La Crim' : Episodes de la saison 1

Une femme, Anne Risseau, est violée, tandis que son mari, pompier de son état, est tué par le violeur à coups d'antivol pour voiture. Voilà pour le tableau du crime, dépeint par Anne Risseau. Un peu trop facile pour la Crime qui, fouillant dans la vie des Risseau, découvre rapidement l'existence d'un amant, pompier lui aussi.

Un peintre connu retrouvé mort dans son atelier par la galeriste qui l'expose, ça fait déjà un suspect. Ajoutez à cela un goût prononcé pour les prostituées et les jeux sado-maso, saupoudrez de mensonges successifs autour des alibis des uns et des autres ; poivrez le tout avec un homme politique mouillé dans l'histoire et vous n'avez toujours par l'explication ! Car le mystère est ailleurs, au coeur des tableaux du peintre

Un cadavre retrouvé dans une cabine téléphonique sans autre indice qu'un papier mentionnant «Batafrankel» et un nez de clown... ça commence mal pour la Crime. La victile enfin identifiée (un acteur, clown d'hôpital à ses heures), une double vie apparaît : derrière l'acteur se cache un cambrioleur, peut-être victime d'un comparse furieux. Mais bientôt une troisième vie émerge : l'homme est connu de ses victimes cambriolées comme confesseur à l'église Saint-Etienne de Passy ! et c'est là que les choses se compliquent : car si l'on sait depuis longtemps que l'habit ne fait pas le moine, rien ne dit quels secrets se cachent sous la soutane

La Crim' a affaire à un psychopathe qui en est à son troisième meurtre. Seul indice retrouvé, une inscription "qui s'y frotte s'y pique", la devise de la crim' ! Le meurtrier se fait appeler "le saigneur" parce qu'il a décidé de provoquer la Crim' en se faisant passer pour un justicier.

Le criminel Bourdet s'est évadé et a assassiné la famille du psychiatre Laffarge qui le suivait depuis quelques années et l'avait déclaré pénalement irresponsables à l'issue de l'expertise. La facilité avec laquelle Bourdet s'est évadé et surtout le constat sordide que Laffarge profite largement de la mort de ses proches, mettent la puce à l'oreille de la crim'. Minutieusement, le groupe dépouille les rapports d'expertise et les séances d'hypnose de Laffarge sur Bourdet. Et découvre l'incroyable manipulation qui a abouti à l'horreur du meurtre collectif. Seul Bourdet peut incriminer Laffarge. Mais il est sous la dépendance psychologique de son psychiatre, et son témoignage n'a aucune valeur juridique. Sans lui, sans les aveux de Laffarge, la crim' ne peut rien

Riche boucher parisien, Coste est retrouvé mort dans une chambre froide. Un véritable casse-tête pour la crim' car, dans de telles conditions, l'heure de la mort est impossible à déterminer et la pièce, lavée à grande eau avant la découverte du cadavre, est pauvre en indices. Dans l'entourage de la victime, la crim' cherche un suspect. Un frère rival et violent ? Un ennemi à Rungis ? L'heure incertaine du crime rend difficile la confrontation des suspects. Si, dans un second temps, la crim' s'oriente vers la piste passionnelle, c'est pour découvrir que les mobiles des uns font parfois l'affaire des autres et que le meurtrier n'est pas toujours là où on l'attend.

Le gendre et employé de M. Warin, patron d'une blanchisserie, est retrouvé pendu à un palan électrique sur son lieu de travail. M. Warin, patron paternaliste, autoritaire et paraplégique, décrit le défunt comme un homme sans ennemis. Bien que la loi du silence semble régner au sein de l'entreprise, les langues du personnel peu à peu se délient dans les locaux de la Crim'.

Dans le magnifique hôtel particulier de la Baronne de Gasquet, on découvre le cadavre d'Alain Chevalier. Parce qu'il est le gendre de la famille de Gasquet, famille de diplomates réputés, la Crim' est appelée à résoudre cette affaire dans «les meilleurs délais». Les indices sur le lieu du crime osnt limités : heure de la mort difficile à préciser, pas de traces d'effraction, seule une horloge bloquée sur 1 heure et la disparition d'un fermoir attestent qu'il y ait pu avoir agression. A moins qu'ils ne soient là que pour mieux orienter la Crim'... Mêlé a une affaire d'escroquerie à l'assurance, Alain Chevalier aurait-il été tué par son associé et ami l'assureur Philippe Sienner ? En vérifiant l'alibi de Mirmont, domestique dévoué et irréprochable, les limiers de la Crim' s'aperçoivent qu'il n'a pas dit la vérité. Mais un meurtrier sans mobile ne peut convaincre Lemarchand... Ne chercherait-il pas à protéger quelqu'un ?

Maxime Lidski est retrouvé mort au petit matin, défenestré, alors qu'il venait de rentrer chez lui. Chirurgien esthétique, il opérait essentiellement les stars du show-biz et de la politique. En reconstituant son emploi du temps la veille de sa mort, les enquêteurs tombent sur un certain Lehmann, ami d'enfance de la victime et joueur impénitent qui lui devait une importante somme d'argent. Serait-il allé emprunter une fois de plus, une fois de trop, de l'argent à son ami qui s'y serait opposé ? Sisko et Tessier épluchent les dossiers médicaux de Lidski. Associé au professeur Pierre-Marie Chantin, leurs affaires étaient florissantes.

Julie Brion était une fort ravissante archéologue, particulièrement ambitieuse. Un jour, la jeune femme est retrouvée étouffée dans l'une des fosses du site archéologique de Saint Ouen, où elle travaillait depuis plusieurs mois... Quelques jours plus tôt, Julie avait découvert un masque funéraire du IVe siècle, trouvaille exceptionnelle mais qui compromettait sérieusement le projet de construction d'un hypermarché sur le site. Cependant, plutôt qu'un règlement de compte entre professionnels du bâtiment et archéologues ambitieux, le drame n'aurait-il pas une origine plus passionnelle ? Une enquête très complexe commence alors.

Tôt le matin, les six membres du groupe Galliot se rendent à «L'oiseau fou», un café du 20ème arrondissement de Paris. Robert Gangé, un homme d'une cinquantaine d'années, y a été retrouvé mort quelques heures auparavant. C'est apparemment une enquête de routine : pas de mort violente, pas de trace d'effraction et après les vérifications d'usage, on devrait conclure à une mort naturelle. Néanmois, le lieutenant Tessier, qui habite à proximité de «L'oiseau fou», s'intéressa particulièrement au décès de Gangé, dont elle connaît la vie personnelle. Veuf, il avait des problèmes avec son fils drogué et entretenait depuis des années une relation avec une femme plus jeune que lui. Tout bascule quand le labo lui apprend que la mort est due à l'absorption d'un poison violent. Commence alors une série d'interrogatoires des proches de la victime.

Lisa Mansky est allongée sur le ventre, sur un lit à baldaquin, avec un tire-écrin planté dans le dos. Coïncidence : son ancien compagnon, Alex Novéa, braqueur postal qui, grâce à son témoignage, avait été condamné à quinze ans de réclusion, vient de sortir. C'est une pression maximale à laquelle est soumis «la crim» suite à ce meurtre. En effet, Lisa avait demandé un mois auparavant une protection qui lui avait été refusée et «Le Canard Enchaîné» a diffusé l'information... C'est naturellement sur le passé de la victime que les recherches se concentrent : Alex Novéa mais aussi Jean-Jacques Després, son voisin postier et ami d'enfance, pourraient être les coupables. La présence d'un chat empaillé, Ramsès, sur un siège à côté de la victime suscite aussi de nombreuses interrogations et conduit «la crim» à interroger le taxidermiste Fernand Joubert.