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Note moyenne
4,1
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Votre avis sur Doctor Who (2005) ?
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Décidément, on pourrait croire que la qualité des saisons de "Doctor Who" est en dents de scie. Après une saison 5 décevante et une saison 6 plus complexe mais exaltante, revoici une saison inégale qui risque de faire bouder les fans de la série. Et pour cette troisième et dernière saison avec Matt Smith, nous suivrons d'un côté les dernières aventures du couple Pond aux côtés du Docteur et de l'autre leur remplaçante, la nouvelle et fringante Clara Oswald, interprétée par Jenna-Louise Coleman, déjà vue dans le premier épisode de la saison. Une nouvelle équipière de choc qui va succéder à Amy et Rory, devenus un peu trop inutiles aux intrigues... La première partie reste très décevante, avec cinq péripéties classiques où le Docteur et ses amis vont aller dans divers endroits comme le Far West et sa petite ville confrontée à un cyborg, Londres et son invasion de mystérieux cubes noirs ou encore Manhattan et le retour des Anges Pleureurs. Des épisodes peu surprenants qui, après la continuité presque infaillible de la précédente saison, font pâle figure. Quant à la seconde partie, elle conserve le même schéma narratif, soit une succession d'épisodes détachés dont le seul élément commun est la présence de Clara, la nouvelle Who Girl diablement sexy qui va donner du fil à retordre au Docteur. Son existence étant petit à petit source de mystères, elle sera au cœur de l'intrigue de fond sans pour autant être mise au premier plan. Autant donc le dire de suite, cette ultime saison avec Matt Smith reste une fois encore décevante. Les péripéties sont très inégales et, malgré les habituelles références aux précédents épisodes de la série (surtout les plus anciens), on ne passe pas réellement un bon moment. Pourtant, la présence de Carla et son dynamisme nous font oublier le couple Pond en un rien de temps mais cela ne suffit pas : les scénarios sont pauvres, parfois incohérents, très mal montés et sans réel panache. Seuls l'épisode spécial de Noël "La Dame de Glace", le très bon "Le Cauchemar écarlate" et son atmosphère glaçante ainsi que l'épisode final, très riche en révélations et sans temps mort, valent concrètement le coup. C'est peu pour une saison finale et l'on sent que Steven Moffat tend à complexifier ses intrigues pour pallier à un manque évident d'idées soit neuves soit simples qui par conséquent perdent en efficacité. On ne va pas se voiler la face : il est temps de changer de Docteur !
Génial, jolie façon de découvrir cette série !! Je ne connaissais pas du tout et je dois dire que je vais m'empresser de regarder le début !
J'adore... Une série dans laquelle on ne s'ennuie jamais. On s'attache à chaque docteur l'un après l'autre, au point d'avoir une petite larme lors du passage au suivant. Bref, je suis fan
Les début de la série "Doctor Who" datant de... 1963, nul doute qu'elle a influencé bien des séries SF qui suivront les décennies suivantes jusqu'à aujourd'hui. Ne serait-ce que "Code Quantum". Les versions de 2005 ont nettement réactualisé l'ensemble. Acteurs principaux attachants, humour british (rien que l'idée du vaisseau du Doc, le Tardis, en forme de cabine de police), scénarios bien foutus, régularité dans la qualité des épisodes, sfx un peu kitsch mais bien dans le ton, B.O aux styles musicaux très éclectiques... . Cerise sur le gâteau, peu de place aux clichés que l'on retrouve dans la plupart des séries, américaines en particulier. "Doctor Who" est probablement la plus intéressante dans le rayon SF, en compagnie de X-Files bien entendu.
j'adore cette serie le seul defau est qu'ils n'ont pas su s'arreter a la fin de la saison 4.
La première série des années 60 était déjà une belle réussite, mais je dois avouer que celle-ci la surpasse de loin. La mise en scène est excellente, les épisodes sont tous plus intéressants les uns que les autres avec une vraie recherche et un développement des personnages. Je dirais que cette nouvelle série est plus développée sur le fond que la première et c’est un véritable plaisir. Le casting est également très bon, même si je garderais David Tennant comme le meilleur Docteur de la série. J’ai beaucoup aimé son jeu tout au long des trois saisons qu’il a fait.
Bref, une série que je conseille, c’est à voir.
Bref, une série que je conseille, c’est à voir.
Audrey L
Ma saison préférée, simplement pour le duo détonnant et hilarant du Dixième Docteur et de Rose, aussi charmants que complémentaires. David Tennant est mon Docteur préféré, il ne cesse d'avoir un humour jouissif, de courir dans tous les sens (combien de kilomètres a-t-il pu bien faire dans ces tournages marathoniens ?!) avec son célèbre par-dessus marron beige et ses répliques cultes ("Allons-y !", j'adore). Il est celui qui est le plus "humain" (si je peux dire) car il est profondément compatissant, touché par ce qui l'entoure et essaie toujours de garder le sourire dans les moments les plus dramatiques. David Tennant rend à la perfection cette dualité du cœur éternellement blessé mais toujours avec la joie de vivre pour continuer à faire le Bien, son sourire se mêle magnifiquement à ses larmes, le rendant très touchant. Billie Piper est ma compagne favorite car, loin de la blonde "clichée écervelée", elle prend réellement part à l'action et est tellement spontanée dans son attitude, le jeu de l'actrice se fait oublier immédiatement. Un brin de fille aussi fraiche qu'énergisante ! Les intrigues également sont mieux construites, plus soutenues par une musique mélancolique et une promesse de finitude qui pèse sur chaque épisode, se révélant plus mature et dramatique mêlé à la joie de chaque petite victoire. Et le final... J'avoue avoir pleuré lorsque
spoiler:
Rose fait ses adieux au Docteur. Un duo parfait se brisait, et ma compagne préférée disparaissait
, j'ai craqué devant une séquence émotion menée brillamment, avec une nostalgie des moments passés absolument touchante. L'épisode de l'école avec Sarah Jane Smith et K9, que de rires (les deux compagnes qui se moquent du Docteur comme de vraies ex qui complotent... délicieusement drôle !), ou encore le magnifique épisode du monde parallèle avec les cybermen dans lequel Mickey/Ricky prend de l'importance....et n'oublions pas nos chers Daleks, qui trouvent dans cette saison une superbe occasion d'envahir le monde et de se venger du Docteur. Une saison aussi émouvante qu'hilarante et entraînante, ma favorite !
, j'ai craqué devant une séquence émotion menée brillamment, avec une nostalgie des moments passés absolument touchante. L'épisode de l'école avec Sarah Jane Smith et K9, que de rires (les deux compagnes qui se moquent du Docteur comme de vraies ex qui complotent... délicieusement drôle !), ou encore le magnifique épisode du monde parallèle avec les cybermen dans lequel Mickey/Ricky prend de l'importance....et n'oublions pas nos chers Daleks, qui trouvent dans cette saison une superbe occasion d'envahir le monde et de se venger du Docteur. Une saison aussi émouvante qu'hilarante et entraînante, ma favorite !
Audrey L
La saison 6 est bien plus agréable à suivre que la S 5 : les personnages se sont enfin "calmés". Amy et Rory se sont mariés, donc fini de flirter avec le Doctor (séquences comiques qui étaient pour les gamins), et ce fameux Doctor qui est plus sérieux (sans excès) qu'avant. Toujours le mot pour rire (ce qui me frustre, personnellement, car j'attends un peu d'émotion sans pirouettes) mais au moins on ne s'ennuie pas. L'acteur Matt Smith commence à vraiment bien cerner son personnage (moins de facéties qu'avant, plus crédible), ce qui lui permet d'en jouer habilement : l'épisode "La Chair vivante" est excellent grâce à son double-jeu parfait (et pour une fois comique sans forcer). Les bons épisodes : en premier (pour ma part) "La Chair vivante" (le Doctor "Bis" m'a touchée et le revirement de situation est astucieux), "Terreurs Nocturnes" (aussi effrayant qu'émouvant à la fin), et la chute finale du dernier épisode (même si depuis, on s'enguirlande régulièrement entre fans sur le terme "d'épouse du Doctor", alors marié ou pas marié ? Chez nous, ça anime les soirées !). En revanche, un très mauvais épisode se détache du lot, "La Fille qui attendait" : le démarrage enchaîne les situations dignes d'un nanar (les garçons n'attendent pas Amy pour entrer dans la salle, ne lui précisent pas sur quel bouton ils ont appuyé, elle ne leur demande pas, elle rentre dans une salle sans voir personne dedans... Du grand n'importe quoi, décevant). De même qu'il y a des incohérences : on ne parle même plus des scénarios bordéliques (excusez le mot) comme "L'impossible Astronaute" ou le début du dernier épisode, mais de vraies incohérences. Par exemple : non, on ne peut pas arrêter le processus de transformation en Cybermen (cf les saisons précédentes, et surtout l'épisode saison 1 de Torchwood qui l'explique !), Mels / Melody qui vieillit au même rythme qu'Amy alors que les Time Lord sont "plus lents" (euphémisme)... Énervant : le Doctor qui ne sait / ne peut jamais rien faire (et se fait sauver par un élément extérieur), Rory et Amy qui meurent quasiment à chaque épisode et reviennent par des pirouettes scénaristiques qui deviennent vite épuisantes (on n'y croit plus...), et les "vues" de l'épisode suivant avant le générique qui dévoilent tout (cela devient un exercice de style d'attraper la télécommande quand on sent la fin arriver et de tenir "en joue" la télévision pour zapper ces spoilers...). Heureusement, les créatures du Silence sont géniales (ayant rencontré l'acteur qui est un chic type qui ne fait pas peur, lui !), quelques épisodes sont vraiment très agréables à regarder (je me répète, mais : La Chair Vivante et Terreurs Nocturnes), les personnages se sont enfin calmés, et Matt Smith est beaucoup plus à l'aise. Malgré les défauts ponctuels, c'est addictif, et "l'épouse" du Doctor anime nos soirées en de délicieux débats houleux depuis : alors, marié ou pas marié ?!.
Audrey L
15/20 : un peu en-deçà de la saison 6, principalement pour les scénarios qui sont assez bâclés, car les acteurs sont très bons et rodés dans la peau de leur personnage, avec de bonnes idées (le Doctor en pleine dualité dans Le Cyberplanificateur, fragile dans Le Cauchemar écarlate, une équipe de détectives amusants : Strax le Sontarian / Mme Vastra la Subterrienne / Jenny la Terrienne) et le suspens est à son comble vers la fin de la saison qui fleure la "mort" du Onzième Doctor... On note surtout l'un des meilleurs épisodes de la série entière : l'épisode du 50ème anniversaire (Le Jour des Docteurs) qui forme une incroyable équipe avec le 8ème / 10ème et 11ème Doctors, hilarants et complémentaires ! On sent que les acteurs s'éclatent, et nous avec. L'intrigue est vraiment humaine et le final altruiste, un épisode-hommage vraiment brillant ! L'épisode de Noël est agréable : un conte à la Narnia, avec un soupçon d'émotion et de morale écolo, c'est un bon début. Mais ensuite on enchaîne sur une flopée d'épisodes qui sont sympas dans le contenu de l'intrigue jusqu'à leur final raté (L'Asile des Daleks qui était émouvant pour le personnage de cette pauvre fille-Dalek mais dont la résolution tient sur un Post-It, L'Invasion des Cubes qui est bon jusqu'au petit
spoiler:
coup de tournevis sonique sur un tableau de bord
qui résout absolument toute cette Apocalypse... c'est facile la vie avec ces scénaristes...), et l'on trouve la plupart des épisodes dans ce cas : bonne intrigue, fin bâclée. On pense aux adieux avec Amy qui sont inexistants (très décevant, on s'attendait à de l'émotion qui dure, pas à une disparition en un claquement de doigts) et le remplacement au pied-levé par Clara se fait de façon balourde (elle s'impose alors que le Doctor la rejette) et sur une intrigue farfelue (le personnage étant décédé auparavant, on nous a pondu cette intrigue extravagante de la fille-qui-meurt-à-chaque-épisode-mais-revient-vivante-au-suivant... Que c'est facile, la vie, avec ces scénaristes !!!). Les adieux au Onzième Doctor sont loupés : intrigue bordélique (excusez le mot), un vieux papy gâteux incapable, sauvé par ceux qu'il n'a pas pu sauver, une scène d'adieux qui arrive comme un cheveu sur la soupe et ne dure que quelques instants, sans phrase mythique comme "I don't wanna go" (10è Doctor), non, juste un petit spoiler: coucou d'Amelia et un flash
, et voilà le Douzième Doctor. Même si les débuts de Matt Smith ne m'avaient pas convaincue (à cause des scénarios qu'il essuyait comme il pouvait), il avait su devenir cette version fofolle et dynamique du Doctor, qui méritait des adieux extraordinaires. J'aurai adoré des adieux "fun" pour lui ressembler jusqu'au bout et le quitter comme un vieil ami foufou.
qui résout absolument toute cette Apocalypse... c'est facile la vie avec ces scénaristes...), et l'on trouve la plupart des épisodes dans ce cas : bonne intrigue, fin bâclée. On pense aux adieux avec Amy qui sont inexistants (très décevant, on s'attendait à de l'émotion qui dure, pas à une disparition en un claquement de doigts) et le remplacement au pied-levé par Clara se fait de façon balourde (elle s'impose alors que le Doctor la rejette) et sur une intrigue farfelue (le personnage étant décédé auparavant, on nous a pondu cette intrigue extravagante de la fille-qui-meurt-à-chaque-épisode-mais-revient-vivante-au-suivant... Que c'est facile, la vie, avec ces scénaristes !!!). Les adieux au Onzième Doctor sont loupés : intrigue bordélique (excusez le mot), un vieux papy gâteux incapable, sauvé par ceux qu'il n'a pas pu sauver, une scène d'adieux qui arrive comme un cheveu sur la soupe et ne dure que quelques instants, sans phrase mythique comme "I don't wanna go" (10è Doctor), non, juste un petit spoiler: coucou d'Amelia et un flash
, et voilà le Douzième Doctor. Même si les débuts de Matt Smith ne m'avaient pas convaincue (à cause des scénarios qu'il essuyait comme il pouvait), il avait su devenir cette version fofolle et dynamique du Doctor, qui méritait des adieux extraordinaires. J'aurai adoré des adieux "fun" pour lui ressembler jusqu'au bout et le quitter comme un vieil ami foufou.
Audrey L
Un bon début accrocheur, une série sur laquelle je n'aurais pourtant pas parié un sou, et qui, après une succession d'épisodes regardés seule, en famille et entre amis, est devenue une de mes séries préférées. La saison 1 a bien failli me faire raccrocher ma veste de curieuse dans le premier épisode, tant je ne m'attendais pas à autant de décors et costumes "bricolés" (les Slitheens), à la limite du kitsch (un mot exagéré, certes). Mais après quelques épisodes passés en compagnie de Christopher Eccleston et de Billie Piper, le charme a opéré, et l'envie de voir évoluer ces deux personnages dans leurs incroyables aventures est devenue addictive. Le neuvième Docteur qu'est Eccleston n'est pas mon favori, mais ne me déplaît pas, il reste cohérent avec le personnage et forme un bon duo avec Rose (qui, elle, par contre, est pour moi la meilleure compagne que connaîtra le Docteur, j'en suis tombée directement sous le charme par sa fragilité, son répondant acerbe, et sa bonne humeur très communicative, ma préférée). Les intrigues sont originales (même si j'aurais limité un peu plus les réapparitions des Slitheens et de Daleks, qui semblent les éternels increvables !!!). L'épisode que j'ai préféré est celui qui se déroule dans les studios de reality-shows, car on nous montre bien quelles imbécilités on est capable de regarder...espérons tout de même que l'on n'en arrive pas à cette fin ! En parlant de fin, celle de ce neuvième Docteur (qui n'aura pas duré longtemps, dommage) est assez bien menée. Une première saison qui aura le mérite de m'avoir faite accrocher à une série que j'adore aujourd'hui, alors : merci.
Audrey L
La saison qui ne m'a pas embarquée malgré la présence délicieuse de mon Docteur préféré. Premièrement, la compagne qui remplace Rose (que j'adulais) ne m'a pas convaincue (attention cette critique n'a absolument rien à voir avec quelconque propos raciste, la compagne pourrait être violette à petits pois jaune que je n'en ferai pas la différence dans son jeu), mais elle est nettement moins pétillante, moins enthousiaste, et a même tendance à ralentir l'intrigue. Les intrigues sont d'ailleurs assez bizarres, dans le sens où elles ne sont plus haletantes comme auparavant, mais tombent dans un train-train futuriste qui, pour se renouveler, n'hésite pas à inclure des rebondissements énormes à l'improviste comme
spoiler:
le Docteur qui devient humain, qui apprend qu'il n'est pas le seul Seigneur du Temps
... Cela est vite devenu éreintant : à chaque épisode je transpirai de peur de voir arriver une énormité juste pour que le scénario se renouvelle ! Vraiment dommage, car pour la première fois, j'ai réussi à m'ennuyer dans certains épisodes...alors que je suis vraiment fan de la série. Mais cette saison ne m'a vraiment pas emballée, surtout avec cette musique pénible ! L'apogée de cette musique qui prend toute la place est l'épisode des "nouveaux Daleks" (que je n'ai pas apprécié car il fait partie de ces énormités précédemment décrites... le design du nouveau Dalek est immonde, ses dreadlocks ressemblent davantage à des organes masculins pendouillant... vraiment très classieux et effrayant...) car la musique qui répète inlassablement le mot "Daleks" couvre même les dialogues ! La même phrase répétée tout l'épisode, toujours la même mélodie non stop et trop fort... Vraiment, heureusement qu'il y avait Tennant (moins en forme que d'habitude, d'ailleurs) que j'adule, car autrement la saison 3 de Doctor Who n'est pas aussi attrayante que les précédentes.
... Cela est vite devenu éreintant : à chaque épisode je transpirai de peur de voir arriver une énormité juste pour que le scénario se renouvelle ! Vraiment dommage, car pour la première fois, j'ai réussi à m'ennuyer dans certains épisodes...alors que je suis vraiment fan de la série. Mais cette saison ne m'a vraiment pas emballée, surtout avec cette musique pénible ! L'apogée de cette musique qui prend toute la place est l'épisode des "nouveaux Daleks" (que je n'ai pas apprécié car il fait partie de ces énormités précédemment décrites... le design du nouveau Dalek est immonde, ses dreadlocks ressemblent davantage à des organes masculins pendouillant... vraiment très classieux et effrayant...) car la musique qui répète inlassablement le mot "Daleks" couvre même les dialogues ! La même phrase répétée tout l'épisode, toujours la même mélodie non stop et trop fort... Vraiment, heureusement qu'il y avait Tennant (moins en forme que d'habitude, d'ailleurs) que j'adule, car autrement la saison 3 de Doctor Who n'est pas aussi attrayante que les précédentes.
Audrey L
La deuxième saison que je préfère après la 2 (justement...) grâce à mon Docteur préféré qui retrouve une compagne hilarante en la personne de Donna Noble. Au départ, l'annonce de cette compagne m'avait exaspérée car je l'avais trouvée beaucoup trop criarde dans l'épisode spécial "La Mariée de Noël" dans lequel on la découvre, j'avais donc imaginé une saison entière remplie de cris en tous genres...mais non. Les cris sont devenus plus posés, pour ressembler à de la colère, qui se déverse souvent sur notre pauvre Docteur qui en fait les frais pour notre plus grande hilarité ! Et le fait qu'ils soient constamment pris pour un couple, à mourir de rire ! Les intrigues sont redevenues passionnantes et menées tambour battant jusqu'à des finaux haletants de suspens et de tragédies frôlées ! Le duo Dixième Docteur et Donna Noble fonctionne finalement très bien, et les nouvelles réapparitions de Rose font vite baver la fan que je suis... Le final était jouissif, mais la fin du Docteur se situe en réalité dans les épisodes spéciaux qui se situent entre la quatrième et la cinquième saison. Et bon sang ce que j'ai pu pleurer pour la fin de mon Docteur préféré, j'ai eu du mal à m'en remettre, mais il termine de la meilleure façon qui soit, en totale adéquation avec sa personnalité de l'acteur sensible et touchant (
spoiler:
le dixième Docteur n'avait jamais cessé de répéter depuis sa réincarnation qu'il ne périrait pas pour un humain, qu'un humain n'avait pas autant d'importance que l'Univers ou même d'un Seigneur du Temps, mais sans jamais nous en convaincre, le jeu d'acteur de David Tennant et sa larme émouvante à l’œil nous faisaient bien comprendre qu'il pensait toujours le contraire... Quoi de plus logique et beau de le faire se sacrifier pour un seul humain ? Modeste et tellement magnifique, montrant bien la richesse de la vie en chaque être vivant
). Une fin très émouvante et magnifique pour mon chouchou de Dixième Docteur qui m'aura faite rêver à mille possibles, et que je revisionnerai avec le plus grand plaisir et une belle nostalgie.
). Une fin très émouvante et magnifique pour mon chouchou de Dixième Docteur qui m'aura faite rêver à mille possibles, et que je revisionnerai avec le plus grand plaisir et une belle nostalgie.
Audrey L
Tout change, pour le meilleur comme pour le pire. Les avantages : la mise en scène est élaborée, les effets spéciaux sont très bons, la finition de l'image (filtre, décors, lumière...) est maîtrisée et les costumes sont somptueux (les Intra-terrestres). Ajoutez à ces bons points un épisode avec Van Gogh très réussi, et des guests (Bill Nighy, James Corden...). Un tout nouveau générique, dont le visuel et la musique ont changé pour se faire moins orchestraux (dommage, pour ma part) et plus sombres. Tout nouveau Doctor, en lieu et place de mon favori David Tennant, en la personne de Matt Smith. Personnellement, il ne m'emballe pas, n'en déplaise aux fans (mais plutôt à cause du scénario qui le rend ridicule et gamin qu'à cause de l'acteur Matt Smith, qui est solaire et plein d'entrain). Toujours en train de cabotiner, de plonger dans les blagues faciles que l'on devine trois minutes avant qu'elles ne surviennent, de faire exprès de se démarquer des anciens Doctors (la découverte du onzième corps est laborieuse et ne sert que de suite de gags...), et surtout, il ne sait jamais rien faire ! J'ai failli tomber de mon fauteuil en découvrant ce Docteur que je surnomme l'Incapable : il s'avoue souvent dépassé par la situation, laisse Amy se faire prendre dans tous les pièges possibles dès qu'il s'éloigne cinq minutes, et il ne gère jamais la situation (il manque de périr à chaque épisode et n'en échappe souvent que par un facteur extérieur qui ne dépend pas de lui... une vraie jouvencelle en détresse, mais qui cause la mort de bien des personnes autour de lui sans jamais savoir faire autre chose que dire des "Sorry" à tout-va !). De plus, l'humour est franchement pénible : il y en beaucoup trop, on perd le côté sérieux voire mature de la série pour se rapprocher des envies puériles de rire toutes les deux secondes, quitte à ne plus retrouver l'action et surtout l'émotion (Tennant était le parfait émotif, et ici c'est la froideur...). De même que je préfère largement les anciennes compagnes du Doctor à Amy, qui est soit la jeune fille frivole qui embrasse le Doctor en oubliant son fiancé (le bouche-trou qui sert seulement de base à - encore - une flopée de gags et
spoiler:
dont la "mort" est bâclée !
), ou une pauvre fille apeurée qui se fait enlever toutes les deux secondes et qu'il faut secourir... Pour la modernité qu'offrait le caractère impulsif de Rose, on repassera... Bref, une image et des scénarios très élaborés, avec des changements qui plairont à certains, mais pour moi un duo de "Pas doués"...
), ou une pauvre fille apeurée qui se fait enlever toutes les deux secondes et qu'il faut secourir... Pour la modernité qu'offrait le caractère impulsif de Rose, on repassera... Bref, une image et des scénarios très élaborés, avec des changements qui plairont à certains, mais pour moi un duo de "Pas doués"...
Cet épisode m'a bluffé. Vraiment. Comme le titre l'indique il est centré sur les Daleks. J'ai connu ces derniers dans Genesis of the Daleks (merci la nuit Doctor Who) et je n'avais pas véritablement accroché à ces ennemis redoutables pourtant devenus cultes. Cet épisode 6 m'a radicalement fait changer d'avis. Les cinq épisodes précédents celui-ci étaient sympathiques mais d'un niveau plutôt inégal et le tout était traité avec beaucoup de légèreté. Pour tout dire je trouve cette première saison de Doctor Who nouvelle génération assez moyenne, il y a de bonnes idées mais ce n'est pas toujours bien exploité. Mais alors cet épisode 6 est à la limite du génie. C'est clairement, à mes yeux, le meilleur épisode de la saison, je le trouve presque parfait. Déjà parce qu'il y a une réelle tension dramatique et de l'émotion, on laisse de côté l'humour, les pitreries et les choses assez grotesques (oui parce que bon, les épisodes 4 et 5 c'était quand même du grand n'importe quoi), mais aussi parce que les scénaristes ont fait une chose à laquelle je ne m'attendais pas...ils ont développés la psychologie d'un Dalek. Quand on voit cette grosse boîte de conserve appelée Dalek, on a tendance à oublier que le Dalek c'est ce qu'il y a à l'intérieur. Un Dalek est un être vivant, pas un simple robot, et c'est là que l'épisode exploite ce détail avec génie. Entre le Docteur qui veut se venger et exterminer le Dalek survivant, et ce Dalek déboussolé qui se pose des questions sur sa raison d'être...c'est profond, fort et passionnant. D'ailleurs il y a beaucoup de parallèles entre le Docteur et le Dalek dans cet épisode, on a tendance dans plusieurs passages à montrer que sur certains aspects ils se ressemblent. La fin de l'épisode, avec le Dalek qui décide de prendre un bain de soleil avant de mourir, c'était beau et inattendu. Alors que les scénaristes auraient pu utiliser le Dalek comme une simple machine bonne à exterminer tout ce qui bouge, comme ils le font pendant une partie de l'épisode, ils ont décidé d'aller plus loin, de montrer ce qui se cachait sous la carapace. Merci Doctor Who.
Doctor Who est ma série préférée, les acteurs sont géniaux. David Tennant et Billie Piper sont un duo remarquable !