Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Audrey L
639 abonnés
2 580 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 14 août 2018
Plutôt 13/20 : par rapport à la première saison (notée subjectivement 17/20) il n'y a que quelques bons points pour beaucoup de régressions... Tout d'abord, il y a trop de chansons ! On passe de trois ou quatre (S1) à six ou sept par épisode ! On passe juste de chanson en chanson, en oubliant complètement l'intrigue, qui est vraiment nulle sur certains épisodes : l'épisode "alcool", "sexy", "Croque-Jésus" (du grand n'importe quoi à tous les niveaux...), etc... Heureusement, les chorégraphies sont plus soignées (on arrête de tourner sur soi en faisant "coucou" avec la main), de même que des chansons sont plaisantes (subjectivement) : l'ensemble des chansons "Rocky Horror Picture Glee Show" (dont la jouissive Touch Me ! Quel clip sensuel, mes aïeux !), Misery, ou autres. L'épisode-kleenex (l'AVC du père de Kurt) fonctionne bien et est émouvant. Niveau personnage, c'est la débandade : on approfondit le personnage de Kurt (mon préféré, donc un bon point pour ma part) pour l'écarter à peine quelques épisodes après le début de cette saison (on ne le voit ni ne l'entend presque plus ! Quel dommage !), Puck disparaît complètement des radars pendant quatre épisodes et revient sans trop de raison à l'improviste (cela sent le planning d'acteur complexe....), des nouveaux personnages vides (Lauren et Carl) avec pour Carl l'unique raison de sa présence qui est de nous faire enrager de ralentir une union que l'on voit tous venir à cent mètres (spoiler: Emma et Will ) mais qui tourne inutilement autour du pot (quel mariage bidon qui nous sert d'attente !), Sue est toujours dans son double-jeu méchant qui n'a donc aucune progression par rapport à la saison 1, et un Sam nunuche mais qui chante bien (on n'en demande pas plus). L'épisode "Rocky Horror" reste le meilleur musicalement parlant, et celui de l'AVC du père de Kurt le plus réussi visuellement parlant. En revanche, une frustration indicible (et surtout une incompréhension totale) quant au choix du Sweet Transvestite : alors que ce rôle allait parfaitement à Kurt (vocalement et surtout dans l'état d'esprit sensuel et déjanté), les scénaristes ont préféré l'attribuer à Mercedes qui en donne une version fade (ne fait que hurler bouche grande ouverte une chanson qui se veut lente et langoureuse... et niveau costume on regrette de n'avoir pas vu Kurt en cuir noir moulant...). Une énorme déception sur cet épisode quand on adore le film original. En résumé, heureusement que la série continue d'être positive et dynamique et que les chansons sont améliorées, car les nouveaux personnages sont creux, les intrigues nunuches à cause d'un trop-plein de chansons sans raison et d'historiettes idiotes, avec une grande frustration sur la mise à l'écart de mon personnage préféré, Kurt, qui au passage aurait fait un flamboyant Sweet Transvestite.
Une 2e saison dans la lignée de la première avec des intrigues adolescentes plaisantes, des évolutions de personnages intéressantes et des prestations musicales qui se dégustent avec plaisir.
La saison 2 de Glee suit la première, et, même si elle n'atteint pas les sommets de sa grande sœur, tient ses promesses en matière d'intrigue. On retrouve tout le plaisir qu'on avait eu la saison d'avant, en poursuivant le parcours des personnages, notamment celui de Kurt, personnage incarné par l'excellent Chris Colfer (qui sera récompensé pour son interprétation). Une superbe saison.
Glee, ou comment passer d'un extrême à l'autre. Je m'auto-proclamais "Gleek" à la fin de la saison 1 tant elle était réussie. Le mot "Glee" me donnait envie de vomir à la fin de la saison 2. Pourquoi ça ? Parce que cette saison 2 est un con-densé de niaiseries, de voix retouchées et d'ennui. La seule chose valant le coup, c'est Gwyneth Paltrow et ses épisodes. Tout le reste ? POUBELLE.
Une série qui met bien en évidence l'esprits américain au sein du lycée: les pom pom girls, le football, et bien sur... le glee club! Aussi, les chansons sont bien choisies et en accord avec les sénarios. Quant aux personnages, pour ma part, j'adore Will, mais qui n'aimerait pas l'avoir comme prof? Bref une bonne serie malgré un peu trop de bons sentiments à mon gout. A voir et surtout à écouter!
Malgré un aspect "teenager" nuancé par un côté trash borderline, Glee comporte plusieurs niveaux de lectures, qui peuvent surprendre par leur cynisme ou leur humour noir. Les chansons ne sont pas toutes inoubliables mais certaines prestations se laissent voir, revoir et apprécier ! Sue Sylvester, campée par Jane Lynch est désopilante, et tous les acteurs sont convaincants. Glee est la série parfaite pour passer un très bon moment sans se prendre la tête, mais sans se lobotomiser non plus. Je vous la conseille vivement ! And that's what happened on Glee !
très impressionnée par la qualité de cette série au niveau chant et mise en scène des spectacles! bien sur cela reste teenager mais c'est vraiment excellent! à conseiller à tous ceux qui ont envie de passer un très bon moment et d'avoir des étoiles plein les yeux!
Il y en a eu pour tous les goûts cette saison : De « Empire State Of Mind » à « For Good », en passant par « Fat Bottomed Girls » ou « Firework », les fans de rap ont été aussi comblés que les fans de Broadway. On est plus dans la reprise de titres à mes yeux : Les acteurs chanteurs se sont appropriés des titres comme « Isn't She Lovely » ou « Rolling In The Deep », dont les versions sont à des années lumières des orginales. Ne parlons pas des titres des Warblers, qui ne reposent pas sur des instruments, mais uniquement sur les voix. Comparez « Teenage Dream » par Darren Criss et « Teenage Dream » par Katy Perry … Vous verrez la différence. Et comment ne pas parler de l'intrigue concernant Kurt/Karovsky ? Excellemment bien traitée, cette dernière, qui ayant débuté au début de la saison, n'a été résolue qu'à la fin. On constate également que les personnages de la série on bien évolués, grandis, mûrits ... Notamment Rachel, Brittany et Tina. On peut aussi parler d'Artie, qui grâce à sa relation avec cette dernière aura pu être exploité tout au long de la saison, de Quinn, avec sa relation avec Sam, puis avec Finn, et de Puck, qui a su nous fait rire avec son couple improbable. Seul Hick, la série est passée dans les mains des fans On reprochait à Ryan Murphy de ne pas écouter les fans de « Nip/Tuck » quant à la progression de la série. Le créateur de Glee s’est bien rattraper avec cette dernière. Mais on peut dire que les scénaristes écoutent beaucoup trop le public, quitte à se perdre dans des story-lines loupées et avortées. Le parfait exemple reste quand même la relation Brittana. Tout part d’une petite bribe de dialogues entre Brittany et Santana dans l’épisode « Sectionals » qui sous-entend une relation physique entre elles. Les fans créent alors le shipper Brittana et les créateurs promettent de développer leur relation. Mais pas grand-chose en saison 1. Alors les mêmes fans insistent encore. Du coup, Santana devient lesbienne subitement dans l’épisode « Sexy ». Et il lui suffit d’une chanson pour déduire qu’elle a de forts sentiments pour sa meilleure amie. Mais derrière tout ça, on voit plutôt cela comme un cheveu qui tombe sur la soupe. Une story-line mal débutée qui plait aux fans initiaux du shipper et qui bouscule les autres. Même chose pour la rupture Finchel en milieu de saison. Les fans du couple s’offusquent et réclament une réconciliation immédiate. Mais entre-temps, Finn est passé avec Quinn. Et comment concilier du Fuinn et du Finchel ? En créant un beau triangle amoureux pardi. Du coup Finn est avec Quinn, mais aime quand même Rachel. Finn est une girouette, mais ça permet d’apaiser les fans des deux camps. Ou pas.