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Comme pour 24, tout cette entreprise ne fonctionnerait pas si les téléspectateurs ne s'attachaient pas aux personnages, et de ce point de vue, Prison Break ne déçoit pas.
Comme Lost, la série semble vouée à l'échec avec une intrigue de départ prévisible et impossible à maintenir sur la longueur, mais Prison Break avance beaucoup plus rapidement.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
Le point de départ, bien qu'osé, n'est pas aussi révolutionnaire que celui de 24, et le pilote manque sérieusement de frissons pour un soi-disant thriller...
Entertainment weekly
Prison Break fonctionne sur les mêmes hiérarchies sombres que Oz et les mêmes inventions malignes que L'évadé d'Alcatraz.
Chicago Sun-Times
Comme pour 24, tout cette entreprise ne fonctionnerait pas si les téléspectateurs ne s'attachaient pas aux personnages, et de ce point de vue, Prison Break ne déçoit pas.
Slant Magazine
Comme Lost, la série semble vouée à l'échec avec une intrigue de départ prévisible et impossible à maintenir sur la longueur, mais Prison Break avance beaucoup plus rapidement.
Salon.com
Le truc le plus cool à propos de Prison Break, c'est qu'on n'a jamais rien vu de pareil auparavant.
Time
Ce dont Prison Break manque, c'est de plausibilité -rien n'est crédible- mais elle se rattrape sur son intrigue, son rythme et son panache.
New York Daily News
La complexité, c'est une chose; rendre crédible la complexité en est une autre. Et Prison Break se rate là-dessus.
Pittsburg Post-Gazette
Le point de départ, bien qu'osé, n'est pas aussi révolutionnaire que celui de 24, et le pilote manque sérieusement de frissons pour un soi-disant thriller...
Washington Post
Lamentablement nul.