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Note moyenne
4,2
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Votre avis sur Community ?
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Cette sitcom renouvelle efficacement le genre,en s'adressant à des geeks pointus ou nostalgiques,qui se régaleront des références incessantes à la pop culture des années 80 et 90. Attention,ce n'est pas une série du même genre "The Big Bang Theory". "Community" se fait un devoir d'y aller à fond dans le non-sens,le burlesque,le loufoque en créant des situations dingues dans cette fac publique. Les épisodes à thème sont les plus géniaux. Quel inventivité dans les parties de paintball! ou dans les épisodes animés! Ou dans ceux ayant pour cadre Noël,Halloween et la Saint-Valentin. De plus,la série met les pieds dans le plat avec un humour ravageur,sur des sujets polémiques comme le racisme,l'homophobie,la folie... Côté personnages,les sept(voire 9 si on compte le frappadingue Chang et le doyen libidineux Duncan)sont tous des archétypes,avec lesquels jouent constamment les scénaristes. Jeff l'égoïste élitiste,Britta l'altermondialiste un peu cruche,Abed le nerd irrécupérable,Troy son meilleur pote en plein coming-out,Pierce le millionnaire décalqué,Shirley la bigote à la double voix et Annie la première de classe pas si sage que ça. Tous nous font passer des moments mémorables,sans fil narratif conducteur,mais avec un délire communicatif et des valeurs amicales mises en avant.
gimliamideselfes
J'avais beaucoup entendu parler de Community et en bien... Il me fallait un support sonore pour mes parties de Football Manager 2015, j'ai donc lancé la série en petit dans un coin de l'écran et franchement le pilote m'a fait rire à plusieurs reprises, ça s'annonçait plutôt bon. Parce que avouons le, l'avantage d'une série par rapport au cinéma c'est de retrouver des personnages que l'on aime, dans ses situations semblables mais à chaque fois plus inventives. Je pense à The Office US où c'est grosso modo que ça et où c'est très bien fait. Bon on des personnages un peu clichés, la noire chrétienne, le vieux fou, le noir sportif, le mec bizarre, la fille coincée, la fille bonne et le perso principal beau gosse, etc. Mais franchement la sauce prend très bien, et j'aime particulièrement le personnage principal, son cynisme et ses répliques me font parfois penser à ce que je peux dire moi-même.
Seulement voilà, bien vite on te sort ce truc horrible qui vient pourrir environ 99% de ce qui sort aux USA : la famille. Ils se considèrent comme une famille, c'est mièvre et peu intéressant. Pourtant malgré ça la première saison m'a fait énormément rire, j'aimais les personnages, l'humour référentiel, le ton cynique et blasé du héros mais surtout le côté université. Il y a des cours, on fait avec cette routine pour faire des gags. Parce que ce n'est jamais aussi drôle que lorsque c'est basé sur du réel un peu exagéré.
Mais la suite, pour tout dire, j'ai arrêté à la moitié de la saison 3 et je ne sais pas si je reprendrai... J'ai ri autant dans toute la saison 2 que je riais avant dans un épisode de la saison 1... Alors oui, c'est plus méta, mais c'est pas drôle pour autant. Je veux dire on perd un côté très premier degré des relations entre les personnages qui était malgré tout rafraichissant, on perd le côté banal des situations qui donnait un charme...
Là on a que des situations extraordinaires qui sont inintéressantes et dans lesquelles l'humour est forcé.
En gros ça prend une tournure qui ne me fait pas rire, qui ne m'intéresse pas et qui m'ennuie. On s'intéresse beaucoup moins aux relations entre les personnages qu'avant... alors c'est certes cliché, mais avoir une vraie romance qui s'installe par exemple... des vrais rivalités... des vrais duos chocs...
Ils ont flingué leur concept en péchant par excès. Ils ont voulu trop en faire et ça n'a rien donné...
Ah et les épisodes sont pour beaucoup réalisés par les frangins Russo qui ont fait Captain America... On comprend mieux la débâcle... Passer d'une sitcom pas forcément très bien filmé et qui n'en a pas besoin fondamentalement à un blockbuster XXL (je sais qu'ils ont fait d'autres trucs), on sent bien que Marvel voulait des yesman sans talent.
En gros il vaut mieux faire simple et aller voir les photos du fappening d'Alison Brie !
Seulement voilà, bien vite on te sort ce truc horrible qui vient pourrir environ 99% de ce qui sort aux USA : la famille. Ils se considèrent comme une famille, c'est mièvre et peu intéressant. Pourtant malgré ça la première saison m'a fait énormément rire, j'aimais les personnages, l'humour référentiel, le ton cynique et blasé du héros mais surtout le côté université. Il y a des cours, on fait avec cette routine pour faire des gags. Parce que ce n'est jamais aussi drôle que lorsque c'est basé sur du réel un peu exagéré.
Mais la suite, pour tout dire, j'ai arrêté à la moitié de la saison 3 et je ne sais pas si je reprendrai... J'ai ri autant dans toute la saison 2 que je riais avant dans un épisode de la saison 1... Alors oui, c'est plus méta, mais c'est pas drôle pour autant. Je veux dire on perd un côté très premier degré des relations entre les personnages qui était malgré tout rafraichissant, on perd le côté banal des situations qui donnait un charme...
Là on a que des situations extraordinaires qui sont inintéressantes et dans lesquelles l'humour est forcé.
En gros ça prend une tournure qui ne me fait pas rire, qui ne m'intéresse pas et qui m'ennuie. On s'intéresse beaucoup moins aux relations entre les personnages qu'avant... alors c'est certes cliché, mais avoir une vraie romance qui s'installe par exemple... des vrais rivalités... des vrais duos chocs...
Ils ont flingué leur concept en péchant par excès. Ils ont voulu trop en faire et ça n'a rien donné...
Ah et les épisodes sont pour beaucoup réalisés par les frangins Russo qui ont fait Captain America... On comprend mieux la débâcle... Passer d'une sitcom pas forcément très bien filmé et qui n'en a pas besoin fondamentalement à un blockbuster XXL (je sais qu'ils ont fait d'autres trucs), on sent bien que Marvel voulait des yesman sans talent.
En gros il vaut mieux faire simple et aller voir les photos du fappening d'Alison Brie !
Objectivons
Très bonne petite série à l'humour souvent délirant et collant parfaitement au mien ! Son format d'épisodes d'une vingtaine de minutes est pratique, les personnages sont souvent bien barrés (voire complètement pour quelques-uns), et le synopsis d'Allociné résume bien l'ensemble : on dépasse le cadre des cours donnés dans cette fac de "ratés", même si tous les épisodes s'y déroulent. Je n'en ai pas trouvé un seul de mauvais, car tout en utilisant quasiment seulement le même cadre et les mêmes personnages, ils ont réussi à se diversifier, à aborder un grand nombre de thèmes.
Je la conseille à toutes celles et à tous ceux qui aiment... l'humour !
Je la conseille à toutes celles et à tous ceux qui aiment... l'humour !
Ça y est, j'ai fini Community. Et malgré deux dernières saisons plus faibles, c'était un grand et tendre voyage. Bravo et merci Dan Harmon pour cette dimension pop intelligente, pour ces moments attachants et pour ces personnages désormais inoubliables.
#SixSeasonsAndaMovie
#SixSeasonsAndaMovie
Vinz1
Malgré quelques épisodes de transition ne servant pas à grand-chose, cette saison est meilleure que la précédente car moins d'allusions aux programmes de la TV américaine y sont faites et surtout, beaucoup plus de références à des films cultes sont abordées. Ajoutons à cela que des personnages secondaires prennent plus de place, à l'instar de Chang et de Dean et qu'il y a des épisodes proprement incroyables comme celui totalement tourné en stop motion. N'en jetez plus, il nous faut voir la suite derechef !
Vinz1
Cette saison est peut-être courte, mais il se passe une multitude de choses ! Troy et Pierce ne sont plus là alors que Duncan est revenu, une aile secrète existe sous l’université que Subway tente de racheter, Jeff devient prof et Abed a une petite amie ! De plus, certains épisodes sont géniaux comme : celui entièrement tourné façon GI Joe, celui de la lave, celui de l’enquête sur le « ass crack bandit », un fieffé coquin qui glisse une pièce d’un penny dans la raie des fesses des étudiants un peu trop penchés et surtout, celui de Jeff qui intente un procès contre Greendale un peu comme dans « Better call Saul », d’ailleurs un acteur de la série (Jonathan Banks) rejoint le casting dans le rôle du professeur Buzz Hickey ! Vraiment sympa et on a du mal à croire qu’il ne reste qu’une saison !
Totalement absconse pour un public lambda (rien de péjoratif là-dedans), "Community" est une série immédiatement culte mais qui parlera surtout aux enfants des années 80, ceux ayant grandis avec Alf et Gizmo, et qui ont usé leurs pouces sur "Super Mario" ou "Street of rage". Bourrée de références à la contre-culture et baignant dans un humour non-sensique totale, la série de Dan Harmon, en plus d'offrir des moments parmi les plus grandioses de la télé américaine (la partie géante de paintball; la bataille d'oreillers racontée comme un documentaire sur la guerre de Sécession; l'épisode en 8-Bit), est terriblement attachante grâce à des personnages névrosés incarnés par un casting impeccable (Donald Glover est une vraie révélation et je suis littéralement amoureux d'Alison Brie). Cool, cool, cool.
Plus qu’une simple série "teenage", Community s’est très vite inscrite dans ce que l’on peut proposer de mieux dans le divertissement télé. Prenante, addictive et entrainante, elle laisse apercevoir aux spectateurs qu’après avoir travaillé en tant que scénariste sur Monster House (2005), Dan Harmon est un réalisateur à prendre très au sérieux. Chaque personnage y va de sa petite touche personnelle et offre à ce groupe d’étude totalement atypique une aura sympathique, attachante.
Vinz1
Je viens de découvrir cette série datant de 2009 et j’en suis devenu accro ! Pourquoi ? Et bien parce qu’à l’image de « Friends » en son temps, c’est très drôle ! Mais pas que, car ça ressemble également à « Seinfeld » pour la finesse de certains dialogues, mais surtout pour tout fan de séries, de films et de contre-culture : c’est bourré de références en tous genres ! Harmon, le réalisateur, va ainsi détourner les codes et habiller chaque épisode avec ses propres règles et rendre quelque chose d’unique même si hyper référencé. Et sérieusement, comment ne pas aimer les interventions de Troy et Abed à la fin du générique de fin, notamment leur duo de rappeurs géniaux !? Je tempère toutefois mon enthousiasme des premiers épisodes par un bémol : il faut bien connaître la télé américaine pour rire à certaines blagues car il y a beaucoup de faits et personnages que les européens ne connaissent pas forcément !
Vinz1
Avec moins d’épisodes de transition, cette saison est aussi bonne que la précédente, même si « l’imaginarium » (« dreamatorium » en version originale) n’a que peu d’intérêt. Toujours autant de références à des films cultes ou non sont faites alors que Chang et Dean sont devenus désormais des personnages principaux au même titre que les sept d’origine. Et comme lors de la seconde saison, celle-ci présente des épisodes incroyables comme : celui du babyfoot, celui avec le livreur de pizzas et le lancé de dés pour qui va lui ouvrir avec différentes lignes temporelles, celui du film réalisé par le doyen, celui copié sur une série policière à propos du meurtre d’un igname en cours de biologie ou encore celui formidable tourné totalement façon jeu vidéo à la Mario. Bref, on en veut encore !
Vinz1
De superbes idées (l’épisode tourné quasi intégralement avec des marionnettes, la « Changnesia » et le dernier épisode avec les doubles diaboliques) mais non exempte de défauts (13 épisodes seulement, la sous-exploitation de Pierce devenu un protagoniste au-delà du secondaire et des scénarios moins recherchés qu’auparavant) font de cette saison la moins bonne pour l’instant, même si c’est toujours aussi sympa et que le final laisse augurer du renouveau pour la suite. Donc à suivre…
Vinz1
Dans cette ultime saison, Shirley et le professeur Buzz Hickey ont disparu mais ont laissé leur place à Frankie et Elroy, alors que l’on voit de temps en temps les parents de Britta ou que d’autres protagonistes secondaires à l’instar de Todd et Garrett prennent de l’importance, ce qui apporte un changement sympa mais un peu abrupt pour les fans de la première heure. Par ailleurs, les scénarios sont moins novateurs voire farfelus que lors des précédentes saisons et semblent plutôt tournés vers les nouvelles technologies (celui avec les prisonniers et les tablettes, celui avec les hackers dévoilant publiquement les mails, ou encore celui du montage du film avec des rushs de Chang), certains sont très drôles comme celui sur le prof d’arnaques, celui du paintball clandestin, mais dans l’ensemble il y a trop d’épisodes de transition et la fin est un peu bâclée. Bref, une série qui finit de façon un peu fade, dommage.
Pour la première saison de Community sans le créateur, Dan Harmon, viré par NBC pendant l’intersaison dernière, les téléspectateurs attendaient des nouveaux scénaristes un parfait mimétisme avec leurs aînés. Alors ?
Ca a pris du temps. Il a fallu au moins 5 ou 6 épisodes aux nouveaux scénaristes pour enfin choper la façon d’écrire certains personnages. En effet, au départ de la saison, si les personnages d’Abed et Troy étaient toujours les mêmes, celui qui posait le plus gros problème était Jeff. Il n’était plus drôle, trop gentil, trop forcé… Il fallait renouer avec la qualité de l’écriture d’avant. Et là, arriva le 4x08, un épisode exceptionnel, qui se range directement dans les meilleurs de la série. Drôle pendant les 20 minutes, l’épisode est proche de la perfection. Et comme il est suivi par un très bon 4x09, il est évident que la saison était bien lancée. Il est alors dommage qu’elle ne dure que 13 épisodes. Soyons honnêtes, les épisodes avant le septième étaient aussi très sympathiques. Mais pas forcément aussi bons que prévu.
Heureusement, Community fut renouvelée il y a trois semaines et la série récupère Dan Harmon pour la 5e saison. Tout va bien, donc, pour le Community College de Greendale.
Ca a pris du temps. Il a fallu au moins 5 ou 6 épisodes aux nouveaux scénaristes pour enfin choper la façon d’écrire certains personnages. En effet, au départ de la saison, si les personnages d’Abed et Troy étaient toujours les mêmes, celui qui posait le plus gros problème était Jeff. Il n’était plus drôle, trop gentil, trop forcé… Il fallait renouer avec la qualité de l’écriture d’avant. Et là, arriva le 4x08, un épisode exceptionnel, qui se range directement dans les meilleurs de la série. Drôle pendant les 20 minutes, l’épisode est proche de la perfection. Et comme il est suivi par un très bon 4x09, il est évident que la saison était bien lancée. Il est alors dommage qu’elle ne dure que 13 épisodes. Soyons honnêtes, les épisodes avant le septième étaient aussi très sympathiques. Mais pas forcément aussi bons que prévu.
Heureusement, Community fut renouvelée il y a trois semaines et la série récupère Dan Harmon pour la 5e saison. Tout va bien, donc, pour le Community College de Greendale.
Dan Harmon est de retour à la tête de Community pour sa quatrième saison, quelque chose que les fans attendaient depuis une saison, car presque tous déçus de la quatrième iteration de la série.
Le premier épisode annonce déjà la couleur : Chevy Chase est parti, Donald Glover s’en va après cinq épisodes et il faut amener ces deux éléments-là. Sur ce point-là, les scénaristes parviennent à rendre les départs émouvants et réussis. C’est sur la comédie en elle-même que la saison pêche un peu. En effet, Community est devenue une série à concept : 13 épisodes, 13 concepts différents pour notre groupe d’étude préféré. C’est un peu dommage car la série parvenait avant à être drôle même dans des passages plus simples. Il en reste que l’arrivée de Jonathan Banks et le retour de John Oliver sont de très bonnes idées et que quelques épisodes sont à hurler de rire. Mais le 5x11, très high-concept, est complètement loupé, à l’image du double épisode de fin de saison. Quelques guests stars sont très bonnes, surtout l’excellent Walton Goggins, dans un des meilleurs épisodes de la série.
Au-delà de ces quelques réussites, la cinquième saison de Community est loin d’être aussi bonne que les précédentes, car la formule devient répétitive. Et s’il vous plaît… Trouvez quelque chose à faire à Ken Jeong ! Son personnage ne sert plus à rien, mais le type est génial. Tant que Community ne saura pas quoi faire avec Ben Chang, la série ne retrouvera pas ses niveaux d’antan.
Le premier épisode annonce déjà la couleur : Chevy Chase est parti, Donald Glover s’en va après cinq épisodes et il faut amener ces deux éléments-là. Sur ce point-là, les scénaristes parviennent à rendre les départs émouvants et réussis. C’est sur la comédie en elle-même que la saison pêche un peu. En effet, Community est devenue une série à concept : 13 épisodes, 13 concepts différents pour notre groupe d’étude préféré. C’est un peu dommage car la série parvenait avant à être drôle même dans des passages plus simples. Il en reste que l’arrivée de Jonathan Banks et le retour de John Oliver sont de très bonnes idées et que quelques épisodes sont à hurler de rire. Mais le 5x11, très high-concept, est complètement loupé, à l’image du double épisode de fin de saison. Quelques guests stars sont très bonnes, surtout l’excellent Walton Goggins, dans un des meilleurs épisodes de la série.
Au-delà de ces quelques réussites, la cinquième saison de Community est loin d’être aussi bonne que les précédentes, car la formule devient répétitive. Et s’il vous plaît… Trouvez quelque chose à faire à Ken Jeong ! Son personnage ne sert plus à rien, mais le type est génial. Tant que Community ne saura pas quoi faire avec Ben Chang, la série ne retrouvera pas ses niveaux d’antan.
Community est une série qui vous fera rire par son absurde. Les personnages, assez différents pour offrir de larges choix d'histoires nous permettent de suivre les aventures avec beaucoup d'attention. Cependant les dernières saisons sont un peu décevantes.