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    The West Wing : À la Maison blanche
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    68 critiques spectateurs

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    cylon86
    cylon86

    2 504 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    4,0
    Publiée le 21 décembre 2016
    Après une cinquième saison qui tournait un peu en rond et qui pâtissait du départ d'Aaron Sorkin, les scénaristes de "A la Maison Blanche" se sont lancés de nouveaux défis. Pour redonner de l'intérêt et de la saveur à la série, ils gardent évidemment tout ce qui fait son sel (problèmes politiques variés, dialogues aiguisés) mais ajoutent de nouveaux enjeux et de nouveaux personnages, bousculant la routine à laquelle on commençait à s'habituer. Ca commence rapidement avec la montée en grade de CJ et puis dans la deuxième partie, voilà que Josh s'en va soutenir un candidat démocrate pour la présidence alors que le règne de Bartlet touche à sa fin et que sa maladie empire. Avec toute une foule de personnages qui bougent et évoluent ainsi que de nouveaux venus (Jimmy Smits et Alan Alda, tous deux très charismatiques mais aussi la très drôle Kristin Chenoweth), cette sixième saison est celle qui fait le plus évoluer la série, qui la sort hors de sa zone de confort quitte, du coup, à passer moins de temps au sein de la Maison Blanche et plus sur le terrain avec Josh et son candidat mais aussi Will et le sien. Cela résulte de 22 épisodes de qualité, aux enjeux variés mais toujours aussi passionnants, la série sachant aborder une foule de problèmes internationaux (notamment le conflit israelo-palestinien) avec intelligence, oscillant sans cesse entre gravité et humour. Mais "A la Maison Blanche" sait aussi s'arrêter sur des problèmes plus personnels qui rongent nos personnages : leurs peurs, leurs envies, leurs idées et parfois leur égoïsme. Tous profondément humains et attachants, ils apportent à cette saison son lot de temps forts qui laissent espérer une dernière saison de haut vol.
    cylon86
    cylon86

    2 504 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    4,0
    Publiée le 5 avril 2016
    Deuxième saison pour "A la Maison Blanche" qui commence très fort en nous montrant les conséquences directes du cliffhanger de fin de saison 1. C'est très fort et très intense pendant quelques épisodes puis la série retrouve son rythme de croisière, s'attachant énormément à ses personnages (tous interprétés par des acteurs impeccables) et les montrant sans cesse en conflit pour imposer leurs idéaux. Puisque Aaron Sorkin est au scénario de quasiment chaque épisode, c'est forcément brillant. Les répliques fusent avec verve et intelligence, permettant de développer des sujets complexes (le racisme, les problèmes de drogue, la politique d'intervention à l'international) et de compléter des portraits de personnages qui ne manquent pas de piquant avec leurs paradoxes et toutes leurs envies. Il faut d'ailleurs souligner qu'en plus d'aborder de manière très sérieuse des sujets qui le sont tout autant, la série manie l'humour avec brio. Car oui, on rit devant "A la Maison Blanche". Il y a toujours une situation (un oubli de Sam, une chute de Josh) pour se relaxer brièvement avant que les choses sérieuses ne reprennent et en ce sens les échanges entre Donna et Josh sont particulièrement savoureux et en disent long sur une relation qui n'est pas aussi simple que ça. Et puis en fin de saison, la série se met à ajouter une couche personnelle en plus du politique alors que Bartlet doit annoncer publiquement la maladie qu'il a caché, qu'il fait face au décès d'un proche et qu'il hésite à se représenter pour un second moment. A ce niveau-là, la saison fait fort et nous offre cinq derniers épisodes bourrés de tension et d'émotions, se concluant sur un beau final souligné par "Brothers in Arms" de Dire Straits. Et à ce moment-là, on se dit vivement la saison 3.
    NeoLain
    NeoLain

    4 935 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 27 mars 2008
    On a d'abord du mal à trouver des repères qui nous permettraient de nous attacher aux personnages, mais dans l'ensemble est térriblement crédibles. Captivant de bout en bout, à condition de bien vouloir suivre des dialogues d'une rare intensité, c'est passionnant. Des rebondissements politiques et humains souvent réussis. Cette série attaque de front et sans manichéisme les sujets les plus chauds.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 354 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 21 mai 2016
    A la Maison Blanche est la série politique qui aura le plus perdurée. Et pour cause, son format léger nous plonge avec délectation dans un gouvernement démocrate en quête d’améliorer son pays. Pendant deux mandats nous suivons le Président Bartlet et son équipe sur ses stratégies, ses combats, ses discours et aussi la vie privée de chacun. Chaque personnage a un talent indiscutable et fort appréciable. L’humour est toujours présent et cela n’enlève rien à situations dramatiques marquées par certains épisodes poignants. Série culte.
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    Shiba Otoko
    Shiba Otoko

    46 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 28 septembre 2021
    Avec la meilleure volonté, on s'ennuie. Ni documentaire, ni fiction vraiment imaginative, on peine à rentrer dans cet univers. La Maison Blanche réelle sous Bill Clinton devait être plus pittoresque et animée.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 27 juin 2007
    Une éxellente série refletant parfaitement la politique américaine. Des acteurs formidables, des scénarii inspirés et une mise en scène parfaitement fluide. Une série formidable!!
    Stéphane Candas
    Stéphane Candas

    83 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 31 juillet 2012
    c'est la série qui rend intéressant et compréhensible la politique
    Fitzcairn
    Fitzcairn

    51 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 18 décembre 2006
    The west Wing represente ce qui ce fait de mieux outre atlantique parmi les série télé américaines.
    Aaron Sorkin à créer une série formidablement bien écrite avec des scenarios à la fois droles et intelligents qui s'averent souvent tres instructifs sur les coulisses de la politique américaine.
    Le tout orcherstré par une vrai mise en scene magistrale et des acteurs de qualité et vous obtenez une vrai référence en la matiere et qui l'eu crut au départ que une série sur la politique soit aussi passionante. Et pourtant c'est un vrai plaisir de regarder une série enfin intelligente et qui ne prend pas le spectateur pour un idiot.A voir absolument en VO pour profiter pleinement des dialogues savoureux de la fine équipe d'A la Maison Blanche !
    Saint-Just2
    Saint-Just2

    8 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 4
    4,5
    Publiée le 18 décembre 2014
    La course à la présidence entre dans sa phase finale: la liste Bartlet/Hoynes tente de mettre tous les atouts de son côté tandis que les conseillers sont sur le qui-vive, taraudés par la crainte que le public découvre la manière dont a été résolue l'affaire du Qumar et avides de répondre aux attentes du peuple américain, ce qui va faire découvrir à Sam un brillant conseiller en communication (Will Bailey [Joshua Malina]) qu'il va faire entrer à la Maison Blanche. Les démocrates vont subir des fortunes électorales diverses: une magnifique victoire et une cinglante défaite seront au programme. Parallèlement un personnage principal va se retirer, un autre va arriver, et l'équilibre fragilisé va être particulièrement mis à mal par un terrifiant et terrible final...

    Partie en trombe, la saison 4 va assez brutalement baisser d'intensité et se recentrer énormément sur les personnages, sans pour autant perdre son verbiage et sa "nervosité" (vue en particulier dans l'épisode de noël où Josh s'obstinera à défendre l'honneur d'une Donna très fragilisée...et y réussira dans une scène aussi hilarante que touchante). Pas de doute: cette saison ravira les fans de C.J. La filiforme chargée de presse aura droit au seul épisode intimiste de toute la série (pas le meilleur pour sûr, mais le plus original dans la forme) et semblera rester dans son rôle lorsque le spoiler: départ de Sam
    redistribuera les cartes de l'équipe (au niveau moral et caractériel s'entend). Un peu déroutante vers le milieu cette saison aurait pu être la moins bonne de toute la série mais Aaron Sorkin est un génie et offrira un final sensationnel qui justifiera d'un coup les diverses intrigues personnelles de la saison: en fait tout était prévu, planifié, et en quelques épisodes (les derniers) un terrible sentiment de compassion va nous prendre pour un personnage qui va d'un seul coup revêtir des habits de quasi-martyr politique spoiler: _surtout après le départ sacrificiel de Sam_
    auquel va succéder un choc terrible qui reprendra un épisode de la saison 1 pour le "concrétiser" factuellement. Un cliffanger fantastique, ultra-noir, qui va changer la face de la série. Saison pivot, la 4 va remplir son rôle avec brio... Mais à quand la suivante?!.
    Saint-Just2
    Saint-Just2

    8 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    5,0
    Publiée le 18 décembre 2014
    Si le président est ressorti indemne de la fusillade qui a clôturé la saison 1, Josh a bien failli y laisser la vie... L'équipe présidentielle se remet pourtant assez vite au boulot, négociant et parfois s'entendant avec les Républicains (une brillante républicaine va même travailler à la Maison Blanche et nouer des rapports espiègles [en forme de rivalité sans animosité] avec Sam). L'arc de la saison sont d'ailleurs bien ces rapports entre les deux partis au moment de négocier et de faire passer les lois, avec ce que ça peut donner de surprises bonnes ou mauvaises... Une attaque en règle des républicains qui prend de court Léo et Toby annonce la fin de "l'union sacrée" et le début _précoce_ de la campagne présidentielle. Et la maladie du président qu'il avait soigneusement cachée à tous éclabousse et met soudain en danger toute son administration: doit-il se représenter?.. un imprévu tragique remet totalement en question la réponse qu'il avait arrêtée.

    Aussi vivante et enjouée que la saison 1, la saison 2 fait néanmoins un peu plus la part belle à certains personnages qui nous dévoilent une face qu'on ne leur connaissait pas aussi développée (la répartie assassine de Toby et sa manie d'appeler Sam du bureau à-côté avec une balle de base-ball, la fragilité personnelle de Josh à qui la fusillade initiale a ranimé de vielles blessures, le coeur d'or de Sam et l'incisivité de son intelligence qui parfois se révèlent dichotomiques...). Parallèlement, alors que la politique politicienne commence à entrer en ligne de compte, cette saison donne une importance plus forte aux secrétaires...et dévoile les sentiments qu'éprouve Donna (dont le personnage devient de plus en plus perçant sans pour autant perdre une certaine naïveté) pour Josh: on en reparlera... Mais c'est aussi la première qui tue un personnage récurent. Le dernier épisode est au-delà des mots: c'est le plus extraordinaire moment de télévision que j'aie jamais vu (avec à la fin la chanson "Brothers in arms" de Dire Straits orchestrant LA scène de la série). Bien évidemment avec un cliffanger pareil vous ne pourrez faire qu'une seule chose: foncer regarder la suivante...
    Saint-Just2
    Saint-Just2

    8 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 18 décembre 2014
    En place depuis un peu plus d'un an, le président démocrate Bartlet et son administration affrontent les affres de la politique, ses difficultés, ses compromis, ses impasses et ses moments de gloire... L'équipe, très soudée, a de multiples caractères et si chacun est dévoué corps et âme à son travail les cordes sensibles de chacun sont parfois éprouvées. Homme ultra-cultivé, progressiste et charismatique le président en impose à tous mais à trop vouloir bien faire on risque de s'amollir: alors il faut que Léo donne un coup de pied à la fourmilière, il faut que C.J. protège tout ce beau monde des journalistes à l'affut (par chance le meilleur de tous, le plus malin, est amoureux d'elle et l'aide souvent à anticiper les mauvaises surprises...), il faut aussi agir en fonction des imprévus et des vies privées de chacun (l'alcoolisme de Léo, l'idéalisme de Sam qui pense pouvoir aider une call-girl en toute amitié, l'aventure amoureuse entre l'assistant noir du président [Charlie] et sa fille cadette); il faut aussi tenir compte de l'ambigu vice-président et d'une façon générale il s'agit de trouver un équilibre entre l'éthique et les nécessités de la politique...

    Cette première saison annonce la série toute entière: elle est monumentale! Jonglant entre le drame et la comédie tout en demeurant extrêmement réaliste, elle affiche sans honte ni manichéisme à deux sous son militantisme. Les personnages sont tous au maximum de leur potentiel tout en gardant beaucoup à nous réserver. A noter néanmoins une chose: après un début en force le personnage de Mandy (Moira Kelly) perd peu à peu de l'importance: on ne la reverra pas dans les saisons qui suivent et ça ne va poser aucun problème (ce n'est pas subit: c'est au fil des épisodes qu'elle perd peu à peu de sa substance). Des moments d'un autre monde parsèment cette saison (le premier épisode, la réflexion [condamnation] sur la peine de mort, l'épisode trois dans son ensemble, la nomination d'un juge latino à la Cour Suprême...). Le cliffanger est irrésistible... On en redemande encore et encore et encore... Et pas question, à aucun moment, de se sentir largué: le miracle de cette série _miracle qui commence dès les premières minutes_ est bien que tout le monde suit sans problème des rouages compliqués sans aucune vulgarisation ni raccourci. Le bonheur est complet...et il va durer...
    Saint-Just2
    Saint-Just2

    8 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 3
    5,0
    Publiée le 18 décembre 2014
    Le cliffanger précédent annonçait un début de saison en trombe mais dix jours avant la diffusion les attentats du 11 septembre changent la donne. En moins de deux semaines un épisode à part est écrit et joué, dont les bénéfices sont reversés aux pompiers de New-York. Fabuleux cours d'éducation civique engagée, cette perle inoubliable remonte aux origines du terrorisme religieux et délivre, dans une Amérique qui ne jure que par la vengeance, un fantastique message de tolérance sans mièvrerie ni raccourci: un bonheur incroyable au culot inimaginable...

    Le président a décidé de se représenter mais il doit faire face à son équipe qui s'estime légitimement trahie... La pression devient intenable et même C.J. craque et se plante dans la communication. Les tensions s'apaisent néanmoins et une triple bataille commence: faire face à la commission d'enquête totalement républicaine, amorcer la campagne présidentielle en s'entourant de conseillers spécialistes qui heurtent parfois la morale (comme le brillant Bruno Gianelli [Ron Silver]), et enfin tout bonnement continuer à travailler pour le pays. Cette saison mettra plus l'accent sur les partenaires traditionnels des démocrates: les écologistes, les féministes, etc... Une idylle aura lieu entre la leader des féministes (Amy Gardner [Marie-Louise Parker]) et Josh. C'est d'ailleurs directement en rapport avec la condition des femmes que le président sera amené à prendre une décision terrible qui risque d'avoir d'énormes conséquences diplomatiques. Parallèlement C.J. recevra des menaces de mort et sera protégée par un agent spécial (Simon Donovan [Mark Harmon]) dont elle tombera amoureuse. Les amours de Donna seront plus compliqués mais elle pourra compter sur le soutient de Josh qui fera ce qu''il faut pour la protéger.

    Si le temps passe et amène avec lui d'autres enjeux la "dream team" est toujours en place, plus aguerrie que jamais. Après des débuts plus lourds au niveau de l'ambiance l'atmosphère se déridera et on aura droit à de fabuleux moments comiques. De même les rapports entre le président et son équipe s'affineront, en particulier quand il dira son avenir à moyen terme à Sam... Le cliffanger, diplomatique, est une perle d'images en clair-obscur, en jeux d'ombres, et comme l'élection n'est toujours pas entrée dans son sprint final on attend toujours en trépignant que vienne la prochaine saison...
    Eric Avis
    Eric Avis

    2 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 17 février 2024
    La meilleure série politique de tous les temps (2.9/5 au moment où j'écris, c'est à peine croyable ?!)
    Une écriture au rasoir, un humour permanent, certains épisodes sont des merveilles absolus (les Suprêmes).
    Incroyable le nombre de situations abordées, il m'arrive de me référer à cette série !
    Bien sûr c'est un monde politique un peu idéalisé avec des personnes toutes compétentes et où le choix retenu sera toujours celui favorable à l'interêt général, ou ce que l'on croit l'être, et non un gain politique immédiat.
    Le casting est éblouissant et les acteurs sont tous au meilleur de leurs performances, nombreux vu ailleurs ensuite ont déçu, c'est dire.
    STEPSTEPSTEP
    STEPSTEPSTEP

    4 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 1 décembre 2009
    quel ennui ,j ai jamais accroche ...et pourtant j ai essaye .
    Théorème
    Théorème

    9 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 14 juillet 2017
    C'est une série très dialoguée, avec des codes qui ont inspiré d'autres réalisations dans les années 2000 (la discussion en marchant par exemple). Plusieurs intrigues dans un épisode, un casting exceptionnel, la reconstitution de la Maison Blanche comme si vous y étiez...
    Très réaliste, très politique, très culte !
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