Épisode faiblard pourtant adapté de Lovecraft. On reconnaît son univers, mais l'adaptation est désespérément plate. La mise en scène se veut mystérieuse et énigmatique mais c'est juste prévisible et ennuyeux, voire même à la limite du ridicule dans certaines scènes.
Master Of Horror Saison 1 Episode 5: Non non et non, mauvais, c'est pas de l'horreur ça. Foutage de gueule en puissance, cette série commence à me décevoir de plus en plus.
Master Of Horror Saison 1 Episode 3: Moui, la photographie est sympa, mais outre ça le scénario et les effets spéciaux sont foireux, moi qui voyait en Tobe Hooper un grand, je vais peut être reconsidérer mon jugement. Un épisode sans grand interêt.
Groupement de moyens-métrages de commande, "Masters of Horror" s’impose dès sa première saison comme un label assez fiable. Si l’on se référait à l’unique critère de l’horreur pure, la série apparaîtrait disparate. En effet s’y côtoient des œuvres relativement abordables pour une large audience ("Homecoming" par exemple) comme celles à réserver impérativement à un public extrêmement averti ("Imprint"). Probablement pour faciliter la vente des DVD sortis à un tarif prohibitif, Canal n’a diffusé que partiellement les saisons (15 épisodes sur 26). Je n’aborderai donc que ceux que j’ai vus… J’ai adoré l’ambiance instaurée par "Dreams in the witch-house" ("Le cauchemar de la sorcière"). Mise en scène par Stuart Gordon à qui l’on doit le premier "Reanimator", cette histoire sanglante et implacable figure parmi mes favorites. Les connaisseurs apprécieront que son protagoniste arbore un t-shirt de l’Université Miskatonic. "Pick me up" ("Serial auto-stoppeur") constitue un gentillet affrontement entre gens peu fréquentables. Pas extraordinaire mais amusant à suivre jusque dans son épilogue, ça m’a rappelé l’esprit de certains "Contes de la Crypte". Sans payer de mine, "La cave" (titre un peu nul) cache une histoire des plus solides et mérite des louanges ! La saison 2 vaut largement le détour avec quelques prises de position radicales qui font du bien : Carpenter démolit l’intégrisme catholique avec son "Pro-Life" tandis que Joe Dante exagère à peine l’inquiétant retour en arrière des mentalités en déclarant "La guerre des sexes". Guère intéressant, "Pelts" dénonce néanmoins l’ignoble commerce de fourrure. Cette saison s’ouvre avec l’incontournable et jouissif "Family" du vaillant John Landis. Tobe Hooper s’en sort nettement moins bien en dépeignant ses "Forces obscures". Sans démériter, "Mort clinique" peine à passer son message. Critiques spécifiques sur les fiches de "Vote ou crève", "Dance of the Dead", "Imprint", "Sick Girl","La Fin absolue du Monde" et "La Survivante".
Du vu et revu.. avec une histoire très bancale et un bout de critique pas abouti (sur l'euthanasie). Mais un maquillage très réussi , bien flippant. Dommage
Sympa , ambiance bien travaillée, image grisonnante avec des touches de couleurs, scènes gores plutôt bonnes. Mais assez lent à s'installer avec un rythme assez inégal et des acteurs pas très bons (à part le chat). A voir
Un Washington mangeur d'enfant fallait oser.. après cet épisode ne fait pas peur mais fait plutôt rire (sauf les vieux qui sont effrayants :s) et le scénario part un peut n'importe comment mais on ne lui en veut pas ça reste du 9 ème degré.
Un épisode sympathique mais qui n'est original que dans son sujet : la mort par fonte (de glace). Après ça reste très banal dans la réalisation et un peu long parfois mais ça vaut le coup d'œil.
Hommage à John Landis et diffusion de l'épisode qu'il a réalisé pour la série des Masters of Horror. Le résultat est inégal. En effet, sur un format 55 minutes, j'aurais pu m'attendre à de l'électrique efficacité mais finalement, il y a tellement longueur que l'épisode finit par en devenir ennuyeux. Dommage.
Des cinéastes qui, dans le fantastique et l'horreur, ont fait leurs preuves, ont marqué ces genres d'une empreinte indélébile et en ont fait ce qu'ils sont aujourd'hui. Des noms devenus, avec le temps ou avec un seul film, synonymes de frissons, de peur et de surnaturel à l'écran. Les noms de "vieux" maîtres allant sur leurs soixante ans ou de jeunes plutôt sur la trentaine. Tout ça dans des courts-métrages d'une heure. Un concept excellent!