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Uniquement la saison 4
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Note moyenne
4,2
210 notes
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stallonefan62
Une 4ème saison haletante, complètement folle et tellement addictive !! On ne s'ennuie pas une seconde durant toutes ses péripéties où le personnage de Jack Bauer est omniprésent et tellement efficace !! Merci Kiefer Sutherland pour donner vie à cet héros incroyable !!!
Un peu en dessous des 3 premières saisons pour moi dans le déroulé de l'histoire qui semble s'étendre plus artificiellement que précédemment. Mais ça fourmille toujours d'idées, comme la façon de réintroduire 3 des personnages majeurs des saisons précédentes.
Un scénario pauvre pour cette saison 4 et c'est normal si on persiste à utiliser le même suspense qui atteint dans cette Saison un niveau abracadabrant et qu'il fallait inventer n'importe quoi pour boucler les 24 épisodes.
Bon, c'est un accident de parcours normal.
Vivement la 5eme
Bon, c'est un accident de parcours normal.
Vivement la 5eme
Une 4ème saison moyenne à mon sens; même si on est toujours bluffé par les performances informatiques de la CAT et de celles de Chloé en particulier, par la pugnacité de Jack à défendre son pays au mépris des règles diplomatiques internationales
spoiler:
et ça va lui coûter très cher
, on est malgré tout emporté par le rythme incroyable propre à 24. On envisage avec crainte, le mandat d'un président qui s'avère être une vraie lopette, et on déplore la fin du précédent.
, on est malgré tout emporté par le rythme incroyable propre à 24. On envisage avec crainte, le mandat d'un président qui s'avère être une vraie lopette, et on déplore la fin du précédent.
4ème saison de la série culte " 24 heures chronos " . Pour cette 4ème saison Jack Bauer doit récupérer un système de forçage voler par des terroristes . Ce système de forçage pourrait permette aux terroristes de faire entrer en fusion toutes les centrales nucléaires du pays et de créer la plus grande catastrophe nucléaire de l'histoire qui causerait des millions de mort ...
une 4ème saison ou on ne s'ennuie pas une seconde car sa va a mille a l'heure il y a beaucoup d'action , de suspense et de rebondissement . Le bémol c'est que par moment sa devient un peu " too much " . certaines situations paraissent vraiment trop grosse et surealiste . Et Jack Bauer commence a se transformer en un terminator indestructible . Et le scénario est un peu trop basique . Des terroristes musulmans qui veulent détruire les États Unis car ils n'aiment pas les américains . Voilà sa s'arrête la . Il n'y a pas comme dans les saison précédentes ce côté puzzle ou on découvrait au fur et a mesure la vrai motivation des terroristes qui cachait un complot beaucoup plus grand qu'on soupçonnait même pas au départ ( comme dans la saison 2 ) . Et le côté attentat par arme nucléaire a un côté un peu redondant avec la saison 2 même si c'est traiter différemment ( bombe nucléaire pour la saison 2 et centrale nucléaire en fusion pour la saison 4 ) . Malgré tout ça on se laisse prendre au jeu de cette nouvelle saison qui nous divertit de bout en bout et c'est le principal . De nouveaux personnages font leur apparitions comme Audrey Raines jouer par Kim Raver la nouvelle petite amie de Jack Bauer et James Heller le père de Audrey incarner par William Devane . Une 4ème saison en dessous des précédentes a cause des défauts citer précédemment mais toujour très divertissante
une 4ème saison ou on ne s'ennuie pas une seconde car sa va a mille a l'heure il y a beaucoup d'action , de suspense et de rebondissement . Le bémol c'est que par moment sa devient un peu " too much " . certaines situations paraissent vraiment trop grosse et surealiste . Et Jack Bauer commence a se transformer en un terminator indestructible . Et le scénario est un peu trop basique . Des terroristes musulmans qui veulent détruire les États Unis car ils n'aiment pas les américains . Voilà sa s'arrête la . Il n'y a pas comme dans les saison précédentes ce côté puzzle ou on découvrait au fur et a mesure la vrai motivation des terroristes qui cachait un complot beaucoup plus grand qu'on soupçonnait même pas au départ ( comme dans la saison 2 ) . Et le côté attentat par arme nucléaire a un côté un peu redondant avec la saison 2 même si c'est traiter différemment ( bombe nucléaire pour la saison 2 et centrale nucléaire en fusion pour la saison 4 ) . Malgré tout ça on se laisse prendre au jeu de cette nouvelle saison qui nous divertit de bout en bout et c'est le principal . De nouveaux personnages font leur apparitions comme Audrey Raines jouer par Kim Raver la nouvelle petite amie de Jack Bauer et James Heller le père de Audrey incarner par William Devane . Une 4ème saison en dessous des précédentes a cause des défauts citer précédemment mais toujour très divertissante
La meilleure saison par rapport aux 3 premiers. L'arrivée de Kim Raver dans la série est très bien. Il y a beaucoup de suspens, bien plus que les trois premières saisons. Les péripéties s'enchaînent très vite, on passe très vite d'un sujet à l'autre. C'est excellent dans l'ensemble.
La recette 24 commence par se faire pauvre. Si la saison 3 a brillé par son suspense et le côté dramatique sans précédant, ce Jour 4 s'essouffle. Cette saison ne fait que réchauffer la soupe. L'impression de déjà-vu est flagrante: des traitres, une bombe, des terroristes : il n'y a plus vraiment de surprise, et on patiente jusqu'à ce que Jack sauve le monde. Heureusement que quelque bons rebondissement et inattendus sauve la série de l'étiquette "recyclage commercial"
Caine78
La saison de trop ? Et bien toujours pas ! Pourtant, toujours des terroristes et même cette fois d'affreux chinois, mais on s'en moque tant on retrouve cet univers si particulier qui caractérise « 24 heures chrono », avec des personnages peut-être même plus développés, l'intrigue s'appuyant ici pas mal sur les relations houleuses entre Jack Bauer et les responsables de la CTU. Cela n'en est pas moins toujours aussi bougrement efficace et plaisant, Joel Surnow et Robert Cochran ayant su renouveler comme il le fallait les personnages, sans oublier les rebondissements parfois invraisemblables mais salutaires, d'autant que le récit reste lui aussi incroyablement dynamique. Si bien que malgré (peut-être) un léger essoufflement pour la première fois, cette trépidante série continue à nous faire forte impression tout en nous procurant un plaisir intense : il n'y a pas tant que cela qui peuvent s'en vanter au bout de quatre saisons...
Beaucoup moins réussi, cette saison 4 est assez décevante. L'histoire est trop conventionnelle. J'ai stoppé la saison à sa moitié.
Si on s'attendait à de nombreuse réponse au vue de la fin de la saison précédente, on peut dire que le début de cette quatrième saison n'y répond pas forcement, préférant orienter l'histoire sur les nouvelles aventures de Jack. Les scénaristes se sont vraiment fait plaisir avec d'énormes surprises durant certains épisodes, et des personnages toujours aussi bien travaillés et malmenés dans leurs choix jusqu'au twist généralissime. Cela fait de cette saison (à mes yeux pour l'instant), la meilleure de la série 24 heures chrono.
Certains vont dire que c'est le cliché classique du gentil américain qui se bat contre les méchants terroristes arabes... figurez-vous que ce n'est pas du tout le cas. Cette saison tout comme, les autres, reste prenante du début à la fin. Les retournements de situations sont légions. En bref une saison dans la bonne lignée des précédentes. EXCELLENT!
Trop "maîtrisée", sans nouveauté, cette saison termine le cycle (et aurait dû terminer la série) en offrant une intrigue somme-toutes prenante mais bien loin des précédentes... Mais au moins les personnages qu'on a suivi depuis le début ont-ils droit à une magnifique porte de sortie et cela rattrappe beaucoup de choses (à noter l'apparition de James Frain dans un rôle très éloigné de celui qu'il tient dans "Les Tudors"). Soyons clairs: cette saison fait la part belle aux sentiments ce qui freine l'action et peut déplaire, mais ce qui ne m'a pas déplu en tant que grand fan du personnage qui, au boût de ces quatre saisons, apparraît comme le plus sypathique et le plus sensible: Tony Almeida (Carlos Bernard). Bref: une saison pas terible mais qui offre une superbe fin à nos héros...
Gros changement de casting, qui donne un nouveau souffle à la série. Heller, Marcus, Audrey, Logan et d'autres s'intègrent parfaitement et révèlent des personnalités très intéressantes. La scénarisation a quelque peu évolué aussi, on a un méchant, un vrai, rapidement identifié et qui a toujours un coup d'avance pour passer entre les mailles du filet (même si au bout d'un moment on se demande combien de plans B il a prévu...). Et puis la trame est d'un seul tenant, on la suit en continu sans subir comme avant les intermèdes familiaux entre 2 scènes d'action, du coup on aurait pu faire le tour de la question en moins d'épisodes, mais heureusement le final est encore une fois à la hauteur.
Saison dans l'ensemble assez décevante, en dépit de quelques sursauts épiques ça et là mais qui cumule les longueurs et les répétitions, comme un début d’essoufflements de concept ...
Personnages assez caricaturaux et pauvrement mis en valeur, exception faite du couple de Jack et Audrey étonnement crédible et donc tragique, la saison n'offre finalement que peu d'accroches émotionnelles et à mon souvenir, seule la scène de la mort de Paul m'a réellement touché.
Si Marwan offre à cette saison son premier ''super-antagoniste'' et offre une performance très réaliste, ses apparitions tournent au comique de répétition (je m'enfuis, tu me rattrapes ... mais je me re-enfuis ...) et il reste en définitive très uni-dimentionnel, nous privant d'une réelle accroche ...
A part ça, comme mentionné, une saison pleine à suivre des pistes, qui mènent à des pistes qui mènent à des pistes et ... ah ben zut Marwan il s'est encore enfui, patron ... bon, qui a une autre piste ?
Un peu grossier dans la construction et redondant, la re-romance Tony/Michèlle est traitée sans réelle finesse, et seul le retour de David Palmer , et la montée du président Logan, en fin de saison nous offre à nouveau l'arôme typiquement politique qui fait aussi le bonheur de la série.
Longueurs et répétitions font de cette saison un exposé bien trop long et superficiel malgré quelques tressauts d'orgueil et une fin de saison plus pêchue qui remonte le niveau, et préfigure que le meilleur est étonnement à venir ...
Personnages assez caricaturaux et pauvrement mis en valeur, exception faite du couple de Jack et Audrey étonnement crédible et donc tragique, la saison n'offre finalement que peu d'accroches émotionnelles et à mon souvenir, seule la scène de la mort de Paul m'a réellement touché.
Si Marwan offre à cette saison son premier ''super-antagoniste'' et offre une performance très réaliste, ses apparitions tournent au comique de répétition (je m'enfuis, tu me rattrapes ... mais je me re-enfuis ...) et il reste en définitive très uni-dimentionnel, nous privant d'une réelle accroche ...
A part ça, comme mentionné, une saison pleine à suivre des pistes, qui mènent à des pistes qui mènent à des pistes et ... ah ben zut Marwan il s'est encore enfui, patron ... bon, qui a une autre piste ?
Un peu grossier dans la construction et redondant, la re-romance Tony/Michèlle est traitée sans réelle finesse, et seul le retour de David Palmer , et la montée du président Logan, en fin de saison nous offre à nouveau l'arôme typiquement politique qui fait aussi le bonheur de la série.
Longueurs et répétitions font de cette saison un exposé bien trop long et superficiel malgré quelques tressauts d'orgueil et une fin de saison plus pêchue qui remonte le niveau, et préfigure que le meilleur est étonnement à venir ...
Cette saison 4 de 24 heures chrono est remplie de rebondissements et d’actions. C’est ce que la série nous promet, le pari est, une nouvelle fois, tenu.
Même si le personnage de Bauer est assez stéréotypé, ne permettant pas à Sutherland d’exprimer beaucoup de facettes, Kiefer fait le travail. Dans les missions, où Bauer se doit d’être irréprochable comme dans sa relation avec Audrey Raines, peu de défauts dans la prestation de l’acteur canadien.
La distribution est même très bonne à plusieurs égards, Raines, Heller, Tony, Michelle ou Chloe sont bien portés. Cette saison est donc globalement renforcée par le casting.
Cependant, quelques ombres au tableau. Premièrement, le personnage du Président Charles Lang est loin de l’image que je me fais d’un président. Peut-être cela se passe-t-il quelques fois comme ça mais les scénaristes nous présentent un homme frôlant la schizophrénie, ayant des pensées différentes d’une seconde à l’autre. Un Président pour qui le dernier ayant parlé a souvent raison. De plus, l’interprétation qui en est fait par Gregory Itzin me convainc peu. Surement parce que je trouve la psychologie du personnage assez puérile mais je trouve qu’il sur joue beaucoup : trop d’expressions faciales vont à l’encontre du naturel pour moi.
Mais, ce personnage n’apparaît que dans la seconde partie de la saison et il n’occupe pas constamment l’écran, la sensation est donc atténuée.
Autre petit détail gênant, la saison est coupée en parties bien définies. Là n’est pas le problème. C’est l’articulation entre ces différentes parties qui me dérange plus. La connexion entre deux « sections » est parfois mince et mal relatée dans les épisodes (le cheminement qui nous mène à Fayed par exemple).
Majoritairement, cette saison 4 de 24 répond à nos attentes, de l’adrénaline, du suspens, des rebondissements, de l’action à hautes doses. Le scénario est correctement ficelé malgré des petites brèches que les scénaristes relient avec un petit bout de ficelle.
Le casting et l’environnement sont capables d’ajouter un réel plus à cette saison. Ce quatrième opus des péripéties de Jack Bauer mérite donc une bonne note car nous ne sommes pas trompés sur la marchandise.
Même si le personnage de Bauer est assez stéréotypé, ne permettant pas à Sutherland d’exprimer beaucoup de facettes, Kiefer fait le travail. Dans les missions, où Bauer se doit d’être irréprochable comme dans sa relation avec Audrey Raines, peu de défauts dans la prestation de l’acteur canadien.
La distribution est même très bonne à plusieurs égards, Raines, Heller, Tony, Michelle ou Chloe sont bien portés. Cette saison est donc globalement renforcée par le casting.
Cependant, quelques ombres au tableau. Premièrement, le personnage du Président Charles Lang est loin de l’image que je me fais d’un président. Peut-être cela se passe-t-il quelques fois comme ça mais les scénaristes nous présentent un homme frôlant la schizophrénie, ayant des pensées différentes d’une seconde à l’autre. Un Président pour qui le dernier ayant parlé a souvent raison. De plus, l’interprétation qui en est fait par Gregory Itzin me convainc peu. Surement parce que je trouve la psychologie du personnage assez puérile mais je trouve qu’il sur joue beaucoup : trop d’expressions faciales vont à l’encontre du naturel pour moi.
Mais, ce personnage n’apparaît que dans la seconde partie de la saison et il n’occupe pas constamment l’écran, la sensation est donc atténuée.
Autre petit détail gênant, la saison est coupée en parties bien définies. Là n’est pas le problème. C’est l’articulation entre ces différentes parties qui me dérange plus. La connexion entre deux « sections » est parfois mince et mal relatée dans les épisodes (le cheminement qui nous mène à Fayed par exemple).
Majoritairement, cette saison 4 de 24 répond à nos attentes, de l’adrénaline, du suspens, des rebondissements, de l’action à hautes doses. Le scénario est correctement ficelé malgré des petites brèches que les scénaristes relient avec un petit bout de ficelle.
Le casting et l’environnement sont capables d’ajouter un réel plus à cette saison. Ce quatrième opus des péripéties de Jack Bauer mérite donc une bonne note car nous ne sommes pas trompés sur la marchandise.