Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
cylon86
2 504 abonnés
4 430 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 9 juillet 2017
Chaque saison de transition de "Doctor Who" se regarde d'une façon particulière. Cette dixième saison retient d'autant plus notre attention qu'elle est à la fois la dernière avec Peter Capaldi dans le rôle titre (qui lui va comme un gant, redisons-le une fois de plus) mais également la dernière où Steven Moffat va officier en tant que scénariste et showrunner. C'est donc une page qui se tourne car il va sans dire que Moffat a durablement apposé sa patte à la série, écrivant la plupart de ses meilleurs épisodes et livrant quelques saisons (la 5 et la 6) de haut vol. Moffat a cependant montré quelques faiblesses en tant que showrunner, livrant également des saisons beaucoup plus inégales et plus oubliables, toutes sympathiques mais pas toutes dispensables. Malheureusement cette dixième saison est de celles-ci. Malgré un capital sympathie énorme grâce à la dynamique apportée par Bill, la nouvelle assistante assez rationnelle et vite attachante ainsi que par Nardole, trouvant sa place au bout de quelques épisodes, cette saison 10 a du mal à trouver de point d'ancrage et manque d'un fil rouge qui permettrait de la rendre narrativement forte. Au lieu de quoi, on assiste à une saison en demi-teinte, jamais déplaisante mais avec des épisodes inégaux et assez oubliables. Si l'on excepte le tryptique plutôt bien foutu formé par les épisodes 6, 7 et 8, il faudra attendre les deux derniers épisodes de la saison pour que la série retrouve l'ampleur qu'on lui a connu lors de ses grandes années. Le final apparaît d'autant plus réussi que Moffat a été inspiré, donnant à chacun des personnages un arc narratif complexe, dopé par de sacrés rebondissements n'ayant pas peur d'un certain sens de la tragédie en témoigne le destin de Bill. Même Missy a le droit à un destin inattendu et surprenant tandis que le destin du Docteur reste incertain, en attendant l'épisode de Noël et les adieux de Capaldi au rôle. Un rôle qu'il a su capter avec talent, offrant une profondeur assez complexe, se montrant parfois féroce mais toujours aussi déterminé à se ranger de notre côté. Encore heureux même si le départ de Moffat laisse craindre (ou espérer) un changement de direction qui pourrait bien être déroutant...
En toute objectivité Dr who c'est la vie, si tu regarde pas tu rate ta vie, c'est tellement de plaisir procuré, tellement jouissif, regardez je vous en pris (non on me paye pas pour dire ça je suis juste objectif)
Bizarrement, l'épisode le plus intéressant de cette saison est celui qui est hors-saison : Le Retour du Docteur Mysterio, qui mêle humour, action et amour des comics. Autrement, on s'ennuie un peu, comme à chaque saison de ce Douzième Docteur, qui est secondé par un personnage qui était intrigant sur le papier (le premier personnage lesbien de la série, un grand pas ! Chapeau !) mais malheureusement le traitement de cette nouvelle compagne est sans saveur, si ce n'est fade : aussitôt partie, aussitôt oubliée. Quel dommage car l'actrice avait certainement le potentiel pour en faire une bonne compagne indépendante et novatrice (ce qu'on pensait avoir, au départ...). Les intrigues et les effets spéciaux sont soignés, mais à un tel point qu'ils prennent le pas sur l'intérêt et le rythme de chaque épisode : les robots émojis sont une bonne idée, mais l'histoire est bancale. L'épisode des romains est carrément ennuyeux avec en plus une créature qui est un copier-coller de celle d'Avatar ; et la succession des épisodes finaux sur les moines sont un peu justes au niveau du rythme (on ne parle même pas de l'épisode final qui est à ce propos complètement soporifique). On a de beaux adieux avec Bill, tout de même, et l'on regrette alors de ne pas l'avoir plus appréciée durant cette courte période d'existence. On espère surtout que la folie et le côté "brouillon délicieux" des premières saisons finiront par refaire surface, car les effets spéciaux, costumes et intrigues poussés à fond au détriment de l'intérêt, on en a ras le bonnet (de Nardol).
Une bonne saison en perspective, un Peter Capaldi en forme qui a enfin réussi à se trouver dans le rôle du Docteur. Cependant le talent de Capaldi n'est pas assez exploité selon moi, Moffat se fatigue et ne donne plus l'impression de s'impliquer autant qu'il le faisait dans les premières saisons.
Rappelons nous ces excellents épisodes tels que "La bibliothèques des ombres" ou encore "Blink" avec le génialissime David Tennant, Moffat avait fait un un travail qui relève du génie.
J'attends de voir la suite de cette saison qui malgré la faiblesse d'écriture reste très bonne.
J'ai jamais autant été déçu par un saison de Doctor Who. Et pourant ça fait 9 ans que je suis cette série avec passion mais là, c'est exaspérant. Peter Capaldi essaie de donner un côté un peu décalé humoristique qui ne va pas avec son côté donneur de leçons. En effet, le Docteur ne donne plus son avis comme il avait l'habitude de faire mais là il donne son point de vue politique sur des sujets qui sont actuellement sensible. Ensuite, Billy est super chian*e au niveau de son homosexualité. C'est pas de l'homophobie de ma part mais elle fait tout le temps des commentaires là dessus! Comme exemple sans spoil elle dit dans une conversation : «-Docteur, vous savez que je préfère les femmes? (De façon tout à fait hors contexte) -Oui, je le savais. Pourquoi? Dit alors le docteur -Non rien, juste comme ça! Répond Bill» c'est dérangeant car c'est vraiment un malaise palpable à chaque fois qu'elle en parle. La saison essaie nettement de se donner le même style qu'elle avait avec David Tennant (10 Docteur) mais c'est totalement raté. Ça peut même mettre le malaise pour certain (ceux qui connaissent bien les anciennes saisons)! Je pense que ça c'est du au faite que la série gagne beaucoup moins d'argent qu'avant. La saison 1 avait bien marché, ensuite les saisons avec David Tennant avait cartonné! Puis vien Matt Smith (11ème Docteur) où les bénéfices sont lentement descendu et maintenant Peter Capaldi ou ils n'ont jamais vu leurs bénéfices aussi bas. Alors au lieu de faire des changements, comme avec Matt Smith que j'avais beaucoup aimé, ils ont plutôt décidé de copier les anciens styles et de placer de donner des leçons de moral à 2 balles... A éviter à tout prix!
j'adore, j'adore, Dr Who est vraiment mon feuilleton favoris, je me demande tout le temps comment il va s'en sortir, chaque épisode est un régale, point de vu scénario et décors, ceux qui n'ont jamais regarder ne savent pas ce qu'est une bonne série, elle fit créée en 1963, une belle année puisque c'est celle de ma naissance, j’espère qu'il ne s’éteindra pas de si tôt, merci à France 4 de diffuser la série,
Saison inégale mais intéressante, sans génie mais prenante. La sortie de Capaldi aurait pu être plus épique et le duo Bill - Nardole aurait pu être plus travaillé
Affligeant, un docteur pas des plus brillant a la saison 9 mais intéressant qui devient réellement décevant dans cette saisons 10 avec un manque cruelle d’intérêt dans deux tiers des épisodes. Et sa compagne Bill est insupportable, c'est un cliché sur patte qui ne sait dire que vous avez vu je suis homosexuel et cella ponctuer parfois de référence a sa couleur de peau c'est terriblement réducteur et d'autre séries on réussis a intégrer une orientation sexuel sans que ça devienne l'unique moyens d'expression du personnage. Et tout est d'un bloque les scénario sont d'un nanardesque excepter ceux avec les moines et la fin qui rattrape un peu (sois 5 épisodes sur 12 de bon), cette saison est réellement décevante.
Excellente Saison qui nous montre le talent de Peter Capaldi. Il y a certes quelques épisodes plats (Eaters of Light, Thin Ice), mais le reste est super. On y retrouve un Nardole étonnement excellent et drôle, mais on va, pour faire plaisir à certains, citer les points négatifs et positifs : Positifs : -L'épisode "Knock Knock" qui est très original et qui remplit bien son boulot d'épisode frisson -Le retour des Cybermen Mondasiens (1966, ou les premiers qui ont existé) -Bill, qui est un personnage sympa -Nardole. Juste Génial -Le docteur qui est toujours très bon -Les scénarios de "Oxygen", "Veritas", "The Pyramid at the end of the world" et bien d'autres spoiler: -Missy et le maître
Négatifs: -Les épisodes plats -Certains épisodes où les effets spéciaux sont plus mauvais que d'habitude
Conclusion : Une très bonne saison qui met parfaitement fin à l'ère Moffat et au Docteur de P. Capaldi. Je n'ai pas parlé de Twice Upon a Time, mais pour les curieux, il était excellent. Je vous conseille VIVEMENT de voir ces épisodes.