ALIAS était l'une des séries phares des années 2000. Les 3 premières saisons étaient satisfaisantes, les 2 dernières un peu moins malgré un final touchant. Le point fort de la série ? Les déguisements que porte la charmante Jennifer Garner ainsi que les actions qui les accompagnent lors des diverses missions.
Cette série est formidable! Biensûr, ce n'est pas une série qu'on peut regarder quand ça nous chante, car chaque épisode contient des réponses à des mystères parsemés dans toute la série. Je tiens à féliciter le créateur de la série (J.J Abrams) dont j'adore le travail, pour ce final explosif et fabuleux de la saison 4! Je dirais même que c'est le plus beau "final season" de toutes les séries! Donc bravo J.J Abrams et merci pour cette série formidable, qui je le souhaite durera encore longtemps. (En plus la France est représentée dans la saison 5 avec Elodie Bouchez).
Cette série est absolument géniale, tout au long de la série les réalisateurs ont réussis à nous garder en haleine avec un suspens extraordinaire. De plus les acteurs jouent trés bien!!!
Excellente série d'espionnage mitonnée de mythologie à la Da Vinci code. Les acteurs sont parfaits, mention particulière à Sloane excellent d'ambiguité. De l'action, des rebondissements, de l'émotion, tout pour en faire un très bon divertisssement. Franchement, même si tout n'est pas parfait, cette série est à recommander.
Une saison en 2 temps, d'abord Sydney cherche à comprendre ce qui lui est arrivé en 2 ans de disparition et redécouvre les siens redistribués dans un jeu de chaises musicales assez improbable (Sloane en rédemption, Dixon aux commandes, Vaughn recasé malgré lui...) en parallèle d'une enquête poussive sur la mort de Lazaray. Puis les révélations convaincantes de Kendall relancent la machine à espionner sur les traces de Sark et de la Convention, le rythme s'intensifie et nous offrira une course poursuite bien tendue avec une taupe jusqu'au terme de la saison, marquée par un tournant familial pour Sydney maladroitement amené via des énigmes de Rambaldi bien trop brumeuses pour être crédibles.
Commençons pour une fois par la fin, qui passionne et surprend par l'ambition démesurée des scénaristes, et qui il faut bien l'avouer rattrape une saison par ailleurs assez moyenne. En effet, projeter à nouveau Sidney dans une agence secrète, avec les mêmes équipiers et Sloane comme chef, ça sent le réchauffé, et niveau cohérence scénaristique on a vu mieux... Suivent des missions plus ou moins crédibles, plus ou moins liées, jusqu'au retour des énigmes de Rambaldi remises sur le tapis par des méchantes de retour et décidément très sournoises! A noter que chacun aura aussi droit à son moment de gloire plus ou moins bien senti (Vaughn et son père, Jack et sa santé, Sloane et Sloane, Nadia et sa nounou...).
Un grand bravo aux scénaristes qui sont parvenus à donner du fonds à la trame principale et surtout de l'épaisseur à chaque personnage dans cette saison, et à introduire avec Derevko une méchante charismatique et ambivalente très réussie. La saison est découpée en 2 parties, une moitié maîtrisée où Sidney va découvrir des vérités sur son passé et apprendre à travailler "en famille", puis une autre plus décousue mais aussi plus rythmée dans laquelle la CIA reprend la main et nous emmène sur les traces de Sloane, Rambaldi et d'autres... Les intrigues sont mieux ficelées, le rythme ne faiblit pas et la fin est réussie, que demander de plus? Allez peut-être un peu moins de mièvrerie entre Sidney et Vaughn...
Prenante d'emblée grâce à un pilote rythmé et ingénieux, la trame espionnage / action développée tambour battant se suivra avec plaisir jusqu'au bout de la saison. Autour de la convaincante J. Garner, un casting de vieux briscards et de seconds rôles savoureux se prête avec talent au jeu des complots, des enquêtes et des missions au timing millimétré. Un habile double jeu se met progressivement en place et même si les ficelles sont parfois grosses ou si la "vie civile" de Sidney tout droit sortie de Friends peut faire sourire, la qualité du show ne faiblit pas sur la durée. Compétition inter-agences, mystères à résoudre (Rambaldi!) et agents doubles, Mission impossible semble tenir là un successeur de choix.
Une ultime saison assez déséquilibrée, "à cause" de la grossesse de J. Garner qui a obligé les scénaristes à adapter l'histoire (habilement) et à mettre en avant de nouveaux persos plus ou moins bien écrits (ok pour Rachel, mais Tom ne sert à rien). On démarre sur un climax dramatique qui va marquer la saison avant de repartir sur des missions calibrées à l'ancienne agrémentées de come-back assurant le fan service. Souci, la réduction du nombre d'épisodes a conduit à accélérer drastiquement la conclusion narrative, aux dépens de certains (Nadia!) et de la crédibilité d'un final pourtant bien imaginé, mais expédié. Le plaisir de vivre les dernières aventures rocambolesques de Sidney est bien là, et c'est l'essentiel.
c'est LA serie d'espionnage! il y a absoluement tt ce qu'il faut, de l'action, un peut de fantastique, de l'humour, des tragedies, et surtt une actrice capable de porter un personnage lourd sur ses epaules. de plus j'aime l'idee que la serie a été tournee comme un grand film de 5 saison, et pas une saison puis une autre... il y a un debut et il y a une fin, tout a une conclusion, ni plus ni moins! excellent!