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Excellente série anglaise s'inspirant et adaptant les romans noirs de Val McDermid. « Wire in the blood » suit les enquêtes de la police de Bradfield épaulée par le fantasque Dr Tony Hill. Ce qui est intéressant ici est que le protagoniste n'est pas un médium à la con ou un rat de laboratoire résolvant des enquêtes impossibles à partir d'un poil pubien négligemment oublié entre les interstices d'un canapé en cuir de vachette du nord de la pampa argentine. Non, Tony Hill est un psychologue particulièrement perspicace qui rentre littéralement dans la tête du tueur, utilise des concepts et élabore des théories pour résoudre les enquêtes. Son implication dans chacune d'elle fait qu'il n'en sort quasiment jamais indemne, physiquement ou psychologiquement. De plus, chaque épisode des 6 saisons (5 en dvd, la 6ème non, un scandale, vive la débrouille...) est un quasi téléfilm d'1h30, presque indépendant des autres, ce qui permet de bien s'immerger dans l'univers sombre et glauque et dans chacune des enquêtes tendues et tordues de la série. C'est à découvrir, de même que l'excellentissime « Messiah » (anglais aussi), dans la même veine mais encore plus noir et immersif (et plus difficilement trouvable aussi...encore un scandale). Le haut du panier, et de très loin, dans les séries de ce genre.
Alexarod
Dans le même style qu'un Sherlock Holmes, donc un génie que consulte la police quand elle se plante, et qui lui réussit par des méthodes différentes on a donc :
Castle, le Mentalist, FBI duo très spécial, Perception, Sherlock (bien sur), Psych, Profilage, Falco, Unforgettable, Numb3rs, Elementary, the Blacklist, Intelligence, Body of proof, Almost human, Dr House pour le médical et plus ou moins Aby dans NCIS voir Hercule Poirot (mais c'est différent vu l'époque à laquelle A. Christie a écrit). La fureur dans le sang fait parti de cette innombrable liste non exhaustive.
Autant de séries reposant sur la même idée de part, la seule chose qui change est un détail, le pays où cela a été produit, le métier de départ du héros, le fait qu'on lui colle une histoire d'amour en plus, les défauts du héros (schyzo, malade, excentrique, androïde ou puce implantée).
Évidemment on n'est pas obligé de tout regarder, mais cela est révélateur de la soupe qu'on nous sert, sans chercher à varier, à innover, et au bout d'un moment les moutons suivent... Voilà ce que j'ai pu voir en un épisode de cette série, et cela ne m'a pas plu du tout. Si je rajoute qu'à côté on a droit à une ribambelle d'autres séries policières, pas très différentes (Bones, Cold case, Division délite, Crossing lines, Life, les Experts, Homicide, Londres police judiciaire, Engrenages, Washington police, les enquêtes de Murdoch, Good cop, Rookie blue, Traque en série, Braquo, Blue blood, the tunnel, Esprits criminels, RIS, Hawaï 5.0, the following, les New York...) sans aller plus loin puisqu'il y a 88 pages de telles séries répertoriées sur allociné. Qui a dit aseptisation et uniformisation ?
Castle, le Mentalist, FBI duo très spécial, Perception, Sherlock (bien sur), Psych, Profilage, Falco, Unforgettable, Numb3rs, Elementary, the Blacklist, Intelligence, Body of proof, Almost human, Dr House pour le médical et plus ou moins Aby dans NCIS voir Hercule Poirot (mais c'est différent vu l'époque à laquelle A. Christie a écrit). La fureur dans le sang fait parti de cette innombrable liste non exhaustive.
Autant de séries reposant sur la même idée de part, la seule chose qui change est un détail, le pays où cela a été produit, le métier de départ du héros, le fait qu'on lui colle une histoire d'amour en plus, les défauts du héros (schyzo, malade, excentrique, androïde ou puce implantée).
Évidemment on n'est pas obligé de tout regarder, mais cela est révélateur de la soupe qu'on nous sert, sans chercher à varier, à innover, et au bout d'un moment les moutons suivent... Voilà ce que j'ai pu voir en un épisode de cette série, et cela ne m'a pas plu du tout. Si je rajoute qu'à côté on a droit à une ribambelle d'autres séries policières, pas très différentes (Bones, Cold case, Division délite, Crossing lines, Life, les Experts, Homicide, Londres police judiciaire, Engrenages, Washington police, les enquêtes de Murdoch, Good cop, Rookie blue, Traque en série, Braquo, Blue blood, the tunnel, Esprits criminels, RIS, Hawaï 5.0, the following, les New York...) sans aller plus loin puisqu'il y a 88 pages de telles séries répertoriées sur allociné. Qui a dit aseptisation et uniformisation ?
Encore une petite pépite venue d'Angleterre: tout y est, des scénarios inventifs, des acteurs impeccables (formidable Robson Green) et une ambiance fantastique dans une ville où on l'impression qu'il ne fait jamais beau. Quel dommage que la série ait été interrompue.
Série britannique exceptionnelle autour d'une brigade de la police de Bradfield avec Carol Jordan aux commandes (les 3 premières saisons) puis Alex Fielding (pour les 3 suivantes) aidée par un psychologue clinicien original voire un peu autiste (Tony Hill) afin de traquer des tueurs en série. Le format des épisodes est d'1 h 30 environ, les scénarios sont pointus et les personnages principaux attachants et bien interprétés. Série adapté des romans de Val McDermid, la fureur dans le sang est toutefois à réserver aux amateurs de sensations fortes. Pour les petites natures comme Matthieubocopin cette série lui est fortement déconseillé. Je viens de revoir les 4 épisodes de la 6ème et dernière saison et c'est vraiment trop top. Dommage que la chaîne diffuseuse l'est interrompue.... Un must.
Je n'ai vu qu'un épisode. C'est très bien fait, les acteurs sont impeccables, en particulier le psy qui a beaucoup de présence. Mais malheureusement, il serait vain de chercher à la moindre originalité à cette histoire de tueur en série. Le suspense repose sur le sempiternel : pourquoi tue-t-il selon cette procédure, ce rituel ? A-t-il été traumatisé pendant son enfance ? etc C'est un peu du Sherlock Holmes revisité : l'ADN et le microscope ont remplacé la loupe et Freud intervient là où les déductions géniales du héros de Conan Doyle suffisaient. On ne s'ennuie pas trop, mais on n'y croit pas vraiment non plus.
Sympa cette série avec un profiler dépressif qui ressemble au sérial killer Ottis Toole, et cette inspecteure coincée. A regarder les dimanche après midi pluvieux.
Les personnages principaux sont attachants (même si j'ai un peu de mal avec Tony parfois), mais les intrigues sont trop poussivements macabres pour qu'on puisse les apprécier. Je continue tout de même à regarder car il y a un épisode que j'avais trouvé grandiose ("Quand la nuit tombe") et j'espère toujojurs que le miracle se reproduise.
une de mes séries préféreés , des personnages attachants, des intrigues bien ficelées et souvent glauques ....un régal venu de chez nos voisins anglais qui font souvent mieux que les Américains
Superbe série policière, passionnante et bien rythmée, sans temps morts et avec de bons scenari. À voir en ce moment sur ciné action.
Excellent série avec des acteurs irréprochables et des intrigues policières ficelées à la perfection. Vraiment dommage qu'elle soit arrêtée.
un truc, enfin le mien....ne pas se laisser aller au fil de l'histoire...........
mais je deviens" profiler " pendant une 1h, cherche le coupaaaaable!
et devine l'evolution de l'enquète ! j'aime...
mais je deviens" profiler " pendant une 1h, cherche le coupaaaaable!
et devine l'evolution de l'enquète ! j'aime...
Caine78
Principal changement concernant cette saison : le départ d'Hermione Norris au profit de Simone Lahbib (encore plus belle, au passage), apportant logiquement une personnalité différente à la série sans que cela change grand-chose concernant sa qualité. On est toujours dans les affaires sordides, tordues où il est très compliqué de démêler le vrai du faux et l'identité du coupable et ses motivations, ce cher Docteur Hill étant toujours aussi doué pour nous balader d'une possibilité à une autre radicalement différente. C'est l'ADN de la série, et je reconnais que je ne m'en lasse pas vraiment, malgré une approche visuelle discutable. Je suis même assez admiratif des scénaristes (parfois bien aidés par les romans de Val McDermid, certes), parvenant toujours à trouver des histoires plus sinistres les unes que les autres avec un savoir-faire saisissant. « La Fureur dans le sang », c'est vraiment du bon polar « made in Britain » : de quoi avoir confiance pour la suite.
Caine78
Ayant pour originalité de se dérouler aux États-Unis, cette cinquième et avant-dernière saison s'avère légèrement différente de son traitement habituel, peut-être un peu moins "sophistiqué", mais toujours habile et sachant ménager le suspense jusqu'au bout, malgré un coupable que l'on a connu plus difficile à identifier. Un bon cru.
Caine78
Dans la continuité d'une première saison de bonne facture, « La Fureur dans le sang » a beau ne pas révolutionner le polar, il faut lui reconnaître une bonne tenue, une mise en scène sobre (ou presque) et efficace, mais surtout deux personnages principaux très réussis. A la fois très différents et très proches, Tony Hill et Carol Jordan sont le moteur de la série, deux êtres terriblement attirés l'un par l'autre sans qu'ils ne soient vraiment capables de franchir le pas. Cette relation assez triste n'éclipse pas pour autant le travail sérieux des scénaristes pour nous offrir des enquêtes dignes de ce nom, et où il est souvent difficile de deviner l'identité du coupable. Après, c'est sûr que cela se ressemble un peu d'un épisode à l'autre, mais le fait de démarrer une nouvelle intrigue à chaque fois permet d'effacer un minimum cette sensation. En tout cas, une chose est sûre : il nous reste beaucoup de boulot pour égaler nos voisins anglais en matière de polar...
Caine78
Peut-être un peu surestimée au vue du résultat final, "La Fureur dans la sang" n'en reste pas moins une de ces séries britanniques de qualité où l'on découvre avec plaisir chaque nouvel « épisode » (95 minutes tout de même). Non pas que ces derniers soient d'une créativité débordante (les scénarii sont relativement classiques), mais ils brillent par la qualité des personnages, infiniment mieux construits et attachants qu'à l'accoutumée, donnant une dimension supplémentaire à des intrigues que l'on aurait peut-être suivi avec moins d'attention sinon. Celles-ci sont pour autant rondement menées et efficaces, la durée de chaque épisode permettant également d'offrir à chaque assassin une personnalité digne d'intérêt, le tout mis en scène de façon sobre et élégante... Du beau boulot donc, net et sans fioritures : cette "Fureur dans le sang" est une valeur sûre de la télévision anglaise.