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J'ai adoré cette mini série! Les meilleurs épisodes pour moi sont les 5 et 6 ou ça défouraille à tout va! Un ptit clin d'oeil aux deux derniers épisodes qui sont émouvants.
Une série qui puise toute son énergie dans les scènes de guerre, qui sont relativement bien maitrisées, condition sine qua non de l'existence de The Pacific, série dépourvue de scénario. Absence totale d'émotion, d'attachement, de relief, rien, nada ! Une sorte de Il faut sauver le soldat Ryan en dix épisodes. C'est dix de trop. Se contenter du film de Spielberg suffit. Et s'agissant de la série la plus chère de l'histoire (20 millions par épisode) produite par Spielberg et Tom Hanks, on détient une fois de plus la preuve que la qualité d'une oeuvre n'est pas corrélée à son prix (ni à ses producteurs, apparemment).
Une excellente mimi-série sur les batailles victorieuses américaines pendant la Seconde Guerre Mondiale. Crée par Tom Hanks et Steven Spielberg d'après l'oeuvre de l'historien Stephen Ambrose. Avec la participation de Simon Pegg , David Schwimmer ( 1943, l’ultime révolte) , James McAvoy, Joseph Mazello ( Jurassic Park 1 et 2 ,The Social Network).
C'est mou, c'est lent... Hier soir j'ai eu du mal à aller au bout des 3 derniers épisodes. Je pense que je n'irai pas plus loin...
Ouais bof... Autant j'avais suivi avec intérêt la série BoB autant The Pacific parait bien gnangnan à côté.
Superbe série , qui nous montre les impréssionantes batailles du pacific . Encore une fois , Tom hanks et Steven Spielberg ont réalisé un chef d'oeuvre avec des acteurs très crédible qui rentrent bien dans la peau de leurs personnages . Je le conseille vraiment cette série .
Poignant, remarquablement réalisé. Une grande et puissante épopée humaine.
Yetcha
Belle-mini série avec un Eugene Sledge incarné par Joseph Mazzello qui émeut par sa complexité et son humanité sacrifiée au "dieu de la guerre". Dommage qu'il apparaisse un peu tard quand même! Les scènes de batailles sont dignes d'une super prod. Je préfère de loin "Band of brothers" car on s'attache plus aux personnages de la compagnie, on retient leur nom et leur visage mais ici difficilement! Mais bon, on voit rarement des choses aussi bonnes sur la guerre du Pacifique. A voir absolument!!!
Un peu décu, il y'a trop de dialogue, de logistique et de quotidien. Le fond de la guerre n'est pas du début à la fin mais ca reste appréciable.
Après Il faut sauver le Soldat Ryan et la série Band of Brothers, Steven Spielberg et Tom Hanks poursuivent leur hommage aux combattants de la WW2 en s'intéressant cette fois aux soldats américains partis lutter contre les Japonais dans les îles du Pacifique. The Pacific nous propose de suivre le quotidien dur et violent de jeunes hommes perdus dans un environnement aussi paradisiaque qu'hostile de Guadalcanal à Hiroshima. Les premiers épisodes à Guadalcanal ne sont pas sans rappeler l'excellent La Ligne Rouge de Terrence Malick, film-référence sur cet événement dont la beauté visuelle a clairement influencé ces premiers épisodes. La série n'est pas une suite de batailles aussi violentes que parfois spectaculaires, elle nous fait suivre le quotidien de ces jeunes gens à travers le regard de trois d'entre eux : Robert Leckie, Eugene Sledge et John Basilone. Trois vies, trois destins tous deux inscrits à jamais dans l'Histoire et dans nos coeurs, d'abord parce que les acteurs sont d'une rare sincérité dans leur jeu (sûrement due aux conditions de tournage très dures) ensuite, parce que l'on ne peut rester insensible à l'horreur à laquelle font face ces trois hommes qui sentent leur humanité leur échapper un peu plus chaque jour, exception faite de Basilone bombardé héros de guerre qui se retrouve à l'arrière à faire de la propagande mais qui voudra finalement revenir sur le champ de bataille, le payant de sa vie et laissant derrière lui une épouse récente (cet épisode est d'ailleurs de très loin le plus beau de la série). Hans Zimmer, très inspiré pour une fois, signe sa meilleure BO depuis très longtemps avec un thème musical inoubliable qui donne des frissons à chaque écoute. Les effets spéciaux ne sont pas toujours bien peaufinés mais qu'importe tant l'ensemble du spectacle est virtuose. Le générique final rapportant la réinsertion des (rares) protagonistes revenus finit de vous secouer et même s'ils ne considèrent pas comme tels, force est d'admettre que ces jeunes gens qui ont tout sacrifié pour la liberté et la paix de notre avenir sont de véritables héros, dont il faut remercier chaque jour le sacrifice tant ils ont contribué à changer le cours de l'Histoire pour le bien de tous. En plus d'être un vibrant hommage à cette génération héroïque et sacrifiée, The Pacific se veut aussi une fresque historique grandiose et pédagogique avec un message important : ne les oublions jamais.
Après Band Of Brothers, le duo de producteur Steven Spielberg/Tom Hanks filme de nouveau la guerre avec brio. A travers the Pacific, nous suivons une deuxième partie de la seconde guerre mondiale vue par les Américains : La guerre du Pacifique. Alors, plantez vous bien au fond de votre siège car The Pacific déménage, démange, scotche, émeut, gêne et nous immerge pleinement dans l'enfer de la progression des Marines à travers ces îles à reprendre aux mains des Japonais. Avec un réalisme extraordinaire, ces 10 épisodes gagnent en intensité à mesure que l'on avance dans le récit grâce aussi aux acteurs charismatiques qui donne vie à ces gamins déracinés et lâchés dans un enfer qui les dépasse complètement. Chaque personnage est très bien écrit et la progression de la psychologie de chacun d'entre eux nous montre à quel point la cruauté vient doucement prendre possession des plus "gentils". Conclusion, pas vraiment de bons ni de méchants (si ce n'est les japonais) au sein de ces Marines, juste des hommes condamnables où non qui tentent de survivre par tous les moyens. Une mention spéciale à mes yeux pour l'acteur Rami Malek (Snafu) qui m'a littéralement envouté dans son rôle de militaire nonchalant et cynique. L'ensemble contient son lot de scènes chocs et poignantes et l'on termine cette série sans fondre en larmes grâce à l'émotion diffuse et repartie sur l'ensemble du dernier épisode, marquant une certaine pudeur face à l'horreur à peine vécue. Bref, le tandem Spielberg/Hanks prouve encore une fois sa maîtrise du divertissement intelligent sur la 2nde guerre mondiale sans tomber dans un patriotisme exacerbé. Tout bon!
Une demie déception hanté de trop près par le spectre de sa comparaison avec son ainé Band of Brothers. Son casting ne séduit pas et le manque de prise de risque est un fardeau qui se traine sur 10 épisodes. On lui trouvera quand même quelques séquences touché pas la grâce, parce qu'il est trop dur d'avouer que The Pacific ne joue pas dans la cour des grands.
Sur le papier l'histoire ne pouvait que séduire, en reproduisant le principe appliqué à Band of Brothers, chef d'œuvre du petit écran. Pourtant force est de reconnaître que The Pacific déçoit sur de nombreux aspects, certains inhérents au conflit historique (la guerre du Pacifique était bien différente de celle ayant eu lieu en Europe et elle parait moins "palpitante" a rendre à l'écran), et d'autre du simple fait de l'adaptation. En effet, si Band of Brothers s'intéressait au destin de la "Easy Company" et des hommes qui la composent, ici la série se focalisent sur les hommes qui composent une entité. On perd donc ce coté presque impersonnel qu'avait Band of Brothers mais surtout on perd la variété des personnages. Ce n'est pas réellement la faute des créateurs de la série puisque, si pour Band of Brothers il avait suffit d'adapter le roman de Stephen Ambrose ce n'est pas le cas ici, puisqu'il s'agit plus de recouper deux livres faisant office de mémoires. On comprend donc le temps qu'il a fallut à Hanks et Spielberg pour jauger l'intérêt de leur mini-série qui, de fait, a perdu le message de solidarité qui existait pour garder une vision plus cynique, plus sombre de l'histoire. De plus, The Pacific montre avant-tout un véritable choc des civilisations. Comment ne pas être interpellés lorsque l'on voit les hordes japonaises aller au suicide dans le seul but de grappiller quelques mètres et surtout des miettes d'honneur. Enfin, les marines ce ne sont pas des parachutistes. Le but des para est d'être encerclés par les ennemis, pour eux les permissions se faisaient rarement proche du combat. Et donc, lorsque les créateurs du show décident de montrer ces moments, l'action est totalement coupée et, sans pour autant sombrer dans l'ennui, on ne retrouve pas le souffle épique que pouvait avoir Band of Brothers. The Pacific demeure une bonne série ne serait-ce que par les moyens déployés pour la reconstitution du conflit. On ne peut cependant s'empêcher de regretter ce parti pris de se focaliser sur des hommes et non sur l'entité militaire qu'ils composent. Ce que l'on gagne en profondeur psychologique des personnages, on le perd en leçon de vie car nécessairement, on en vient à sombrer dans un nombrilisme déroutant et irritant par moment.
Bien moins prenant que son grand frère Band of Brothers, The Pacific s'enlise dans de longues scènes sans beaucoup d'action, où aucun des personnages n'est vraiment mis en avant. La force émotionnel n'est jamais présente et l'action est trop brouillonne, peut-être par souci de réalisme, mais même ça ne passe pas...
La Fièvre Du Cinéphile
Même si c'est une page historique cette épisode nous apprend juste les dures départ pour la guerre et le commencement de l'attaque qui auraient pus être racourcis. Mais il n'est pas assez intense et les scènes d'actions sont assez mous. Quelques moments touchants rendant hommage aux soldats morts.