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Votre avis sur Doctor Who (2005) ?
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Pour moi, il n'y a pas a dire, c'est bien la meilleure saison de Doctor Who depuis sa renaissance. Le talent de David Tennant a interpréter ce docteur complètement déjanté et le caractère trempé de Donna Noble, mélangé à des scénarios à couper le souffle, à tenir en haleine jusqu'à la dernière seconde. C'est pas 5 que je donne, c'est beaucoup plus!
Dernière saison avec David Tennant, avec un ultime épisode tout à fait magique. Même si Matt Smith reprend très bien le rôle du Docteur, il n'arrive pas à égaler le merveilleux 10ème docteur.
Dernière saison avec David Tennant, avec un ultime épisode tout à fait magique. Même si Matt Smith reprend très bien le rôle du Docteur, il n'arrive pas à égaler le merveilleux 10ème docteur.
Matt Smith reprend le flambeau de David Tennant dans le rôle du docteur, mais ce changement d'acteur est amer car le nouveau docteur est très spécial, trop exubérant, Matt Smith cabotine trop. Quand aux nouveau compagnons du docteur ils sont inégaux, Amy Pond est sympathique mais Rory est insupportable.
Cette saison est celle de tous les changements : maintenant que Steven Moffat est passé showrunner (et qu'il écrit six épisodes par saison au lieu d'un ou deux), il remet tout à neuf. Nouveau Docteur, nouveau look, nouvelle assistante, nouveau Tardis, nouveau Tournevis sonique, nouveau logo, nouveau générique, tout est nouveau tout beau et tant pis si cela nous perturbe, il s'agit ici de faire une transition radicale pour nous faire oublier David Tennant (qui nous manque quand même un peu) et se lancer dans de nouvelles aventures. Si il faut avouer que l'on a un peu de mal à vraiment accrocher au début, on se rend vite compte que ce serait dommage de bouder son plaisir. En effet, en plus de scénarios toujours aussi inventifs et tordus (avec des Daleks, des Anges Pleureurs, des fissures temporelles et même un Vincent Van Gogh très émouvant), la réalisation est d'une qualité parfaitement remarquable, avec de superbes décors. En imposant de nouveaux personnages, la saison se fait de plus en plus addictive et il faut avouer que Matt Smith compose un excellent Docteur, plus fantasque et plus imprévisible que jamais, sans pour autant perdre de son charme et de sa malice. A ses côtés, la séduisante Amy Pond (que Karen Gillan incarne à la perfection) se révèle être une assistante de choix, ayant connue le Docteur depuis toute petite et attendant la même chose que nous : vivre encore plus d'aventures à bord du Tardis !
Comme à leurs habitudes, les scénaristes de la série ont sorti le grand jeu pour cette septième saison qui s'avère aussi trépidante que surprenante. Divisée en deux parties, elle a l'immense qualité de nous offrir des épisodes variés qui s'enchaînent sans se ressembler et qui ont des ambiances très différentes (on passe d'un sous-marin soviétique dans les années 80 à un manoir hanté dans les années 70 pour ensuite aller dans le Londres du XIXème siècle) mais cette qualité est également le petit handicap de cette saison qui est la moins bonne de celles avec Matt Smith. En effet, ces épisodes variés sont inégaux et rendent l'ensemble un peu bancal car on a l'impression que la ligne directrice de cette saison est moins forte que les précédentes, et pour cause car la barre avait été haute avec la sixième saison. Malgré ce petit déséquilibre, force est de reconnaître que la série n'a rien perdu de sa force et bien au contraire ! Les univers décrits dans chaque épisode sont brillants et les scénaristes semblent se faire plaisir, étoffant encore plus le personnage du Docteur que joue Matt Smith avec un tel talent (il faut voir le final de l'épisode 7 pour confirmer ce que l'on savait de lui) qu'il peut rendre une chose comique ou dramatique en un instant. La première partie de cette saison est excellente et comporte les derniers épisodes avec Amy et Rory comme compagnons ce qui fait de l'épisode 5 (brillamment écrit par Steven Moffat, évidemment) l'épisode le plus émouvant qu'on ait vu depuis la régénération de David Tennant. La suite de cette saison qui voit arriver le personnage de Clara est celle qui est plus inégale mais il faut reconnaître que le charme de Jenna-Louise Coleman fonctionne à merveille et que son alchimie avec Matt Smith est excellente en particulier lors de leur rencontre lors de l'épisode de Noël avant l'épisode 6. Mais ce qui marque évidemment, c'est l'épisode final riche en émotions et qui soulève plus d'interrogations qu'autre chose... Pour mieux préparer l'épisode du 50ème anniversaire, sans aucun doute...
Pour cette deuxième saison en compagnie de Matt Smith, Steven Moffat et son équipe de scénaristes ont sorti le grand jeu. En effet, une fois passé le meilleur épisode de Noël de la série (avec Michael Gambon en plus !), la saison s'ouvre sur le Docteur qui va droit à sa Mort, nous livrant ainsi sa ligne directrice, sans aucun doute la plus forte et la plus intense de toutes celles que l'on a vu jusque là. Entre les secrets de River Song (personnage décidément excellent et de plus en plus important), les malheurs qui arrivent à Amy et les pirouettes du Docteur, toujours aussi fantasque et étonnant, cette saison nous réserve bien des surprises. La relation entre le Docteur, Amy et Rory s'intensifie et les scénaristes ont même le culot de nous livrer un épisode qui a tout d'un final en milieu de saison, quitte à nous en donner des frissons et des larmes aux yeux. Gardant l'esprit de la série sans pour autant tourner en rond et en apportant de nouvelles intrigues de plus en plus tordues, cette saison ne perd jamais le rythme, emmené avec brio par Matt Smith, qui se fond parfaitement dans le rôle du Docteur, nous emmenant parfois vers le rire, parfois vers les larmes mais toujours vers l'aventure.
Pour cette dernière saison en compagnie de David Tennant, le Docteur s'est trouvé une compagne au caractère bien trempé en la personne de Donna Noble, au franc-parler qui fait des étincelles. Leur relation est d'ailleurs un des pivots de cette saison et nous réserve de nombreuses surprises. Mais vu que nous sommes dans ''Doctor Who'', on peut être sûrs que les scénaristes ont mis au point un cocktail explosif pour rendre la série encore plus addictive, plus intense et surtout encore plus mature. En effet, le Docteur va prendre conscience de beaucoup de choses sur lui-même au fil de ses voyages quitte à nous tirer quelques larmes au passage. Mais il ne faut pas oublier le plaisir non plus et l'énergie avec laquelle David Tennant incarne son personnage, semblant lui être attaché à jamais même si l'on sait très bien que son départ est inéluctable. Alors forcément on profite, que ce soit lors de voyages dans le passé à Pompéi ou à la rencontre d'Agatha Christie ou dans l'espace à l'occasion d'un génial double épisode (signé Steven Moffat, évidemment !) ou des trois superbes derniers épisodes de la saison, plus sombres, plus émouvants et plus intenses que jamais.
Quant aux épisodes spéciaux qui font le lien avant la saison 5, ils sont particulièrement soignés. En effet, si les deux premiers sont surtout l'occasion de montrer le Docteur voyager seul et refuser la compagnie d'une autre personne, le troisième nous montre un personnage aux faiblesses de plus en plus visibles à qui sa mort est annoncé. Mais ils ne sont rien comparés au choc des deux derniers épisodes où le Docteur n'a jamais semblé aussi humain et où accompagné du grand-père de Donna (personnage relativement génial), il va devoir faire face à des évènements qui le dépasse, rongé par la peur de mourir. Et lorsque vient le moment de faire ses adieux à David Tennant (acteur tellement doué qu'il viendrait presque à nous faire croire à l'existence du Docteur), c'est avec des larmes et une certaine appréhension que l'on attend la cinquième saison car tout ne sera plus tout à fait comme avant...
Quant aux épisodes spéciaux qui font le lien avant la saison 5, ils sont particulièrement soignés. En effet, si les deux premiers sont surtout l'occasion de montrer le Docteur voyager seul et refuser la compagnie d'une autre personne, le troisième nous montre un personnage aux faiblesses de plus en plus visibles à qui sa mort est annoncé. Mais ils ne sont rien comparés au choc des deux derniers épisodes où le Docteur n'a jamais semblé aussi humain et où accompagné du grand-père de Donna (personnage relativement génial), il va devoir faire face à des évènements qui le dépasse, rongé par la peur de mourir. Et lorsque vient le moment de faire ses adieux à David Tennant (acteur tellement doué qu'il viendrait presque à nous faire croire à l'existence du Docteur), c'est avec des larmes et une certaine appréhension que l'on attend la cinquième saison car tout ne sera plus tout à fait comme avant...
C'est ma série préféré. Les personnage sont attachant et complexe, les aventures sont toutes folles et entrainante. Mon personnage préféré est river song ( j'adore son histoire et son caractère ) mais tous les personnages ont leurs particulartités qui les rendent plus incroyable les uns que les autres.
Je conseil vraiment !
Je conseil vraiment !
Chaque saison de transition de "Doctor Who" se regarde d'une façon particulière. Cette dixième saison retient d'autant plus notre attention qu'elle est à la fois la dernière avec Peter Capaldi dans le rôle titre (qui lui va comme un gant, redisons-le une fois de plus) mais également la dernière où Steven Moffat va officier en tant que scénariste et showrunner. C'est donc une page qui se tourne car il va sans dire que Moffat a durablement apposé sa patte à la série, écrivant la plupart de ses meilleurs épisodes et livrant quelques saisons (la 5 et la 6) de haut vol. Moffat a cependant montré quelques faiblesses en tant que showrunner, livrant également des saisons beaucoup plus inégales et plus oubliables, toutes sympathiques mais pas toutes dispensables. Malheureusement cette dixième saison est de celles-ci. Malgré un capital sympathie énorme grâce à la dynamique apportée par Bill, la nouvelle assistante assez rationnelle et vite attachante ainsi que par Nardole, trouvant sa place au bout de quelques épisodes, cette saison 10 a du mal à trouver de point d'ancrage et manque d'un fil rouge qui permettrait de la rendre narrativement forte. Au lieu de quoi, on assiste à une saison en demi-teinte, jamais déplaisante mais avec des épisodes inégaux et assez oubliables. Si l'on excepte le tryptique plutôt bien foutu formé par les épisodes 6, 7 et 8, il faudra attendre les deux derniers épisodes de la saison pour que la série retrouve l'ampleur qu'on lui a connu lors de ses grandes années. Le final apparaît d'autant plus réussi que Moffat a été inspiré, donnant à chacun des personnages un arc narratif complexe, dopé par de sacrés rebondissements n'ayant pas peur d'un certain sens de la tragédie en témoigne le destin de Bill. Même Missy a le droit à un destin inattendu et surprenant tandis que le destin du Docteur reste incertain, en attendant l'épisode de Noël et les adieux de Capaldi au rôle. Un rôle qu'il a su capter avec talent, offrant une profondeur assez complexe, se montrant parfois féroce mais toujours aussi déterminé à se ranger de notre côté. Encore heureux même si le départ de Moffat laisse craindre (ou espérer) un changement de direction qui pourrait bien être déroutant...
Audrey L
Cette saison fait peau-neuve, et j'ai simplement adoré ! Jodie Whitaker a le sens de l'humour du Doctor de Tennant, le dynamisme de celui de Smith et une joie de vivre solaire qui lui est propre ! Pour les réfractaires au genre féminin du Doctor : par le passé on nous avait répété qu'il n'y avait pas de règles au choix du sexe lors de la régénération, et le fait qu'on ait eu douze fois le même genre, il fallait bien que ça change, non ? Comme si on lançait une pièce douze fois et qu'elle faisait "face" à chaque fois...elle est pipée, c'est sûr. Et puis, pour terminer, je ne vois pourquoi les femmes n'auraient pas le droit d'avoir leur version du héros à l'écran, on a tous droit au rêve. D'autant plus qu'on ne nous jette jamais au visage cette différence, on n' y fait presque pas attention dans la série, alors on est loin d'un militantisme féministe. Après ces paroles aux airs d'égalitarisme (je ne fais pourtant pas dans la politique, d'ordinaire, mais lorsqu'on entend certains commentaires moyenâgeux, il y a de quoi sortir de ses retranchements), on note un changement dans l'organisation du rapport "Doctor / Compagnon" qui ici passe à "Team Doctor" (tout le monde est au même niveau), ce qui est plus équilibré. La musique est top, les effets spéciaux impeccables, les intrigues sont enfin redevenues intéressantes (après une traversée du désert ennuyeuse pour le Douzième Doctor), le nouveau générique est somptueux, et le Tardis a une esthétique qui convient parfaitement à l'actrice (il a été fait à partir de l'analyse des mouvements improvisés de l'actrice sur un prototype de console de contrôle, et depuis, qu'est-ce qu'elle grignote comme biscuits à la vanille...), je me suis régalée à chaque épisode. J'ai tout de même transpiré de frayeur lors de l'épisode sur les araignées, elles étaient trop bien faites pour l'arachnophobe que je suis, mais sans rancune. Le costume de ce Doctor reprend ceux des anciens comme des hommages touchants (trench coat du Dixième et Douzième, bandes de couleurs des anciens Doctor, chaussures du Onzième...) et il est vraiment classe. Une excellente surprise que ce Doctor féminin, surtout grâce à la personnalité solaire de Jodie Whitaker qui nous donne la patate, avec une "Team" complète et amusante, des intrigues très intéressantes, et un girl-power qui est fait sans aucun militantisme mais au contraire tout en douceur. Vive le Treizième Doctor et ses biscuits vanillés !
Cette série n'est pas immortelle comme un cyberman pour rien et si elle a toujours réussi à grimper les échelons contrairement aux daleks elle est et restera LA référence des séries SF. Oui le docteur est une femme aujourd'hui, oui les acteurs sont multiculturels mais parce que ce n'est pas Netflix ils sont là pour leurs talents, leurs jeux et ce qu'ils sont capables d'insuffler à la série. Impossible de ne pas adorer et de ne pas souhaiter que les seuls scénaristes apolitiques du monde reste en vie et intègres assez longtemps pour une ou deux saisons de plus... Bien sûre la prochaine Dr. Who sera une lesbienne noire agendré anticatholique qui utilisera l'écriture inclusive et dira patriarcat et mansplanning toutes les deux phrases pour ne pas que la série soit annulée par les lobbys. Mais vous verrez elle aura tellement de talent qu'elle sera le Docteur avant d'être un instrument de propagande woke au relant de néo-fascisme marketisé.
Au premier abord on se dit c'est quoi ce truc sa fait kitch,mais si on si attarde on accroche vite trés bon sénario, surtout quand ils vont dans le futur,immagination débordante! bref à mon grand étonnement je suis fan.A essayer vivement!
saison exellente, matt smith remplace trés bien l'exellent david tenant
"Doctor Who" est une série éprouvante. Après David Tennant, il nous a fallu faire le deuil de Matt Smith, parti en beauté lors d'un épisode de Noël. Conscients qu'il ne sera pas facile de lui succéder, les scénaristes introduisent alors un Docteur plus âgé, plus autoritaire et moins jovial qui n'hésite pas à révéler des facettes plus sombres. La série avait opéré un relooking radical après le départ de David Tennant, désormais c'est la personnalité du Docteur qui change énormément. Un changement que même Clara a du mal à accepter, son personnage incarnant alors le spectateur encore sceptique. Mais très vite, cette saison se met en route et se révèle entraînante. Si certains épisodes sont plus réussis que d'autres (comme le quatrième, écrit par Moffat), le fait est que cette huitième saison tient mieux la route que la septième qui était assez inégale. Peter Capaldi s'impose comme un excellent Docteur dont la personnalité plus sombre et plus violente apporte énormément à la réussite de cette saison tandis que Jenna-Louise Coleman (qui ne manque décidément pas de charme) voit son personnage s'étoffer grandement, sa relation avec le Docteur se complexifiant. Avec son fil rouge qui se dessine assez rapidement et l'énergie qui se dégage des échanges entre le Docteur et Clara, cette huitième saison marque un tournant dans la série qui ne sera pas du goût de tout le monde mais qui s'avère pourtant extrêmement réjouissant. Il ne faut tout de même pas oublier que l'esprit du personnage est là et que les scénarios tâchent de redoubler d'inventivité, parvenant souvent à nous surprendre. Si le final n'est pas aussi réussi qu'on aurait pu le souhaiter, les débuts de Capaldi dans la peau du Seigneur du Temps sont assurément de bonne augure, avec ce qu'il faut d'action, d'humour et d'émotion.
2e saison pour Peter Capaldi, toujours accompagné de Jenna Coleman dans le rôle de Clara.
Soyons direct : la saison 7 était très mal rythmée et ses épisodes clairement en dessous du niveau des saisons précédentes, un tant soit peu sauvée par son final, ou plutôt la trilogie d'épisodes consitituée par The Name/The Day/The Time of the Doctor.
La saison 8 offrait déjà une petite fraîcheur à la série, avec un Docteur plus âgé et bien moins confiant que celui de Matt Smith, mais tout aussi grandiloquent, et nous ayant offert des épisodes mémorables tels que Listen ou Mummy On The Orient Express.
Et là, la saison 9 a commencé à débarqué il y a de ça 3 mois environ, et que dire, si ce n'est que l'on a, à mon sens bien sûr, frôlé la perfection ! Oui oui, rien que ça !
Si l'on excepte l'épisode 9, Sleep No More, dans lequel on s'ennuie sévère, faut bien l'avouer, tous les autres sont excellents, on ne s'ennuie pas à les suivre, tout en s'interrogeant de plus en plus sur la nature du fameux "Hybride" dont on nous parle dès le premier épisode, et qui sera le fil rouge de cette saison !
Du côté des personnages, on trouve un Docteur plus confiant en lui-même, toujours aussi attachant, mais s'inquiétant pour une Clara n'ayant de cesse de toujours plus joué avec le feu.
En fait, pour faire simple, cette saison, c'est une véritable montagne russe pour vos émotions, tant vous passerez du rire aux larmes au fil des épisodes, mais je me tais, j'espère que vous apprécierez (avez apprécié ?) cette saison autant que j'ai pris de plaisir à la suivre ces derniers mois.
Soyons direct : la saison 7 était très mal rythmée et ses épisodes clairement en dessous du niveau des saisons précédentes, un tant soit peu sauvée par son final, ou plutôt la trilogie d'épisodes consitituée par The Name/The Day/The Time of the Doctor.
La saison 8 offrait déjà une petite fraîcheur à la série, avec un Docteur plus âgé et bien moins confiant que celui de Matt Smith, mais tout aussi grandiloquent, et nous ayant offert des épisodes mémorables tels que Listen ou Mummy On The Orient Express.
Et là, la saison 9 a commencé à débarqué il y a de ça 3 mois environ, et que dire, si ce n'est que l'on a, à mon sens bien sûr, frôlé la perfection ! Oui oui, rien que ça !
Si l'on excepte l'épisode 9, Sleep No More, dans lequel on s'ennuie sévère, faut bien l'avouer, tous les autres sont excellents, on ne s'ennuie pas à les suivre, tout en s'interrogeant de plus en plus sur la nature du fameux "Hybride" dont on nous parle dès le premier épisode, et qui sera le fil rouge de cette saison !
Du côté des personnages, on trouve un Docteur plus confiant en lui-même, toujours aussi attachant, mais s'inquiétant pour une Clara n'ayant de cesse de toujours plus joué avec le feu.
En fait, pour faire simple, cette saison, c'est une véritable montagne russe pour vos émotions, tant vous passerez du rire aux larmes au fil des épisodes, mais je me tais, j'espère que vous apprécierez (avez apprécié ?) cette saison autant que j'ai pris de plaisir à la suivre ces derniers mois.
tres bonne saison malgres l'episode de fin qui nous fait patienter jusqu'au 23 nov mais bon franchement ÉPOUSTOUFLANTE !!!