Avis Spartacus - Page 14

Top. On commence avec le 1er épisode et on ne peut plus décrocher. Adulte, violent à souhait. Scénario bien ficelé bien qu'un peu répétitif. Un peu trop de scènes de sexe sans intérêt à l'histoire. Les acteurs, même s'il n'ont pas une espérance de vie courte jouent très bien. À ne pas rater.

Je pensais que Rome était la meilleur série du genre mais c était avant de voir ce chef d œuvre une pure merveille seule critique trop court !!! Bref j ai adoré a voir absolument n importe quel homme normalement constitué ne peut que aimer du sexe de la violence de la passion tous y est !!!

La série de bonhomme par excellence du sexe du sang puis encore plus de sexe et encore plus de sang. Bref une série familiale

Spartacus (et toutes ses spin-off) est la seule série qui me fait trembler. Nous connaissons par avance le destin tragique de l'initiateur de la révolte des esclaves romains désormais connue de tous et cela entraîne un qui-vive permanent. Les scénaristes parviennent avec succès à nous tenir en haleine en jouant sur cette atmosphère perpétuellement tendue et pesante. A cela s'ajoute des décors et une réalisation très proches du 300 de Snyder qui plaira au fans de ce même film. Les côtés sanglant et animal (fonds de commerce de la chaîne Starz) de la série s'accordent tout à fait à l'époque et aux épreuves traversées par le soulèvement des esclaves. Série géniale et prenante. Petits bémols : des dialogues parfois simplistes et un changement d'acteur principal suite au triste destin d'Andy Whitfield (remplacer à partir de la saison 2 par Liam McIntyre). spoiler: Clin d'oeil aux fans de Xena qui retrouveront Lucy Lawless, qui malheureusement use d'un charme bien différent !

Le terrible Thrace qui défia Rome marqua l'histoire de son empreinte. Plus de deux mille ans après on en parle encore. Le récit de ce fameux Spartacus qui mit à genoux les plus grands généraux de l'empire est repris prodigieusement dans cette série du même nom.
"Spartacus" dépasse la simple fiction télévisuelle, c'est une véritable leçon d'art digne des Degas et d'autres Michel-Ange ! Ce péplum exceptionnel aligne des arguments de taille. Commençons par chanter les louanges de l'écriture poétique à laquelle cette série a droit. En effet en visionnant "Spartacus" on assiste à des conversations écrites de façon noble qui accentue l'intensité et la richesse des dialogues déjà milliardaires. Mais que seraient des textes bien écrits sans bons acteurs pour les interpréter, pas grand chose c'est certain. Et pour le coup, ce sont de véritables artistes qui jouent les légendes du passé, menés d'abord par un Andy Whitfield qui avec ce rôle et malgré sa présence dans une seule saison est devenu l'emblème de la série, puis par Liam McIntyre, qui relève merveilleusement le défi impossible qu'est de remplacer le premier cité, les acteurs dans leur ensemble dégagent un charisme virile qui ferait passer un dictateur tyrannique pour un homme efféminé en plein régime alimentaire. Car en plus du personnage de Spartacus, d'autres se démarquent et s'affirment en incontournables, comme le glorieux Crixus, le splendide Gannicus, ou l'immense Œnomaüs, voir même Ashur le vicieux !
Coté féminin, les actrices n'ont pas grand chose à envier à leurs confrères. Il est malheureusement devenu rare de trouver de bonnes actrices de nos jours, car elles n'ont souvent pour rôle que d'amener une touche de beauté. Heureusement pour nous, dans "Spartacus" les actrices ont un vrai rôle, en plus de celui d'apporter de la sensualité, qu'elles maîtrisent à la perfection. Grâce à elles, leurs personnages prennent une dimension de grande ampleur au point où elles sont devenues indispensables. Leurs agissements maintiennent souvent une ambiance tendue qui nous tient en haleine sans relâche.
En plus d'une écriture géniale et du casting impérial, "Spartacus" jouit d'une autre qualité, celle d'innover sans arrêt comme en témoigne le changement profond mais tout aussi logique de personnalité de Spartacus d'une saison à une autre qui donne l'illusion extraordinaire de regarder une autre série complémentaire et approfondissante.
Quant à la réalisation, elle est tout bonnement parfaite. Généralement je ne suis pas fan des effets de ralentis lors de scènes de combats pour plusieurs raisons, déjà les réalisateurs ont tendance à en faire usage juste pour faire du remplissage et donner de la longueur à l'action pour ne pas avoir à faire plusieurs passages sous peine de dépenser plus d'argent et de travailler un peu plus. Et puis souvent c'est mal fait, soit on l'utilise beaucoup trop, soit au mauvais moment - juste pour un coup de poing - et parfois les deux. Mais pour le coup c'est très bien fait. Ici les effets sont réellement utilisés à des instants stratégiques dans le but de magnifier un combat, un mouvement et laisser le temps au spectateur de profiter d'images jubilatoires. Les combats eux sont excellents, ils sont beaux, rapides et incroyablement hypnotisant. Gloire à "Spartacus".

Lorsque j'ai commencé à visionner cette série, après les deux ou trois premiers épisodes, j'ai continué parce que la réalisation était tellement grotesque que cela me faisait plus rire qu'autre chose ! Puis, l'intrigue s'est dévoilée, Andy Witfield s'est révélé être un excellent acteur, et les personnage sont montés en puissance, l'intrigue aussi (même si l'on connaît le dénouement), et la magie spartacus a opéré. Les saisons sont de mieux en mieux écrites et mises en scène, le prequel "les dieux de l'arène" est exceptionnel, même s'il existe en raison du décès de A.W. La saison deux offre une progression plus lente, elle fait office de transition, et d'intronisation de ce nouveau Spartacus, qui aura assez bien réussi la reprise du flambeau. L'apogée reste pour moi cette 3ème saison, la mieux écrite, d'une profondeur dans sa réflexion juste grandiose.

Je tiens à remercier et féliciter Steven ht pour nous avoir fait découvrir Spartacus qui a largement
triomphé dans l'arène des séries.

Dotée de scènes de combat d'une rare violence et de scènes dénudées, qui ne laisse pas le spectateur indifférent, cette série nous plonge directement dans la Rome Antique où l'on prend conscience de l'importance des jeux et des combats de gladiateurs à cette époque.
De plus on perçoit parfaitement que les romains vivaient dans le mensonge et la corruption qui rongeait une société au bord de l'explosion. Je pense notamment à Batiatus et Solonius n'hésitant pas à se quereller pour atteindre un rang plus important. Idem en ce qui concerne Ilithyia qui mène la vie dur à son cher et tendre épou...
Toutefois à côté de ça le scénario, très bien écrit, met en avant des liens d'amour et d'amitié grandissant et unissant les différents personnages qui vivent des moments difficiles et cruels.
La fameuse fraternité entre gladiateur résume bien ces propos.

A la fin de la première saison, lors de l'annonce de l'arrêt d'Andy Whitfield suite à de gros problèmes de santé, on aurait pu appréhender pour la survie de la série. En effet le fait de changer le personnage principal en cours de route aurait pu avoir des conséquences néfastes.
Ainsi pour temporiser les scénaristes ont décider de réaliser une préquelle (Les dieux de l'arène) lors de la convalescence d'Andy dont l'histoire se déroule bien avant l'arrivée de Spartacus et met en scène le passé de Batiatus et sa femme Lucrecia. Découpée en 6 épisodes cette série est à la auteur de la première saison "Le sang des gladiateurs".
Malheureusement Andy Whitfield nous a quitté : ayons une grosse pensée à tous ses proches.
Il a été remplacé par Liam McIntyre qui est du même calibre même si j'avais clairement un préférence pour Andy.
Toutefois cette seconde saison se déroulant hors de l'arène tient vraiment le spectateur en haleine : Comment Spartacus et ses hommes vont-ils mener à bien leur mission contre l'armée romain bien plus grande en nombre?

Pour conclure la série s'achèvera lors de la troisième saison qui j'espère sera du même niveau que les autres.
La rébellion aura-t-elle lieu?
Les scénaristes vont-il se baser sur la véritable histoire de Spartacus?
Tant de questions que je vous invite à élucider en vous plongeant dans cette excellente série.

Alors amis gladiateurs tous à vos glaives, vous de serez pas déçus.

Un kiffe total cette série j'adore l'époque et les représentations . Tout n'est pas bien fait mais la série a beaucoup de charme, je peux la regarder d'une traite.
Les acteur sont très bons et les combats spectaculaires.

Série culte, je n'ai pas réellement envie d'apporter une critique constructive ou non, cela fait un moment que je l'ai vu donc je me contenterai de dire qu'il ne faut pas passer à côté. 4 / 5 *

J'ai été très déçu par cette série. Le sexe et la violence permettent de maintenir un semblant d'intérêt, mais en dehors de ça il n'y a pas grand chose à sauver. Le scénario doit tenir sur une feuille de papier à cigarette, l'utilisation à outrance du fond vert témoigne d'un manque de moyen plus que d'un réel choix artistique, le recours systématique aux ralentis lors des scènes de combats m'énerve. Il faut quand même reconnaître que le dernier épisode de chaque saison relance un peu l'intérêt pour cette série et nous motive pour une nouvelle saison qui sera de toute façon à l'image de la précédente. Bref, on ne risque pas un claquage au cerveau mais si c'est juste pour passer le temps, pourquoi pas ?

il aurait mieux fait de se pendre au lieu de faire une série aussi débile

j ai pas trouver les mots ...
" merci Steven S. DeKnight pour cette agréable histoire"

Tout simplement superbe ! Le scénario et la mise en scène ainsi que l esthétisme ! Sombre et violent ! Une grande série !

Super série jusqu'au dernier épisode ou la fin est vraiment à chier. Dommage tres déçu par cette fin de série

N'ayant pas beaucoup écoutée mes cours d'histoire, je ne connais pas bien cette partie historique, mais c'est l'idée que je m'en fais. Les décors et les costumes sont superbes les scènes de combat sont chorégraphiés à la perfection et le sang coule à flot, j'adore! Le scénario est mis en avant par un bon jeu d'acteur. Certains épisodes montrent un peu trop de fesse à mon gout. Cela reste une série captivante et travaillée, qu'on n'a pas envie de lâcher.