Mon compte
    Engrenages
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    4,0
    5952 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Engrenages ?

    395 critiques spectateurs

    5
    164 critiques
    4
    152 critiques
    3
    47 critiques
    2
    14 critiques
    1
    13 critiques
    0
    5 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Portalis
    Portalis

    3 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,5
    Publiée le 13 septembre 2020
    Saison 8 décevante - Poussif - sans âme - les personnages n'ont plus rien à dire et les acteurs n'ont plus rien à prouver - c'est un piètre enterrement et une défaite - la saison de trop qui fait enrayer l'engrenage
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 9 novembre 2020
    Dramatique.... Le scénario est bon, les acteurs aussi, sauf.... La fille flic, elle gâche tout, elle ne sais vraiment pas jouer, un calcaire à regarder 😭.... Tellement dommage 😔
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 361 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    1,0
    Publiée le 31 août 2015
    Découvrir la saison 1 d’ « Engrenages » dix ans après sa production, autant le dire tout de suite : cela fait TRES mal. Heureusement que je savais que c’était les débuts de Canal+ dans le domaine de la série ; heureusement aussi qu’on m’avait dit que cette production gagnait progressivement en qualité au fur et à mesure des saisons parce que sinon, je pense que j’aurais très vite arrêté ma découverte de cette longue saga policière à succès. Première impression : que c’est triste une série qui s’efforce de singer plutôt que créer. Et vas-y que je te prends un gros standard bien mainstream du côté des US et que je m’efforce d’en forcer tous les traits pour que ça y ressemble ! Franchement ça fait peine à voir. Le premier gros effort auquel il faut consentir pour voir cet « Engrenages », c’est celui de résister à sa forme hideuse. La caméra à la bougeotte en permanence, quelque soit la scène, sans raison particulière : ça zoome, ça dézoome, ça tremble, et ça te plante des plans-séquences en steady-cam en mode random sans aucune explication aucune. A cela s’ajoute une photographie hallucinamment dégueulasse : le monde d’ « Engrenages » est un monde bleu et gris aux contrastes étonnamment saturés. Ça ne ressemble à rien. C’est moche. Ça ne rend rien. Et je ne parle même pas de la bouillasse synthétique qui sert de musique car si je devais m’étendre encore davantage sur les questions techniques, vous pourriez vous dire qu’en fin de compte, cette critique acerbe n’a été écrite que par un vieux grincheux de puriste qui s’attarde finalement que sur des détails. Mais non, je suis désolé, à ce niveau là (il faut le voir, ou le revoir, pour le croire), on n’en est plus au niveau du simple détail, loin de là. Tous ces éléments formels sont vraiment les pires ennemis du spectateur qui cherche à s’immerger dans l’histoire, et il faut un véritable effort pour les occulter tout le long des huit épisodes. Et là où se trouve le vrai problème, c’est que justement, l’histoire elle-même n’est pas exempte de tout reproche. Pour une série qui se vantait d’explorer avec « réalisme » le monde judiciaire français, je trouve quand même que cette saison 1 nous la fait clairement à l’envers. Tout sonne creux. On assiste à un simple empilement de clichés de romans de gare et de séries américaines bas de gamme, le tout – qui plus est- excessivement mal dialogué. Les tirades sonnent toutes faux. Rares sont celles qui pourraient être entendues dans la vie courante. Elles ne sont juste que des illustrations très poussives et peu recherchées d’un scénario qui peine déjà à être crédible. Du coup, dernier grief, il devient très difficile pour les comédiens recrutés de faire vivre leurs personnages dignement. Grégory Fitoussi est de loin celui qui pédale le plus dans la semoule, Caroline Proust est assez inégale, Thierry Godard et Philippe Duclos étant en définitive ceux qui finissent par le mieux s’en sortir au fur et à mesure des épisodes. Finalement, c’est dans les seconds rôles qu’il faut aller fouiller pour trouver quelques comédiens qui s’en sortent : Guillaume Croimoisan doit certes se coltiner une vraie caricature de personnage, mais au moins il la tient du début jusqu’à la fin, même chose pour Florence Loiret-Caille qui s’en sort vraiment bien avec un rôle pourtant vraiment casse-gueule. Alors du coup, sont-ce ces rares points positifs que je note qui font que je ne délivre pas un zéro pointé à cette saison 1 d’ « Engrenages » ? Non. A dire vrai, si je ne mets pas zéro, c’est que je trouve malgré tout dans cette saison les bases de quelque-chose de quand-même sympa. Effectivement, il y a eu un effort pour tisser des liens d’interdépendances et de connivence entre les différents partis en présence qui illustrent finalement assez bien les grincements de la mécanique judiciaire française : politique, amitiés, relations, tout cela est finalement traité de manière assez judicieuse et pouvait constituer, au cœur de ce gloubi-boulga de n’importe quoi, une souche intéressante à partir de laquelle il aurait été possible de construire une intrigue qui tienne la route. Peut-être pourra-t-on l’espérer pour la saison 2. Après tout, au vu de la réputation de cette série, de sa diffusion, et de l’expérience engrangée depuis par Canal+, il n’est pas interdit d’espérer. Paradoxalement, malgré cette saison 1 qui ne m’a guère enchanté, je reste curieux pour la suite. Alors Wait and see…
    benzinemag.net
    benzinemag.net

    32 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 4
    1,5
    Publiée le 21 septembre 2012
    Je dois dire que je suis assez circonspect devant l'unanimité critique pour Engrenages saison 4 . Autant cette série a pu être précurseur sur bien des aspects, sur ses 2 premières saisons, autant là je trouve quelle devient une caricature d’elle-même. «la meilleure série policière française » comme on entend partout serait donc le top en terme de fiction policière à la télé. J’en doute.
    Les rouages, les ficelles sont toujours les mêmes, les scènes sont de plus en plus prévisibles, quant aux personnages à leur psychologie, et à leurs relations, il n’y a plus rien de neuf depuis bien longtemps.
    Les jeunes gauchistes sont de vraies caricatures et la belle mécanique policière, si efficace dans les 2 premières saisons, est devenue une machine qui tourne en rond et qui se révèle finalement très artificielle avec ce trio de flic qui ne nous surprend plus du tout.
    Et puis, quand on veut faire une série réaliste pourquoi opter systématiquement pour des filtres qui renforcent le côté grisâtre pour ne pas dire sombre de l’histoire ?
    Certes Engrenages est une série habile, capable de donner des résonnances sur la situation politique actuelle, mais ça ne fait pas oublier le côté extrêmement surligné et lourd d’un ensemble qui, au fil du temps, a repris à son compte les défauts principaux de l’indigeste "Braquo" d’Olivier Marchal.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    1,5
    Publiée le 30 août 2010
    Que de lourdeurs, de clichés, de personnages grotesques et caricaturaux !!! et bravo pour l'image de la police et de la magistrature véhiculée par ce genre de navet !!!
    Navrant !!!
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    211 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    1,5
    Publiée le 2 mars 2017
    Alors là je ne comprends pas. Je ne comprends pas les relativement bonnes critiques reçues par "Engrenages", à moins d'imaginer un saut qualitatif majeur à partir de la saison 2... que je n'irai jamais vérifier, je vous le jure, tant le visionnage de 8 épisodes a déjà tout eu de la torture chinoise. Acteurs pitoyables qui prêtent régulièrement à rire plutôt qu'autre chose, mise en scène grotesque (ces zooms intempestifs, mon dieu !), scénario d'une imbécilité abyssale, personnages incohérents aux comportements caricaturaux, manque de réalisme complet quant il s'agit de parler du fonctionnement de la justice et de la police, et pire encore, cautionnement de méthodes infectes de la part des uns comme des autres, sans aucun "recul" par rapport à ce qui est montré (et je ne parlerai même pas des détails gore gratuits pour poser comme une série "adulte")... "Engrenages" bat tous les records de laideur et de bêtise. Comme si la France n'avait fait aucun progrès depuis l'ORTF de mon enfance, mais que cette nullité crasse soit désormais libérée de tout tabou et de tout complexe pour vomir des insanités nauséabondes. On voit bien d'ailleurs qu'il s'agit ici d'imiter à tout prix les séries américaines, sans avoir le moins du monde compris ce qui fait qu'elles fonctionnent... Enough said ! Tirons la chasse
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    1,5
    Publiée le 31 août 2020
    Allez, je suis péniblement arrivé à la fin de la saison 3, cette fois j'arrête.

    Sérieusement, c'est ça la série de polars qui révolutionne le genre depuis quinze ans et dont on nous rebat les oreilles à chaque saison ? Y'a clairement de l'abus...

    Bon, reprenons, la saison 1, début prometteur, qui fait tout de suite pschitt, le proc, outre qu'il devine qu'une fille était très belle parce qu'elle est morte dévisagée, laisse son intégrité au placard dès le second épisode, au risque d'y laisser sa carrière, nan mais c'est normal quoi. Tout le monde est véreux là-dedans, même les plus naïfs, alors... Bref, en 8 épisodes on aura droit à tous les clichés, jusqu'au flic cocaïnomane qui pète les plombs et l'avocate qui est très très méchante car elle fait des trucs elle même sait même pas pourquoi ( spoiler: voir dernier épisode, c'est le summum du ridicule
    ).
    Enfin tout ça pour vous donner un dénouement aberrant, qui n'a rien à voir avec ce qui s'est passé dans les épisodes précédents ( spoiler: la fille avait un journal, dedans elle consignait ses rendez-vous de tapin, mais non, en fait elle couchait pas, avec personne. Le mec qui a reconnu être son mac, non non, c'était son fiancé, elle tapinait pas, on vient de vous le dire. D'ailleurs il est dans le coma, maintenant, il se réveillera peut être dans une future saison pour nous donner une explication qui tienne la route, enfin, non, finalement autant l'oublier... Le gros pourri tout en haut de l'échelle politique, bon oui, il a bien des trucs à se reprocher mais c'est pas lui l'assassin, vaut mieux viser un crapuleux bas de gamme
    ).

    Bref, passons à la saison 2, qui relève un peu le niveau. Déjà un truc, on a tellement bien bossé les personnages qu'on s'oblige à les rebooter à chaque saison : le cocaïnomane ? Guéri ! La fliquette stressée ? Pleine confiance (ça se voit à sa coiffure). Le juge (j'en ai pas encore parlé ? Seul à peu près sympa de la série), il change de caractère comme de chemise. L'intrigue tiendra à peu près la route, à quelques pirouettes près (sinon j'aurais mis une demi-étoile :p ) malgré des rebondissements sans intérêt, des twist "magiques" spoiler: (genre si les policiers se débrouillent mal, je verrai sans doute mon voisin dealer passer sur mon poste de TV... crédible !)
    et une scène finale capillotractée. Enfin, bon, on a là une saison moyenne, qui aurait rempli un ou deux épisode de "Boulevard du palais", mais passons...

    La 3, ah,; déjà nouveau reboot. La fliquette a retrouvé sa coiffure de la saison 1 et le caractère de méga-loose qui va avec. Le mec qui nous a fait le final de la saison 2 spoiler: (souvenez-vous il était pas mort, et ça nous promettait une belle love-story avec la fliquette... bon.... Nan en fait il a jamais existé)
    dis-pa-ru ! Personne n'en parle ! Jamais ! spoiler: (et la fliquette de se plaindre de sa vie sentimentale qui n'avance pas ! Mais où il est ton mec ? T'étais folle de lui, j'sais pas, moi, dites, à un moment, qu'il s'est fait passer dessus par un camion, ce sera minable, mais au moins on n'aura pas l'impression que ça vous ennuie qu'elle soit amoureuse ! D'ailleurs n'ennuie pas que les scénaristes, le cocaïnomane, il est devenu subitement amoureux de sa cheffe et jaloux du moindre mec qu'elle croise)
    Tout se casse la figure côté scénario, déjà faut délayer pour faire 12 épisodes (mais on délaye mal : on aurait pu allonger un épisode pour connaître les motivations du tueur, spoiler: vu le contexte sympa dans lequel il est né,
    mais non). Le juge ? Y'a pas, c'est le seul juge du palais de justice qui est intègre. Les autres vont mal faire leur taf, ils sont tous, mais ab-so-lu-ment tous pourris (pas un de bon, ah si, lui, vive la justice), d'ailleurs, le seul autre qu'on montre est prêt à tout pour violer la présomption d'innocence ( spoiler: genre à mettre en taule pour viol un avocat, ancien proc très recommandable, sur la seule foi du témoignage d'un gosse de l'ASE - et encore le témoignage, je te dis pas : "Il m'a violé" "bon on va te faire des examens pour trouver son sperme" "D'accord, vous allez voir, il m'a violé" "Bon, les examens sont revenus, y'a pas de sperme" "Heu... Il avait mis un préservatif" "Ah, bon d'accord, ton témoignage est solide, on l'embarque"
    ). Bref, revenons au juge, il est tellement intègre que ça fait trois ans qu'on le voit contourner toutes les règles pour arriver à ses fins ( spoiler: au point de ne pas lâcher l'affaire même quand il sait que son frère est impliqué, ah oui, et puis aussi, à la saison 1 il pousse un mère au suicide, un héros on vous dit !
    ), mais bon, dès qu'il peut il va montrer qu'il a des principes moraux, intangibles et sans concession, lui ! spoiler: (allumer un petit jeune en lui disant que JAMAIS JAMAIS il ne pourrait accepter d'avoir une brebis galeuse parmi ses collègues - et le repousse au suicide, on n'est plus à ça près, même si ledit juge est amoureux de la mère du gamin, voire même c'est peut-être son père.... Santaaa Barbaraaa...
    ).

    Pfoou, nan mais sérieux !? Bref de rebondissements en rebondissements, tout ça se termine toujours très mal, parce que, vous comprenez, le monde est pourri.

    Allez j'arrête. On nous vend des engrenages, une machine finement huilée avec des mécanismes d'horlogerie, mais en fait, on a un immense tire-fesses avec des poulies qui couinent, et en lieu de câbles, des grosses ficelles, qu'on a rallongées et qu'on rallonge encore pour que le parcours prenne un peu plus de temps (pourquoi faire 4 épisodes quand on peut délayer en 8 puis en 12 ?). Quand on a pris la perche, on nous a promis une belle piste rouge, mais une fois en haut, on se rend compte qu'on est avec les oursons, tout est plat.

    Sérieusement, vous voulez un bon polar bien sombre mais réaliste, achetez vous un bouquin de Norek, mais laissez tomber ce truc.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 16 juin 2013
    Ben..... à peine au dessus de Julie Lescaut, c'est dire.....
    Sérieusement, les acteurs ne sont pas crédibles, on rajoute du limite gore et un peu de "tension" sexuelle entre deux trois protagonistes dès le début en croyant que ça va suffire ?
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 6
    1,5
    Publiée le 24 septembre 2017
    Décevant, des personnages prostrés dans leurs postures habituelles sans ressorts, sans renouveau... Un scénario routinier qui tourne en rond, sans intensité et sans surprises... L'ensemble s'essouffle d'épisodes en épisodes et aucun des acteurs ne sauve une production bâclée, à l'extrême exception d'Audrey Fleurot à qui on n'accorde malheureusement pas la dimension d'interprétation qu'elle mérite ; sans parler d'une conclusion en queue de poisson que la perspective d'une nouvelle saison ne justifie pas pour autant. À éviter !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 6 juillet 2011
    ZZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzzz...Mais bordel, qu'est ce que c mou comme série!!!
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 7
    1,0
    Publiée le 11 février 2019
    La saison 7 d’engrenage est abjecte. Remplie de cliché raciste , complotiste et carrément antisémite. Le méchant juif est non seulement gérant de fortune malhonnête qui blanchit de l’argent mais en plus assassin. Il parle hébreu quand il s’énerve et a deux passeports. Immonde il n’y a pas d’autres termes
    Amine K
    Amine K

    5 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 25 septembre 2017
    Happé au début puis petit à petit le scénario s éteint et on reste assis sur la banquette arrière pendant qu ils filent et se planquent. On est comme eux on s endort .
    Au boulot les scénaristes on arrête pas après le 6e épisodes.
    5 superbes saisons avant 1 saison qui ne plaît pas ça donne un bon ratio de bonne série de qualité dans l ensemble.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 5
    1,5
    Publiée le 18 octobre 2018
    Cette critique n'est plus accessible, suite à la demande de l'utilisateur
    Back to Top