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Un visiteur
Critique de la série
2,5
Publiée le 21 janvier 2020
J'ai adoré les décors, les costumes, l'ambiance global tout simplement mais alors j'ai beaucoup de mal à accrocher aux personnages ainsi qu'à la trame principale.
Je l'a trouve incroyablement linéaires, plate.. et c'est bien dommage... car cette serie avait beaucoup de potentiel. J'ai littéralement lâché à mi saison de la 3.
Cette serie est un chef-d'oeuvre superbement bien jouée...j'ai avalé les 5 saisons avec avidité sans longueurs ni lassitude...Elle retrace très bien l époque, et les décors, ont s y croirait, la dernière saisons et ses flashbacks les acteurs sont bcp plus jeunes et pourtant on les reconnait très bien même le commodor ressemble à son fils plus tard bref une grande série à la scorsese !
L'élégance des années folles, la violence de la prohibition et les manipulations politiques...rythme cette première saison très agréable, qui fait découvrir, notamment, les débuts d'Al Capone, Une épopée entre Atlantic City et Chicago.
une série de très bonne qualité sur la maffia des années 20 aux usa. 5 saisons ou on ne s'ennuye jamais avec un steve buscemi qui prouve une fois de plus a quel point il est un grand acteur dans un role a contre emploi. une réussite
Une excellente série qui tient en haleine jusqu'à la fin, malgré un manque de notoriété étonnant. L'acteur jouant Al Capone est juste parfait. Série vraiment à recommander.
J ai regarde cette grâce au excellente critique.Mais je n ai pas du tout aimé,peut être l univers des États Unis durant la prohibition mais surtout a cause de l acteur de principa.Meme si il est plébiscité de partout pour ce rôle , je trouve Steve buscemi juste mauvais et ne parlons pas de sa voix qui me rend malade.J ai arrête au bout de deux épisodes malgré les critique.0,5 même si j ai peut être pas assez d éléments pour noter .
La reconstitution de l'époque est superbe et les acteurs charismatiques. Mais même sous l'égide de Scorcese et si l'on pardonnera les libertés (évasions) prises a niveau de l'histoire originale, on s'ennuie un peu par moments. La faute à un rythme pour le moins lymphatique et des intrigues par trop souvent obscures. Pour les curieux et les aficionados de Scorcese mais on est très loin d'un Casino.
Le soin apporté à la mise en scène, l'impeccable tenue d'un casting sans fausse note autour d'un S. Buscemi impérial et le récit qui se dévoile et s'étend comme les pages d'un bon roman noir, tout cela concourt à faire de cette 1ère saison une grande réussite. Il y a bien quelques longueurs, et une tendance à vouloir montrer du sang et de la nudité de manière récurrente, mais on sent que le travail effectué par petites touches sur chaque personnage et que les éléments nouveaux, même quasi insignifiants, dévoilés à chaque scène, permettent d'installer un contexte prégnant et une histoire narrée avec talent et profondeur. Ces trafiquants, politiciens ou flics illustrent bien la prohibition, vivement le prochain "chapitre"!
Une dernière saison sous le signe de la nostalgie, au rythme de nombreux flashbacks réussis mais pas toujours bien utiles il faut l'avouer. Surtout, le fil conducteur tend parfois à trop s'étirer à force de coupures narrant la jeunesse de Nucky, et certains personnages sont du coup trop vite expédiés. Le contexte historique est par contre très bien mis en avant, l'ambiance de fin de règne accompagnant l'arrêt annoncé de la prohibition et le tournant que seuls certains sauront prendre sert parfaitement d'angle de clôture pour le scénario de la série. Restent des visages, ou plutôt des gueules, qui viendront nous hanter au moment de se souvenir de cette excellente série qui tire sa révérence de bien belle manière.
Dans la parfaite continuité de la saison 1, cette sérié s'étoffe d'avantage à chaque épisode, développant l'histoire de chacun des truculents personnages rencontrés en l'intégrant dans un contexte historique habilement lié au scénario. Toujours cette agréable impression de lire un roman fleuve dont on se délecte à chaque chapitre, grâce à une mise en scène soucieuse du détail et un casting savamment choisi. Une certaine lenteur il est vrai, mais on ne peut que rester scotché à son écran pour suivre les tribulations de cette micro société "assoiffée" de pouvoir, où les luttes d'influence et les trahisons mèneront à la formation de clans dans la violence, jusqu'à un final homérique digne d'un grand film noir.
A la qualité du scénario et de la mise en scène s'ajoutent ici un raffinement et un sens du tempo plus prononcés. Cette fois l'ambiance est jazzy, le club de Chalky (excellent M. K. Williams qui vole la vedette à Nucky) faisant office de "hub" par où transitent les relations au sein d'un microcosme en perpétuelle évolution. De nouveaux personnages réussis (Dr Narcisse, Agent Knox) ainsi que d'autres brillamment mis en valeur (Eddie, Purnsley) tissent des liens inattendus avec les principaux protagonistes. Chacun ou presque a droit à son moment de gloire ou de déchéance autour de Nucky, qui continue tel un chat à essayer de retomber sur ses pattes malgré les coups bas. Cette 4e saison est un délice.
Il y a bien quelques temps morts pour meubler, et certains personnages voient leur rôle devenir plus flou (Mme Darmody) ou secondaire (l'agent Nelson) par rapport à la trame narrative principale, mais le show tient la rampe avec solidité et toujours autant de classe visuelle. De plus en plus difficilement contenues, la rage et la violence exprimées par le terrifiant Rosetti (excellent B. Cannavale) anoncent une guerre sans merci pour le contrôle du traffic d'alcool, et on ne sera pas déçu par la montée en puissance du dernier tiers de la saison vers un nouveau final de référence. Le niveau d'excellence de la série se maintient au travers de ce 3e chapitre encore plus sombre et anxiogène à souhait pour Nucky.