Avis The Big O

Chef d'oeuvre méconnu de l'animation japonaise, plutôt destiné au marché occidental donc logiquement boudé dans son pays d'origine, The Big O est au confluent de multiples inspirations, qu'il sublime avec brio au fil des deux saisons. On notera un design et une direction artistique magistrale, inspirée du genre film noir mais aussi du style neo-gothique de Batman the Animated series (excusez du peu!), d'une animation de haute volée et d'un gros travail sur l'ambiance et la musique. Le tout servant une intrigue originale et surtout un finish assez barré (compréhensible cela-dit). Excellent moment passé en compagnie de Roger Smith et de son Megadeus, une série à classer dans les incontournables au même titre qu'Evangelion et Escaflowne.

Cette série animée produite pour les américains reprends malheureusement toutes les "facilités" de l'animation japonaise, vraie Images d'Épinal sur pattes,
Allant des villes d'une futur proche ayant subi une catastrophe il y a 40 ans, un justicier qui va sauver le monde avec un grand robot sorti de nulle part, des missions répétitives et l'absence de tout développement des personnages.
On retrouve également des "emprunts" à bon nombre d'autres séries (comprendre qu'avoir vu ces séries et ces films est bien, mais il faut s'en inspirer, pas copier, petit scarabée), la principale, Batman (ça crève les yeux)
Ainsi que Goldorak par le simplisme des situations faisant toujours combattre de gros robots ou des monstres mutants gigantesques, à l'issue prévisible et à l'action dénuée de tension.
Comme la série est destinée aux gosses, ceux-ci sont incapable d'y voir les "influences" et l'absence évidente de créativité et d'originalité du réalisateur.
On regrettera également l'absence de constance dans la qualité de l'animation, me rappelant tristement par moments les séries de mon enfance (type Belle & Sébastien), donc ça fait mal aux yeux, voir par le dessin de Angel, les personnages féminins de Albator 78...

Chef d'oeuvre méconnu de l'animation japonaise, plutôt destiné au marché occidental donc logiquement boudé dans son pays d'origine, The Big O est au confluent de multiples inspirations, qu'il sublime avec brio au fil des deux saisons. On notera un design et une direction artistique magistrale, inspirée du genre film noir mais aussi du style neo-gothique de Batman the Animated series (excusez du peu!), d'une animation de haute volée et d'un gros travail sur l'ambiance et la musique. Le tout servant une intrigue originale et surtout un finish assez barré (compréhensible cela-dit). Excellent moment passé en compagnie de Roger Smith et de son Megadeus, une série à classer dans les incontournables au même titre qu'Evangelion et Escaflowne.

Chef d'oeuvre bien trop méconnu. Aucune série n'est arrivé à me procurer autant d'émotions. Le scénario lovecraftien est dantesque et les quelques emprunts fait à d'autres séries s'insèrent subtilement dans le fil de la trame. We have come to terms

un peu pompé sur "goldorak" mais sinon pa mal du tout , c'est a la fois pleins d'actions et de mystère

Une série d'animation produite par Sunrise qui semble avoir été oublié et qui mériterait plus de reconnaissance, ce petit bijou mélange différents genres du film noir aux mecha d'une façon bien maitrisée. Un des plus gros point fort de The Big O est sa bande son qui sublime et vient parfaire l'ambiance de mystère qui plane sur Paradigm City, la ville amnésique. Cette série ne plaira pas à tous justement du fait que beaucoup de mystères restent entiers et ce même lors de la conclusion aux multiples révélations de la deuxième saison et peut paraître incomplète pour quelqu'un qui apprécie avoir des réponses à tout.