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Hammerstorm
74 abonnés
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Critique de la saison 6
4,5
Publiée le 18 février 2014
Cette saison est considérée, par la plupart, comme étant la moins bonne de la série. Après l'avoir revu 5 fois, cette saison est toujours pleine en rebondissements, elle est vraiment dans la continuité de la saison précédente. L'intrigue est toujours ultra prenante. Et pour couronner le tout, Jack est plus violent que jamais!
Une excellente série policière avec Kiefer Sutherland dans le rôle de Jack Bauer , un agent spécial fédéral américain qui lutte contre le terrorisme devenu aussi populaire que Mission Impossible et Chapeau melon et bottes de cuir en 8 saisons et une neuvième saison de 12 épisodes prochainement en diffusion !!!
Une série passionnante accompagnée d'un concept innovant (la série se déroule en temps réel). Je trouve les acteurs performants, l'intrigue de chaque saison bien ficelé. Bref, une série qui, à mes yeux, possède tout les ingrédients pour devenir culte...Et qui l'est d'ailleurs déjà à mes yeux.
La meilleure série de tous les temps! The best!!! 24 est devenu culte! Cette série a revolutionné le genre et a inspiré beaucoup de séries et films qui ont suivi. Créé en 2001 (avant les attentats du 11 septembre), la série est d'abord devenu célèbre grâce à son concept novateur du temps réel, puis ensuite grâce au charisme de son personnage principal Jack Bauer. Mais la place accordée aux seconds rôles et tout aussi importante (David Palmer (Saison 1 à 5) Nina Myers (Saison 1 à 3) Tony Almeida (Saison 1 à 5 puis 7). Le succès repose enfin sur des intrigues captivantes mêlant action, suspens et psychologie. La saison 5 est pour moi la meilleure! Dommage que TF1 n'ait pas donner la chance à 24 d'être diffusé plus tôt.
L'une des séries les plus originales. Kiefer Sutherland est magistral mais ce sont surtout les scénarios qui vous tiennent en haleine et ne vous lâchent plus pendant 24 épisodes. Super innovant, superbement réalisé, un must!
7 ans après, nous ne savons toujours pas pour qui Nina Myers travaillait... Tout est dit. Une étoile pour la première saison qui laissait espérer quelque chose de grand.
La saison 7 est excellente et dire qu'elle est mieux que les autres serait inexact. J'espère que cette série battra le record de durée de NYPD Blue , car ne s'en lasse pas .
Jack Bauer n'est pas un policier, c'est un super héros : il ne mange jamais, bois jamais, ne va jamais aux toilettes et arrive à créer plusieurs situations conflictuelles d'ordre national et à les résoudre en 24 heures. Ce consternant manque de crédibilité suffit à classer cette série au rang de soap opera. Je dois tout de même reconnaître que le fait de l'avoir en DVD et de pouvoir synchroniser les heures ("oh il es 13h là-bas comme ici!") est un sacré bon point. Allez salut je vais me faire cuire un fruit de la passion à Tourcoing.
Beurk ! Beurk ! Beurk ! Beurk ! Et rebeurk ! Une seule saison (à peine) et c'est déjà l'overdose. Si le jeu d'acteur est très droit, propret et au final assez peu crédible (parfois mauvais même); si le scénario basé sur le complot est assez complexe, bien que vu, revu et corrigé de maintes fois, et pourrait convenir aux inconditionnels du genre, il est totalement impossible de passer à côté de la lobotomie incessante des valeurs puritaines les plus primaires.
Si l'on passe sur le fait que l'ennemi est immanquablement d'origine slave (avec les clichés rattachés), on s'aperçoit vite que cette série s'embourbe et est étouffée par 2 notions prédominantes : la famille (au sens le plus étroit) et la peur. Aimer ses proches, craindre le reste du monde, protéger sa famille coûte que coûte, avoir peur des autres à chaque instant, ne faire confiance à personne.
Le tout, bien entendu, saupoudrer d'un coulis de vengeance car, de la même façon que l'on se doit de protéger sa famille (jusqu'à tuer sans hésitation), on doit impérativement se venger de toute personne ayant porté atteinte à celle-ci (même une simple bousculade n'est limite pas pardonnable). S'en est dégoulinant de surabondance et d'hypocrisie. La NRA ne fait pas mieux en matière de propagande !
Et l'on conforte dans l'exagération, les idées reçues selon lesquelles l'homme est un loup pour l'homme et qu'il faut craindre son prochain et être prêt à le dessouder froidement au moindre faux pas.
Une vision tellement rabâchée par les lobbies des armes, la religion et autres machineries de la consommation-consolation. Où comment une série qui possède un bon fond, sert d'outil de propagande vicieux et sournois. Et je passe la pléthore d'incohérences et d'invraisemblances ...
Stop ! S'en est trop, je vais me replonger dans la saga de BD XIII ou bien encore dans un Jason Bourne, ou le sujet n'est traité de manière perfide et intéressée. Beurk ! Beurk ! Beurk !
Cette série traduit littéralement le projet politiques que le gouvernement américain souhaite réaliser, celui d'accuser les musulmans ( et parfois les russes ) de terrorisme et de méchanceté. a part ça, je crois que la mise en scène, la réalisation et les épisodes ( qui sont similaires ) sont nuls... sincèrement, si vous voulez voir une série du même style, je vous propose Alias.
Une première saison magnifique qui, malgré une baisse de rythme dans la deuxième partie et deux "miss catastrophes", prend d'emblée aux tripes, gèle les sangs, offre des rebondissements extraordinaires et des magnifiques scènes (sans compter un certain humour noir...). La référence dans le fil conducteur à l'assassinat de Bobby Kennedy est flagrant, mais si on peut déplorer quelques longueurs, le pari de la série en temps réel a été gagné haut la main, dans au niveau de l'action que de l'émotion! Chapeau!
Suivre en temps réel 24 heures d'une journée en autant d'épisodes, c'est une idée de génie. Le scénario est brillant avec des thèmes forts autour de la candidature d'un noir à la maison blanche, de la recherche du pouvoir à tout prix, des raisons qui peuvent amener à trahir..., et tient la route sur la durée en prenant soin de développer ses personnages (même un peu trop pour Kim et Terry), à partir d'un bon casting. La réalisation innove en suivant les évènements en parallèle et au plus près des héros, en tête desquels Bauer et Palmer sont irrésistibles. Sur leurs traces, on termine cette 1ère saison lessivé, bouleversé et reconnaissant, une série coup de poing qui bouscule les références.