Un casting d'enfer, une mise en scène intéressante qui évite les temps morts et préserve un suspense au bénéfice d'un scénario prenant qui s'installe sur la continuité des 24 épisodes de la saison... en un mot : exceptionnel !
Après une saison 6 bien ratée, voici une très bonne saison 7. Annie Wersching est excellente, le scénario est bien, le suspens est là, les coups de théâtre s'enchainent comme au bon vieux temps. Par contre, les 4 derniers épisodes sont moyens. Sinon excellente saison.
Bonne saison, mais moins bien que la 1ère, une des saisons de 24 que j'apprécie le moins. Le scénario est légèrement plat, certaines péripéties sont invraisemblables comme celles de la 2ème partie. La saison n'est pas non plus un échec total, bien au contraire, il se laisse regarder, c'est un bon divertissement.
Une excellente série bourrer d'action et de dynamisme en tout genre avec certaine idée (l'heure qui défile ...), un scenario époustouflant déjà 8 saison et pas une panne d'idée juste chapeaux :) la seul chose que je lui reproche c'est qu'il en fait des choses Jack en 24h ^^ je trouve sa un peu abuser mais il reste pur moi dans le Top 20 des meilleurs série du monde
C'est La série d'action ! Courses poursuites, fusillades, bagarres, tortures, intrigues, retournements de situations , tout y est ! Il n'y a aucun temps mort et quand on commence la vision d'une saison, il est très difficile de décrocher . Un choc télévisuel à regarder sans modération .
Une fois entamée la saison 1 impossible de décrocher. Palpitant, rebondissements à profusion, personnages bien écrits et scenario en béton. Kiefer sutherland est increvable en patriote américain pur sucre même si au fil des saisons , les scénaristes ont eu parfois la main lourde qui franchit les limites de l'invraisemblance. C'est le réalisme politique de certaines situations et la qualité des dialogues qui ont retenu mon attention. Seul bémol : la fille de Jack Bauer , KIm qui est absolument insupportable
Toujours le même rythme mais les ressorts scénaristiques ubuesques font que l'on ne croit plus un instant à l'histoire. de pire en pire malheureusement.
La saison de trop ? Et bien toujours pas ! Pourtant, toujours des terroristes et même cette fois d'affreux chinois, mais on s'en moque tant on retrouve cet univers si particulier qui caractérise « 24 heures chrono », avec des personnages peut-être même plus développés, l'intrigue s'appuyant ici pas mal sur les relations houleuses entre Jack Bauer et les responsables de la CTU. Cela n'en est pas moins toujours aussi bougrement efficace et plaisant, Joel Surnow et Robert Cochran ayant su renouveler comme il le fallait les personnages, sans oublier les rebondissements parfois invraisemblables mais salutaires, d'autant que le récit reste lui aussi incroyablement dynamique. Si bien que malgré (peut-être) un léger essoufflement pour la première fois, cette trépidante série continue à nous faire forte impression tout en nous procurant un plaisir intense : il n'y a pas tant que cela qui peuvent s'en vanter au bout de quatre saisons...
Révolution télévisuelle, « 24 heures chrono » est de ces séries qui auront marqué leur époque, brillant par leur concept profondément inventif. Qu'il est étonnant en effet de découvrir pour la première fois ce récit terriblement efficace, doté d'un sens de la narration et du suspense rarement vu. C'est que Joel Surnow et Robert Cochran ne se contentent pas d'une formidable idée, faisant tout pour rendre le plaisir et le frisson intense de la première à la dernière seconde, le tout à coup de rebondissements impressionnants et de situations habiles, l'attente entre chaque nouvel épisode s'avérant d'ailleurs particulièrement longue... Après, c'est sûr que cette dimension très « lutte contre le terrorisme » pourra en gêner quelques-uns, mais le résultat est tellement passionnant que cela n'est en définitive qu'un détail au milieu des nombreuses sous-intrigues s'imbriquant impeccablement avec le fil narrateur, le tout porté par de solides performances d'acteurs et de personnages moins superficiels que l'on aurait pu craindre. Bref, si cette première saison n'est pas « parfaite », elle n'en reste pas moins un monument télévisé des années 2000, ce genre de séries auxquelles on devient accroc en un rien de temps. Passionnant.
On connaît désormais la chanson, et pourtant c'est de nouveau avec joie que l'on découvre cette troisième saison d'une série phare des années 2000. Au programme (pour changer) : des terroristes, avec cette fois un virus forcément très très dangereux. Reste qu'une fois encore, il est difficile de faire la fine bouche tant on se laisse prendre une nouvelle fois devant l'efficacité implacable d'un récit toujours aussi dense, efficace voire parfois dantesque. C'est que les deux créateurs n'ont une nouvelle fois pas lésiné sur les moyens, et si on peut trouver cela parfois « too much », cela n'en est pas moins très solide et souvent jubilatoire, à l'image de cet incroyable personnage qu'est Jack Bauer, digne des plus grands rôles d'Arnold Schwarzenegger et Bruce Willis. Pas de doute, on est définitivement accroc à cette démonstration de force, hautement spectaculaire et se regardant avec passion du début à la fin : pourvu que ça dure...
L'effet de surprise est évidemment passé, mais il est peu dire que cette deuxième saison n'en est pas moins un formidable moment. A l'instar du premier volet, ces nouvelles aventures de Jack Bauer nous prennent au tripes d'emblée pour ne plus jamais nous lâcher. Pourtant, cette histoire de bombe atomique à base de méchants terroristes ne fait pas toujours dans la dentelle, mais une fois encore Joel Surnow et Robert Cohran s'avèrent étonnamment créatifs pour nous offrir quelque chose d'assez démentiel, le tout à base de rebondissements toujours aussi spectaculaires et de personnages (négatifs notamment) plutôt réussis. Les ficelles ont beau être parfois épaisses, il n'y a pas à dire : les américains sont les maîtres du divertissement quand ils s'en donnent la peine, et cette seconde saison de haut vol en est la meilleure preuve. Bref, du rythme trépidant au suspense quasi-insoutenable en passant par un montage à couper le souffle : décidément, « 24 heures chrono », c'est le pied !
Un chef-d'oeuvre d'éfficacité. Un suspense insoutenable, des lots de rebondissements incroyables, on est à cran tout le temps. Parfois très bavards, mais après le manque d'action ne manque pas. Vraiment éfficace ! Jack Bauer, c'est la classe.
Un modèle du genre insurpassable. Il faut être bon public d'accord pour accepter les nombreux suspenses de fin d'épisode souvent réutilisés selon les saisons mais dès histoire assez prenantes. Et une formidable Chloé.
Toujours avec quelques incohérences dans le scénario qui nuisent considérablement à l'ensemble, cette saison deux nous offre une tension dramatique plus poussée. Le suspense est soutenu jusqu'à la fin. Point non négligeable: tout juste après les éléments du 11 septembre 2001, cette saison de 24 rayonne par sa clairvoyance sur certains aspects du conflit, sans oublier la présence d'un président démocrate noir... Une très bonne analyse de la société américaine.