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Alexandre N.
42 critiques
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Critique de la série
3,0
Publiée le 26 juillet 2014
Une série plutôt bien fichue et à l'humour affiché "trash". Très limite sur certaines scène (un tournage de porno dans la saison 3), la série fait feu de tout bois, en abusant peut-être un peu du filon scatologique et du jargon "obscène". Pas à regarder avec ses enfants (ou alors majeurs !)
Reste pour moi une série vraiment géniale. On s'attache aux personnages. Série autant humoristique que émouvante. Le côté allumeuse de Nancy est excellent !
bonne serie mais elle aurai du s'arreter a la saison 4 apres c'est n'importe quoi, mention tres bien pour justin kirk le meilleur acteurs de cette series
une très bonne série avec beaucoup humour. Mélange drame et aussi suspense mis en avant par les excellent acteur. Et des épisodes qui ce suivent qui nous tiennent en haleine , ces plutôt rares .
La saison 1 2 3 4 est plutôt sympa, mais le reste laisse à désirer et devient lassant. J'ai regardé jusqu'au bout malgré l'ennui grandissant au fur et à mesure des épisodes passants .
Une série qui sort du génie, à prendre au 2nd degré pour ses personnages complètement barrés. Les 2 premières saisons sont vraiment excellentes. Ensuite, on regarde parce qu'on veut savoir ce qui va leur arriver mais le cœur n'y est plus vraiment. De très bons moments tout de même, notamment la fin de la saison 6. Ensuite, on aurait mieux fait de s'arrêter là.
Concernant les héros de la série : - Malgré mon affection pour Nancy, j'en ai eu vite très marre de ses mauvais choix, c'est insupportable à la longue ! Et, est-elle toujours obligé de porter des minis-jupes et mini-shorts ? - Andy, un peu loufoque par moment, est pour moi le personage le plus intéressant de la série. Une perle, ce mec. - Silas, tête à claque au départ mais c'est celui qui a le plus la tête sur les épaules. - Shane, je l'aimais tellement. Mais j'ai pas aimé son evolution que je considérerais comme du gâchis on en a fait. - Quant à Doug... J'le trouve tellement, mais tellement énervant que... Que la série n'aurait pas été ce qu'elle est sans lui ! Les 3 dernièrs épisodes pour conclure la série sont "assez" satisfaisants, avec un très petit s.
Tellement prenant cette séries, c est un chef d'oeuvre ♥les personnages sont tous barré, original, bourrer de bonne idées , même les plus éloigné ( secondaire ) on une personnalité bien différentes & "jouuissante" , chaque épisode mène à une nouvelle galère que doit géré la nancy & sont entourages , pas de blanc pas d'ennuie , chaque saison est une nouvelle étape & on voit bien l'évolution a chaque saison/episodes des personnages par leur vécu ou relation , pi même si on a pas l'esprit de la ganja on peut vraiment kiffer cet série. il y a vraiment de très bon "point de vue " , "pensées ' , morale qui ressorte à travers la séries , surtout du côté D'Andy qui est très spriituel & ultra conécté émotionnellement , Bref uné séries extraordinaire
Pour moi, la meilleure série des années 2000. Originale, nouvelle, politiquement incorrecte, cette série a tout pour plaire. Les sujets traités et les relations entre les personnages sont a la fois génants, complexes, hilarants. Chaque saison se renouvelle, les personnages évoluent très bien, les situations aussi. Weeds a prit beaucoup de risques durant 8 saisons, notamment par les changements de personnages, de décors, de lieux... Et ca, c'est une qualité rare dans une série.
Avec Weeds, on arrive à un type de série que je n'arrive pas à cerner : on aborde le sujet de la consommation d'herbe (weeds en anglais), mais on ne dénonce pas ce comportement sans pour autant en faire l'apologie. En somme, sous couvert de faire du sensationnel, d'aborder des sujets tabou ou faire naître des polémiques, on obtient une banale comédie dramatique où la maman essaye de s'en sortir, d'aider son jeune fils à se reconstruire ou d'éviter que son ado de fils fasse les mauvais choix, etc. Et en plus, on surfe sur des séries comme Desperate Housewives ou la vie de femmes au foyer dans des banlieues anonymes américaines. La prévisibilité de l'histoire, l'absence d'attachement envers cette femme au foyer, et de toute véritable dimension qu'aurait pu avoir la série m'a laissé plus qu'indifférent. Par contre, la VF a l'air bien pourrave... Regardez plutôt l'excellente comédie musicale Reefer Madness, en plus c'est drôle et ça bouge!
Clairement LE bad trip de ce début d'année. Bouffée d'ennui, de médiocrité scénaristique, casting bidon et bidonnant qui n'arrange rien. Qui voudrait d'une taff de Weed mouillée? Mary Louise Parker, visiblement, tant son air beauvin et vide semble en redemander un peu plus à chaque épisode. Son fiston doux-dingue est une personnalité éponge essorée jusqu'à la moelle, les dealer une blague, son beauf-Bôôôf-bauffe un animal à emmener d'urgence dans une bonne grosse boucherie . . etc . . etc . . oui,le monde de la drogue est hype, bandant, dangereux, fou, angoissant. Un monde vaste , maintes fois exploré certes, mais toujours aussi passionnant. Weeds pique à côté, tout simplement. Je recommande une drogue plus dure et moins chiante .
Une fin extravagante avec Nancy & Conrad. Les aventures de cette mère dealeuse toujours plus déjantées ; aucun regret. On se lance dans la saison 3 avec enthousiasme!
Weeds est loin de n'être une série que passagère qui saurait toucher un public précis à court terme. Toujours autant prenante, elle peut desormais s'inscrire parmis un panel représentatif offrant quelques gags très originaux.
Weeds est une série légère, trés legère pour nous français. Elle a la consistance d'une volupte de beuh mais sans l'effet anxiogène, car elle ne pointe qu'en sous main les réalités américaines, qui ne peuvent réellement être mise en jeux car la teinte subversive atteint ici c limites. Weed est une dénonciation douce des clivages de classes de la marchandisaton ds affects et de l'égoisme profond des américains, mais sans aller aussi loin dans la reflexion, ellle propose juste une série de peintures de personnages authentiques (volonté d'un réalisme psychologique) mais sans doute à peine caricaturales, et son articulation problèmatique avec des péripéties qui bien souvent inutiles démontrent un art consommé du récit à tirroir, sans reservé une quelconque originalité dans la forme. Sans atteindre la dimension dérangeante et crepusculaire de Six Feet Under, Weed s'aventure dans les chemins balisés de la série américaine de base (type Despe House) avec un regard progressiste pour ne pas dire de gauche, et avance subtilement l'idée d'un monde social et communautère; l'herbe n'est icic que le révélateur des solidarités possibles dans un univers en rupture de conscience. Inattendu.