Avis Power Rangers S1

Si les sentaï sont devenus des programmes réguliers au Japon depuis les années 70, comptabilisant près de cinquante séries différentes, l'Occident n'a connu le genre télévisuel que très tardivement, d'abord avec les diffusions de "Bioman", "Jiban", "Winspector" ou encore "Jetman" puis se les est réappropriés dans les années 90 avec les célèbres "Power Rangers". Amené par Haim Saban, le concept est alors aussi osé qu'inédit : reprendre une série entière japonaise, ne conserver que l'univers et les scènes de combats tout en transposant les histoires aux États-Unis avec de nouveaux acteurs. Ainsi, "Power Rangers" n'est en fait que la version américaine de Kyouryuu "Sentai Zyuranger"... L'intrigue et les personnages changent donc considérablement, passant de guerriers ancestraux du temps des dinosaures réveillés par le magicien Barza à de simples lycéens choisis par Zordon, un extra-terrestre enfermé dans un gigantesque tube. À partir de là, la série va devenir purement américaine : les péripéties "normales" de nos héros sont des amourettes d'adolescents ou des leçons de vie poussives. Ces derniers sont d'ailleurs devenus d'incroyables clichés : le sportif musclé, le binoclard intello, la bimbo gymnaste et même l'Asiatique et le Black de service, histoire de respecter à fond le quota. Pourtant, aussi mal joué que dans la série d'origine, "Power Rangers" va clairement s'identifier grâce à des scénarios inédits et un sens du rythme particulièrement soutenu, faisant de ce "remake" une vraie réussite. Les personnages font donc la force de la série, si bien que l'on sera un peu déconcerté par le changement d'acteurs dans la deuxième saison. La série commence un peu à s'essouffler à la troisième saison malgré des rebondissements toujours bienvenus. Découpée en trois saisons et entrecoupée d'un long-métrage ciné (une première dans le genre), cette toute première série sera suivie de plusieurs autres avec à chaque fois de nouveaux personnages, de nouveaux pouvoirs et de nouveaux costumes, à chaque fois tiré comme il se doit de leurs homologues japonais, faisant de "Power Rangers" l'unique sentaï à être le plus long du monde.

La saison originale des Power Rangers est un véritable régal d'extravagance et de drôlerie. Malgré des moyens limités pour l'époque, chaque épisode demeure un véritable moment de divertissement. Les interprètes des rangers sont très attachants, sans parler, bien sûr, du duo formé par Bulk et Skull. Les méchants de la série sont également amusants. Cette première saison composé de soixante épisodes assure le spectacle, même si le schéma narratif de chaque épisode est calqué sur le même modèle. On appréciera surtout les épisodes composés de suite(s), car ils entretiennent un suspense appréciable. A ce titre, la série d'épisodes consacrée à l'avènement du ranger vert sont certainement les meilleurs de la saison.

C'étais bon mais c'étais sauvent tourner au meme endroit comme a l'école a maison des jeune et dans le parc et il avait pas asser de passant dans le parc et il aurait du tourner des scene dans la ville non costumer et une autre affaire que j'ai moin aimer il ont passer le scene final a plein millieu de la saison et apres il ont tourner des episode ben ordinaire qui aurait pus tourner avant l'épisode 40 et garder l'épisode 40 pour faire l'épisode 60 donc la dernière a par sa c'étais bon c'étais mon émision préféré et j'aime sa encore aujourd'hui c'est pour sa que j'ai donner un 3 étoiles pour cette série la.