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gunbuster
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Critique de la série
0,5
Publiée le 1 juin 2009
Cette série nous raconte en 6 petits OAV la vie de Yota, avec son échec amoureux auprès de Moemi, qui elle, est tombée amoureuse de son meilleur ami Takashi. Effondré par cet évènement, il rentre dans un vidéo-club et loue une VHS (on est en 1992!) intitulé "Vidéo Girl Ai". Ai, la 'vidéo girl' sort de son écran et va essayer de conforter le cœur brisé de notre héros. On a droit à de la pure romance, peu d'humour, pas d'ecchi, peu de développement des personnages (il n'y en a pourtant que quatre), même si la série a le bonheur de nous épargner la niaiserie et la mièvrerie ou l'excès de larmoyant de ses confrères. Malgré une bonne idée de départ, l'animé déçoit car ses auteurs ne savent pas nous faire partager vraiment les émotions contradictoires et poignantes de ces amourettes de lycéens. L'image a salement vieillie, les couleurs sont délavées. Il manque une réelle énergie et une vraie dynamique pour que cette série soit réussie. Elle imposera par son succès au Japon, le schéma devenu classique où un jeune homme ordinaire découvre et héberge une jeune fille extraordinaire (extra-terrestre, dotés de pouvoirs ou autre), les deux se mettant à vivre ensemble et à développer une romance, les personnages évoluent en même temps que l'histoire d'amour avec un final souvent tragique ou dramatique. On pense immédiatement au remake Ah! My Goddess. Pour la petite anecdote, on retrouve quelques 'trucs' de mise en scène qu'à repris à son compte Hideaki Anno dans ses propres séries.
Plus que 6 OAV, Vidéo girl est aussi un manga " papier de 15 volumes !"spoiler:
Je n'exagère pas en disant que Vidéo girl est un Must dans son genre. Surtout pour une série des années 90!! Une histoire d'amourspoiler: (avec un zeste d'ecchi) mais un vrai régale. Du rire aux pleures, Vidéo girl vous fera j'en suis sûre, sauter du rire aux larmes.