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Chara design hideux, rythme lent, scénario mou et inintéressant, éléments de l’intrigue vus et revus, côté sombre mal exploité,… On s’ennuie vite, on ne s’attache pas au perso, on rentre difficilement dans l’histoire, du coup on peine à arriver au bout.
Qu'y a t'il de plus minable?
Une animation laide, sans reliefs, des couleurs volontairement sombres et grises, un character design raté ou bien le fait que le réalisateur de cette série Z se prenne au sérieux?
Filmant avec toute la subtilité intellectuelle et la profondeur psychologique d'un épisode des Teletubbies (hum...), en faisant des tonnes dans le cliché série "sombre" avec ses couleurs ternes, cette musique qui en fait trop, me rappelant tristement Shyamalan, ce pseudo-monde post-apocalyptique.
Le pompon étant atteint par le recyclage minable de tous les films et séries abordant les êtres doués de pouvoirs paranormaux, de destinée, de combattre du méchant monstre à des fins pathétiques.
Où les jeunes gens sont tiraillés entre choisir le camp des gentils Orga ou des méchants Gilgamesh, un insoutenable suspense en prévision.
Le prédécesseur de Night Head Genesis (sic)...
Une animation laide, sans reliefs, des couleurs volontairement sombres et grises, un character design raté ou bien le fait que le réalisateur de cette série Z se prenne au sérieux?
Filmant avec toute la subtilité intellectuelle et la profondeur psychologique d'un épisode des Teletubbies (hum...), en faisant des tonnes dans le cliché série "sombre" avec ses couleurs ternes, cette musique qui en fait trop, me rappelant tristement Shyamalan, ce pseudo-monde post-apocalyptique.
Le pompon étant atteint par le recyclage minable de tous les films et séries abordant les êtres doués de pouvoirs paranormaux, de destinée, de combattre du méchant monstre à des fins pathétiques.
Où les jeunes gens sont tiraillés entre choisir le camp des gentils Orga ou des méchants Gilgamesh, un insoutenable suspense en prévision.
Le prédécesseur de Night Head Genesis (sic)...
Nul, les personnages sont nul, il sont super moches comme d'habitude, mais là, on frôle l'imbecilité a haut niveau quand même,si vous avez des problèmes d'insomnies, prenez-ce dessin animé, vous vous endormirez, c'est sur.
C'est laid, c'est mou, ça se prend terriblement au sérieux... Les pires clichés de l'animation japonaise sont regroupés dans cette série, rien ne nous est épargné: plans fixes interminables, animation poussive, pauvreté des couleurs, chara-design ignoble, questions sans réponses, univers inconsistant... Après l'avoir vue, je comprends pourquoi personne ne la connaît! Seule la musique s'en sort bien, ça fait peu!
Gilgamesh est un petit bijou d'anime totalement inattendu. Il faut se forcer un peu pour supporter le rythme lent, l'animation neurasthénique et les nombreuses inconnues des premiers épisodes. Mais la magie opère ensuite très vite, tant les personnages sont attachants, les dialogues superbes et les rapports humains très finement représentés. La manière dont l'anime arrive à insuffler une émotion à fleur de peau dans son univers gris et dépressif est bluffante.
Le scénario prend son envol petit à petit et distille ses révélations au fur et à mesure des épisodes. A l'inverse de certains anime de science-fiction très célèbres, dont le pitch de départ est simple, puis qui se perdent dans des méandres incompréhensibles au fil des épisodes, Gilgamesh commence en étant brumeux et presque ésotérique, puis devient de plus en plus clair tandis que l'intrigue avance, en détaillant les termes, noms et concepts mis en place de manière volontairement nébuleuse au début. Cerise sur le gâteau, la fin de la série n'est pas décevante et très inattendue.
Le scénario prend son envol petit à petit et distille ses révélations au fur et à mesure des épisodes. A l'inverse de certains anime de science-fiction très célèbres, dont le pitch de départ est simple, puis qui se perdent dans des méandres incompréhensibles au fil des épisodes, Gilgamesh commence en étant brumeux et presque ésotérique, puis devient de plus en plus clair tandis que l'intrigue avance, en détaillant les termes, noms et concepts mis en place de manière volontairement nébuleuse au début. Cerise sur le gâteau, la fin de la série n'est pas décevante et très inattendue.