'essentiel est ailleurs : « Game Of Thrones » confirme une fois de plus son statut de mythe télévisuel, dont le seul réel regret sera sans doute de ne pas avoir découvert ces dizaines d'heures dans les salles obscures... Et en attendant de vous donner mon humble avis sur le dénouement, profitons pleinement de cette nouvelle magnifique réussite : winter is arrived ? Qu'importe, le royaume de Westeros reste toujours aussi grandiose.
Une très grande série avec un univers riche et des personnages passionnants joués avec d'excellents acteurs, cette 1ère saison est une sorte de présentation mais on entre de suite dans ce monde fabuleux mais cruel. Le Trône de fer est une série de grande qualité qui bénéficie d'un budget important, tout est réussi dedans (sauf peut-être un abus de sexe et de nudité qui ne semble pas toujours justifié), j'attends avec impatience la suite même si Sean Bean manquera dans les saisons suivantes.
Cette 3ème saison a enthousiasmé beaucoup de monde mais je dois vous avouer que personnellement elle m'a légèrement moins plu que les 2 premières saisons (j'ai même trouvé quelques passages un peu longuet). J'ai trouvé cette saison souvent trop bavarde et l'intrigue est trop étirée, elle aurait pu tenir sur 8 voire 7 épisodes mais après Game of Thrones reste toute de même une série de grande qualité passionnante à suivre, ses personnages sont toujours bien décrits et merveilleusement interprété (on reconnaît le grand jeu des comédiens Britanniques) ; ce qui fait que je me jetterais sur la prochaine saison (mais en espérant moins de verbiage et un rythme plus soutenu).
Regarder Games of thrones est une expérience unique ! Commencé le matin, juste pour voir à quoi ça ressemblait, j'ai passé ma journée à regarder la série, c'est magique, on est complètement scotché, c'est une drogue, on veut la suite. La réalisation est collective, sans génie mais plus que correcte. L'une des idées fortes de la série est de jouer avec le faux échiquier politique comme dans la vraie vie, on ne sait jamais qui va tomber, qui va le faire tomber… ce qui fait que le suspense reste omniprésent. La direction d’acteurs est très bonne : notons une très belle méchante (Lena Headey), une reine blonde (Emilia Clarke) complètement allumée mais badass, un roitelet tête à claques et pas mal d'autre personnages haut en couleur dont le nain Peter Dinklage qui nous livre une prestation exceptionnelle, ainsi que quelques créatures de rêves qui quoiqu'en dise les pisse vinaigre participent joliment à l'ambiance. Jolie musique, générique de folie… Le seul défaut intrinsèque au format est une propension au bavardage, mais on pardonne aisément
Il y a un critère qui démontre que cette saison spoiler: démarre très ma l, c'est que contrairement à ce qui se passait jusqu'alors, on n'est plus pressé de savoir la suite.spoiler: L'histoire s'encombre de sous-intrigue, de personnages sortis de nulle part, on fait revivre les morts (une erreur récurrente dans les sagas) Quant à Arya Stark, je ne voudrais pas être méchant mais plus elle grandit moins ça va, et on ne comprend pas grand-chose à son rôle. Ajoutons qu'il faut se farcir spoiler: Max Von Sidow aussi expressif qu'une sardine et que les six premières épisodes sont réalisés sans génie. Heureusement les quatre derniers épisodes relèvent considérablement le niveau avec la spoiler: bataille des dragons et la bataille de Winterfell, une fin de saison grandiose.
Regarder Games of thrones est une expérience unique ! Commencé le matin, juste pour voir à quoi ça ressemblait, j'ai passé ma journée à regarder lat série, c'est magique, on est complètement scotché, c'est une drogue, on veut la suite. La réalisation est collective, sans génie mais plus que correcte. L'une des idées fortes de la série est de jouer avec le faux échiquier politique comme dans la vraie vie, on ne sait jamais qui va tomber, qui va le faire tomber… ce qui fait que le suspense reste omniprésent. La direction d'acteurs est très bonne : notons une très belle méchante (Lena Headey), une reine blonde (Emilia Clarke) complètement allumée mais badass, un roitelet tête à claques et pas mal d'autre personnages haut en couleur dont le nain Peter Dinklage qui nous livre une prestation exceptionnelle, ainsi que quelques créatures de rêves qui quoiqu'en dise les pisse vinaigre participent joliment à l'ambiance. Jolie musique, générique de folie… Le seul défaut intrinsèque au format est une propension au bavardage, mais on pardonne aisément
On sent la fatigue et il y a beaucoup de blabla, mais aussi de forts belles images et une jolie scène d'amour spoiler: dans le premier épisode entre Missandei et le chef des immaculés. C'est dans lspoiler: e 7ème épisode que ça se barre en sucette : manifestement, les auteurs ne savent plus comment faire évoluer leur personnages et ont la très mauvaise idée d'inventer une facilité de scénario débile pour alimenter, supposons-nous, la saison suivante.
Vous connaissez l'histoire de "L'Arroseur arrosé"...ben c'est un peu la mienne avec cette série. J'avoue, je le confesse, je ne pouvais pas m'empêcher de me moquer (gentiment bien sûr !!!) des fans complètement addicts à cette série. Résultat à peine après m'être enfin décidé à regarder le premier épisode, je me surprends à battre des records de vitesse pour visionner le plus vite les quatre saisons déjà existantes. Comment ça bien fait ??? Bon je croyais pas que ça allait autant me plaire parce que je ne suis pas super-fan du genre fantasy. Mais j'avais oublié le fait que "Game of Thrones" c'est aussi une lutte pour le Pouvoir avec son lot d'intrigues où tous les coups, même les plus tordus, surtout les plus tordus, sont permis, sur des scénarios qu'aurait pu écrire Machiavel, de nombreux rebondissements spoiler: (c'était culotté de faire passer de vie à trépas le personnage principal dès la première saison, même si on sentait qu'il allait pas faire de vieux os !!!) avec à la clé un cliffhanger à la fin de chaque épisode qui pousse à vouloir très rapidement (c'est-à-dire tout de suite !!!) visionner le suivant ; le tout avec des scènes de meurtres, de tortures bien violentes, du sexe, de l'inceste, etc, etc... Et bien sûr il y a les personnages, des personnages très forts joués par des acteurs très forts. Mes préférés : Tyrion Lannister évidemment (Peter Dinklage génial !!!), Daenerys Targaryen (Emilia Clarke, trop sexy !!!), Arya Stark, et dans le genre méchant qu'on adore détester, le roi Joffrey, véritable petit Caligula qu'on ne rêve que de voir mourir dans d'atroces souffrances. Une saison 1 qui donne envie de se plonger tout de suite dans la seconde (enfin la deuxième saison est presque terminée, je l'aurais déjà même terminée sans quelques problèmes de connexion !!!)...
On délaisse un peu les scènes de sexe mais par contre on se focalise encore plus sur les personnages en continuant de les creuser, n'en faisant s'affronter véritablement de manière belliciste que lors du neuvième épisode avec une séquence excellente de bataille, qui est sans conteste le point d'orgue de cette deuxième saison. Autrement on est heureux de voir l'apparition d'un personnage féminin très piquant et sexy (Rose Leslie qui ne laisse pas insensible !!!), Ygrid la sauvageonne, dans la partie du Mur et au-delà, qui met un peu de peps dans un cadre qui se distinguait jusqu'ici uniquement que par son côté sinistre. On serre les fesses pour Tyrion Lannister constamment placé dans des situations à haut risque (oui, plus que la moyenne des autres personnages, ce qui n'est pas un mince exploit puisque dans cette série l'espérance de vie est assez hasardeuse !!!) même si on sait qu'il fait partie des "intouchables". On angoisse aussi pour Arya Stark, une épée de Damoclès au-dessus de la tête qui ne manque pas d'ironie. On est fasciné par la capacité de Daenerys Targaryen à s'en sortir constamment avec trois pelés et un tondu ainsi que trois bébés dragons. Et puis on hait toujours autant ce cher roi Joffrey. Bref, il y a très largement de quoi rendre cette saison 2 aussi captivante que la première saison.