Vanessa, une jeune femme à moitié nue sous son imperméable, débarque au commissariat. Bouleversée, elle est prise en charge par le lieutenant Marie Balaguère, qui écoute son histoire : la malheureuse a été kidnappée par un détraqué, qui lui a fait subir les pires sévices. Heureusement, elle a réussi à s'enfuir, échappant ainsi à une mort certaine... Le lendemain, Yves Nicosseriam est arrêté et interrogé par le procureur Elizabeth Brochène. Niant tout en bloc, il réclame son avocat. Peu après, Elizabeth visionne une cassette, attestant sans équivoque des penchants 'sado-maso' du suspect... Un inspecteur ne tarde pas à établir un lien entre cette enquête et l'affaire des dix adolescentes retrouvées mortes dans une forêt, après avoir subi les même sévices... Toutes fréquentaient le centre équestre de Nicosseriam à l'époque. Elizabeth décide alors d'entendre à nouveau le suspect, en présence de son avocat, Maître Gonsard, qui fréquente lui aussi le centre de Nicosseriam. Pendant ce temps, Marie va trouver le commissaire en charge de l'enquête sur les dix victimes retrouvées dans le bois, douze ans plus tôt
S02E02 - Un amour de jeunesse
Jean-François Sayan, un des professeurs du prestigieux lycée Charlemagne, est sauvagement assassiné durant le gala de l'école. Un meurtre que la substitut Elisabeth Brochène prend d'autant plus à coeur d'élucider que sa fille, Alice, fréquente l'établissement dont elle est elle-même ancienne élève. Courteviers, le proviseur du lycée, met rapidement les policiers sur la piste d'Eddie, un jeune au passé judiciaire chargé, renvoyé quelques jours plus tôt après une altercation avec la victime. La fuite du suspect renforce d'ailleurs la présomption de culpabilité pesant à son encontre. Tout en lançant une opération d'envergure pour retrouver le fugitif, les Femmes de loi s'immergent dans le milieu, professionnel et personnel, de Sayan
S02E03 - L'école du vice
Victor Brochard, surveillant de prison, est retrouvé mort dans un terrain vague. Le lieutenant Marie Balaguère se charge de l'enquête. Le directeur de l'établissement pénitencier dans lequel travaillait le défunt soupçonne fortement un ancien détenu, Moretti. Placé sous surveillance électronique, il vient d'être libéré. Lors de son séjour derrière les barreaux, il avait eu maille à partir avec Victor Brochard à plusieurs reprises. Si Marie Balaguère oriente ses recherches dans cette direction évidente, elle n'en explore pas moins d'autres pistes. Toutefois, pour les besoins de l'enquête, elle n'hésite pas à se faire admettre dans la prison sous les traits d'une infirmière...
S02E04 - Crime passionnel
Les femmes de loi sont chargées de l'enquête sur le meurtre d'Isabelle Reignier, séduisante trentenaire mariée à Bruno, architecte de renom. Les éléments recueillis par la police les orientent rapidement vers la thèse de l'homicide conjugal. Le couple Reignier vivait en effet, de notoriété publique, une passion tumultueuse ponctuée de violentes disputes et le caractère de Bruno - excessif et tourmenté - ne plaide guère en sa faveur.
S02E05 - A bout de force
Elisabeth Brochène, Substitut du Procureur, et Marie Balaguère, Lieutenant de Police à la Brigade Criminelle enquêtent toutes deux sur le meurtre d'une jeune femme, Lydia Leclerc. En remontant la piste de l'assassin, elles découvrent que celui-ci n'est autre que l'amant de Lydia et qu'il appartiendrait à la Brigade Criminelle, autrement dit un collègue de Marie. Au même moment, le quotidien de la Crime est quelque peu perturbé : un policier, Hervé Berg, porte plainte pour harcèlement moral contre son supérieur, le Lieutenant Louis Derval.
S02E06 - L'oeil de Cain
Simon, l'ex-mari d'Elisabeth, s'est acheté une maison dans une résidence de haut standing. Celle-ci est calme et a l'avantage d'être surveillée en permanence par des caméras de la société Proktat. Premier problème de taille : un vigile est retrouvé assassiné. Les enquêteurs découvrent que celui-ci était l'amant d'une des résidentes, Sylvia Bataille. Elisabeth mène l'enquête et constate que beaucoup de propriétaires ont quitté précipitamment leur logement...