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Daniel Schettino
25 abonnés
241 critiques
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1,0
Publiée le 10 février 2017
La saison 6 de The good wife est décevante. La place trop étendue à un humour (qui plus est, même pas drôle) en est la cause principale. Ainsi par exemple on donne une trop grande importance au personnage insupportable de Marissa Gold (Sarah Steele). Au point de passer les scènes à l'accélérer dès ses apparitions car on sait qu'on va avoir droit à un jeu de mots débile, accompagné par une mimique agaçante d'un clown. Cela se reproduit avec le personnage caricatural d'Elsbeth Tascioni (Carrie Preston). C'est poussé à l'extrême et cela n'apporte rien. Cela nuit à la série. Ces bouffonneries sont exaspérantes. A force de vouloir trop en faire avec Elsbeth Tascioni (alors que dans les saisons précédentes son personnage avait juste ce qu'il fallait de pétillant et de désopilant) cela casse le personnage. On atteint le sommet du ridicule. Et tout ça pour sauver la série ? Pour lui donner un second souffle ? Mais ça ne marche pas. Les scénarios sont boiteux et bavards. La série tourne en rond et s’essouffle. On ne croit pas aux déboires de Cary Agos (Matt Czuchry) et surtout on a la désagréable sensation d'avoir été mené en bateau, et d'avoir perdu notre temps à regarder la campagne pour l'élection au poste de procureur d'Alicia Florrick (Julianna Margulies). L'épisode 14 "Dans la tête d'Alicia" est vraiment navrant. C'est le plus "prise de tête" de la série. Impossible d'aller jusqu'au bout de l'épisode. Heureusement les derniers épisodes avec la confrontation Oliver Platt/Christine Baranski, sont plaisants à voir, mais ils ne sauvent pas la saison. Cette saison 6 marque le début du déclin de The Good Wife, et c'est bien dommage, car les saisons précédentes étaient passionnantes.
4/5 Très bien. Cette saison est surprenante et toujours agréable à suivre. Les scénaristes trouvent toujours une nouvelle piste. On sent qu’on arrive à la fin car les rebondissements vont être de plus en plus limités mais pour l’instant tous les choix sont bons.