Hercule Poirot : Episodes de la saison 11

Le commissaire Spence est quelqu'un d'honnête et de consciencieux. Ne vient-il pas voir Hercule Poirot, qui goûte une retraite trop tranquille, avec un immense doute à l'esprit : que l'on pende un innocent. James Bentley est accusé d'avoir tué sa logeuse, Mrs Mc Ginty d'un coup à la tête et d'avoir volé ses économies que cette dernière cachait sous une lame de parquet. Limpide pour la plupart, cette solution est-elle réellement la bonne ? Le détective belge refera le chemin qu'avait pris le commissaire Spence, et avec l'aide de ses fameuses cellules grises, au prix d'un immense courage (il logera chez un couple bien désordonné) il mettra à jour la solution

Un coup d'état se produit dans le royaume de Ramat, pays moyen-oriental. L'héritière du trône, la princesse Shaista, est envoyée en sécurité dans le pensionnat de jeunes files de Meadowbank, dirigé par la libérale miss Bulstrode. Cependant, quand miss Springer, le professeur de sport, est retrouvée assassinée, il s'avère que le pensionnat n'est pas un endroit aussi sûr que prévu. L'inspecteur Kelsey enquête sur le meurtre, aidé par Hercule Poirot. Alors qu'ils tentent de percer les mystères de cet établissement, un autre enseignant est assassiné et la princesse Shaista est enlevée. Poirot tente de faire le lien entre ces événements et un petit paquet disparu...

Cette fois-ci, après un épuisant effort intellectuel, la rédaction de son «oeuvre maîtresse», un essai sur les maîtres du roman policier, Hercule Poirot est bien décidé à jouir d'un repos mérité

À Jérusalem, l'arrivée de la famille Boynton à l'hôtel est un important sujet de discussion. En effet, toute la famille agit au doigt et à l'oeil de la vieille et terrible Mrs Boynton, qui prend un malin plaisir à faire souffrir son monde. De son côté, Hercule Poirot entend de sa suite dans la chambre d'à côté, la voix de Raymond Boynton : «Tu vois bien qu'il faut la tuer, non?». Et c'est ce qui arrive, lors d'une excursion à Pétra. Le corps de Mrs Boynton y est découvert, tel un horrible bouddha. Pas de trace d'une morte violente, sinon la marque d'une seringue sur son poignet