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Un visiteur
Critique de la saison 8
0,5
Publiée le 23 novembre 2014
Une saison particulièrement décevante, autant sur la forme que sur le fond. Si le visuel est plus travaillé, les scénarii sont vides quand ils ne deviennent pas carrément incohérents, voir contredisent en un épisode la logique des sept dernières saisons. Cette S8 est en train de réécrire toute la série et pas en bien. Le Docteur lui-même est terne, a perdu l'essentiel de son panache et de son charisme dans cette transition, il est devenu sec, cynique et orgueilleux, et même si Clara sauve les meubles, la série a perdu une bonne partie de son âme au passage...
Cette cinquième saison fait quasi-radicalement peau neuve : nouveaux acteurs, nouveau logo, nouveau générique mais aussi nouveau producteur délégué, le brillant Russell T Davies laissant la série aux mains de son comparse Steven Moffat qui va désormais gérer l'ensemble de la série... Mais ce qu'on redoutait est bel et bien là : cette saison 5 est une petite déception. En dépit d'un vent de nouveauté bienvenu, aussi bien visuellement que dans son scénario (le Docteur a un nouveau tournevis sonique et l'intérieur du TARDIS change lui aussi), Matt Smith a du mal à nous faire oublier David Tennant : singeant son prédécesseur tout en essayant de trouver son propre caractère, l'acteur britannique ne convainc pas totalement. Il reste toutefois assez agréable, notamment lorsqu'il pousse l'excentricité à son paroxysme. Sa nouvelle compagne, Amy Pond, interprétée par la truculente Karen Gillan, a elle aussi du mal à remplacer ses prédécesseuses bien qu'elle soit néanmoins très dynamique et devient au fil des épisodes une Who Girl en bonne et due forme. Nous retrouvons également l'infatigable River Song, future épouse du Docteur, qui semble ne pas l'avoir encore "rencontré", unique personnage des anciennes saisons à refaire surface pour notre plus grand plaisir. Ensuite, à l'instar de la saison 2, les scénarios proposés s'avèrent très pauvres et ne nous procureront pas beaucoup d'émotions. Malgré une toile de fond intrigante (cette mystérieuse fissure qui suit nos héros), les histoires proposées n'arrivent pas à la cheville de celles imaginées par Russell T Davies et ses collègues ou sont alors mal amenées comme le double-épisode "Le Labyrinthe des Anges" et son retour des Anges Pleureurs (l'un des meilleurs épisodes de la saison 3), ici peu effrayant. Le constat est le dernier : les bonnes idées fusent mais sont terriblement mal mises en scène et aucun épisode ne viendra nous tirer la larme à l'œil, ne viendra nous glacer le sang ni même nous faire rire. Le pourtant fort sympathique "Vincent et le Docteur" (mettant en scène un Vincent Van Gogh aux prises avec une créature invisible) est excellent mais s'étire inutilement sur un épilogue dispensable tandis que le pourtant terrifiant sur papier "Le Seigneur des Rêves" n'apportera que de l'ennui. Reste heureusement l'épisode final, comme d'habitude présenté en deux parties, qui nous retourne le cerveau comme il se doit. Ainsi, plus porté sur des tensions sexuelles inédites et surtout un triangle amoureux ambigu entre le Docteur, sa partenaire et le copain un peu débile de celle-ci, cette cinquième saison n'arrive jamais à transcender les saisons précédentes et à nous faire oublier le génie des deux dernières, riches en séquences inoubliables et aux scénarios passionnants. Dommage, le premier épisode annonçait une toute autre couleur que ces aventures redondantes mettant en scène un Docteur bipolaire alternant entre colérique détestable et clown attachant, ici très gaffeur notamment lors de ses voyages spatio-temporels, un running-gag que l'on espère terminé pour la prochaine saison.
Série brittanique mondialement connus, j'ai débuter doctor Who avec la saison 3 et donc David Tennant formidable dans le rôle du docteur. Une série SF passionante, avec peu de moyens à l'époque mais pourtant très réussite en terme d'histoire et d'ambiance.
Une très bonne saison du doctor who avec sa nouvelle compagne Donna Noble et son franc arler. les meilleurs épisodes de cette saison sont le dyptique La Terre volé/La fin du Temps, l'episode spéciale La prophétie de Noel et le Chant des Oods.
Doctor Who est une de ces séries dont on tombe rapidement amoureux: des histoires fantastiques, regorgeant de mythes et de légendes, un humour so british si irrésistible, de l'action etc... Une série culte outre-manche qui mériterait de le devenir chez nous.
Quelle déception, mais sans surprise finalement. Je persiste et signe, le problème viens des scénaristes! Autant l'histoire de fond dans la saison précédente était inexistante, autant là ce ne sont pas des petits cailloux qui ont été semés mais des menhirs, c'est lourd, poussif et ca fout le bordel dans le canon de la série. Je ne parle même pas de la fin en cliffhanger minable, qui ne donne même pas envie de voir la suite. J'ignore d'où sortent les nouveaux scénaristes, mais rendez-nous Moffat, Gattis et Davies.
Le 1er épisode que j'ai vu, c'était avec David Tennant (un épisode spécial, l'invasion de noel (vf)) je connaissai que de nom, j'ai regardé la fin, et ensuite, j'ai emprunté les dvd saison 1&2 de mon frangin, et je suis tombé amoureux de cette série !
la 1ère saison est très bien, Christopher Eccleston s'en sort très bien dans la peau du doctor "qui" ?, en plus, j'adore parce qu'il a un physique assès particulier, j'adore son ptit sourire idiot, de bon épisode, le 1er permet de planter le décor, par la suite c'est de mieux en mieux et on devient vite accros ! de bon effet spéciaux, une ambiance incroyable, un style unique, une série inimitable !
"Cette 12ème saison de Doctor Who est donc très bonne. On peut dire qu’elle relève le niveau par rapport à la saison 11 (qui n’était pas mauvaise pour autant). Je n’ai pas beaucoup de défauts à noter, juste quelques détails comme certains éléments un peu prévisibles, quelques facilités scénaristiques et quelques personnages secondaires qui auraient mérité plus de développement… À côté de ça, parmi les qualités, nous retiendrons l’intrigue générale très captivante, le développement d’univers, le rythme, les effets spéciaux, l’ambiance, le développement des personnages principaux et les décors… Cette 12ème saison de Doctor Who est donc très bonne, elle me rappelle pourquoi j’aime tant cette série."
Critique complète sur le blog cineomax.over-blog.com
Au moment où j’écris ces mots j’ai devant moi un tardis sur mon bureau et un autre sur un le tableau signé par David Tennant, Matt Smith et John Hurt (50 exemplaires dans le monde pour les 50 ans de la série) c’est dire si je suis fan ! Seulement depuis l’infirmière Who, la série en a pris un coup.
1°) Du temps du dixième docteur il n’y avait pas beaucoup d’argent mais les scenarii compensaient largement (souvenez-vous des anges pleureurs ou on voit le docteur moins de 3 minutes (il faut être fort pour ce tour de force)). Maintenant il y a un peu plus d’argent (c’est nettement plus beau) mais les scenarii sont dignes “d’amour, gloire et beauté“. C’est devenu fade...
2°) La série s’est totalement américanisée : le charme anglais a disparu et a fait place aux cascades, aux poursuites et aux morts atroces (dans TOUS les épisodes). C’est devenu gore...
3°) les scénaristes ne travaillent plus ensemble. Chacun fait ce qu’il veut et c’est le grand délire. Chris Chibnall par exemple qui se fou totalement de l’histoire du docteur, ressuscite le maitre sans aucune explication. C’est devenu n’importe quoi...
Adieu docteur, je vais mourir dans quelques mois donc je ne verrais jamais la saison 13 mais pitié, revenez à l’esprit 2005 pour tous mes amis que j’ai saoulés en leur parlant de cette série...
Une série qui est pas forcement extrêmement bien partis, une première saison pas forcement bien produite mais on arrive quand même à apprécié la série. Au fur et à mesure on s'attache au personnage et la série devenant de mieux en mieux réalisé on arrive par obtenir une excellente série. Chaque épisode arrive à vous surprendre grâce à tout ces créations futuriste. Bref une série pas forcement bien partis fini par être géniale !